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Authority record

Bishop, Mary

  • Person
Mary Bishop is a retired CPA representative. She lived in Toronto from 1970 to 1984, until she moved to Ottawa. She started attending the theatre on a regular basis in the 70s. During that time, she attended many performances in Toronto, Stratford, Niagara-on-the-Lake, Ottawa, and other locations. She saved most of the programs to the plays she attended. In 2020, she moved in northern Ontario and decided to give her collection to the Archives and special collection.
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Mary Bishop est une représentante de l'ACP à la retraite. Elle a vécu à Toronto de 1970 à 1984, avant de déménager à Ottawa. Elle a commencé à aller régulièrement au théâtre dans les années 70. Pendant cette période, elle a assisté à de nombreuses représentations à Toronto, Stratford, Niagara-on-the-Lake, Ottawa et ailleurs. Elle a conservé la plupart des programmes des pièces auxquelles elle a assisté. En 2020, elle a déménagé dans le nord de l'Ontario et a décidé de donner sa collection aux Archives et collections spéciales.

Sand, Cy-Thea

  • Person
"Cy-Thea Sand is a feminist writer and critic. She obtained her BA in English Literature at Concordia University at Montreal, and her MA at the University of Otago at Dunedin in New Zealand. She taught and was involved at the McGill Centre for Research and Teaching on Women (former MCRTW). Then she joined the Women’s and Gender Studies Department at the University of Winnipeg. In the 1980s, she was involved in the development and promotion of Canadian Women’s small press publications. She is co-founding Editor and Publisher of “The Radical Reviewer. She was member of the Editorial Collective “Kinesis”.
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Cy-Thea Sand est une écrivaine et critique féministe. Elle a obtenu un baccalauréat en littérature anglaise à l'Université Concordia de Montréal et une maîtrise à l'Université d'Otago à Dunedin, en Nouvelle-Zélande. Elle a enseigné et s'est impliquée au Centre de recherche et d'enseignement sur les femmes de McGill (anciennement MCRTW). Elle a ensuite rejoint le département d'études sur les femmes et le genre de l'université de Winnipeg. Dans les années 1980, elle a participé au développement et à la promotion des petites publications féminines canadiennes. Elle est cofondatrice et éditrice de "The Radical Reviewer". Elle a été membre du collectif éditorial "Kinesis".

Spring, Sylvia

  • Person
  • 1942-
Sylvia Spring is born in Galt, Ontario on July 14, 1942. She is a Canadian feminist writer, filmmaker, and activist. She obtained a Bachelor of Arts from the State University of New York at Buffalo in English Literature and Drama. After graduating, she wrote poetry and worked in advertising, journalism, radio, and television. In 1970, she produced Madeleine is…, the first Canadian English-language feature film directed by a woman since Nell Shipman in 1919. A segment of the film was released as a short feature under the name Madeleine and won an award at the Vancouver International Film Festival in 1970.
In 1979, she was appointed to the Task Force on Sex-Role Stereotyping in the Broadcast Media established by the Canadian minister responsible for the status of women. The Task Force was meant to examine the portrayal of women in popular media and developed guidelines for its improvement. Then, Sylvia Spring co-founded MediaWatch Canada, a watchdog organization dedicating to eliminating sexism in the media and became its first National Director. Sylvia Spring has spoken in national and international forums to raise awareness about the representation of women in the media. She has designed and facilitated workshops and lectures for agencies such as the Canadian Human Rights Commission, the Canadian International Development Agency (CIDA), and the United Nations Educational, Social and Cultural Organization (UNESCO). In January 2000, as a communication consultant, she travelled to China with Bonnie Diamond, NAWL’s executive Director, to conduct workshops with grassroots Chinese women on the information dissemination techniques used by women’s group in Canada (Nawl.ca, consulted 2021-06-02).
In 1995, she produced Voices and Visions, a documentary series from the UN World Conference on Women held in Beijing, China. In 1996, she produced the documentary Breaking the Silence: Stories from AIDS Activists in Southern Africa. The documentary tells the stories of women working at the front lines of the AIDS epidemic. In 2000, she produced 20th Century Gals (According to Babe), which explored the women's movement of the 20th century. In 2005, she co-produced Our bodies...their battleground, a documentary about the sexual violence crisis facing women and girls in the Democratic Republic of Congo and Liberia.
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Sylvia Spring est née à Galt, en Ontario, le 14 juillet 1942. Elle est une écrivaine, cinéaste et militante féministe canadienne. Elle obtient une licence de littérature anglaise et de théâtre à l'université d'État de New York à Buffalo. Après avoir obtenu son diplôme, elle écrit de la poésie et travaille dans la publicité, le journalisme, la radio et la télévision. En 1970, elle produit Madeleine is..., le premier long métrage canadien de langue anglaise réalisé par une femme depuis Nell Shipman en 1919. Une partie du film est sortie sous forme de court métrage sous le nom de Madeleine et a remporté un prix au Festival international du film de Vancouver en 1970.
En 1979, elle est nommée membre de la Task Force on Sex-Role Stereotyping in the Broadcast Media mise en place par le ministre canadien responsable de la condition féminine. Ce groupe de travail était chargé d'examiner la représentation des femmes dans les médias populaires et d'élaborer des lignes directrices pour l'améliorer. Sylvia Spring a ensuite cofondé MediaWatch Canada, une organisation de surveillance visant à éliminer le sexisme dans les médias, dont elle est devenue la première directrice nationale. Sylvia Spring est intervenue dans des forums nationaux et internationaux pour sensibiliser à la représentation des femmes dans les médias. Elle a conçu et animé des ateliers et des conférences pour des organismes tels que la Commission canadienne des droits de la personne, l'Agence canadienne de développement international (ACDI) et l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO). En janvier 2000, en tant que consultante en communication, elle s'est rendue en Chine avec Bonnie Diamond, directrice générale de l'ANFD, pour animer des ateliers avec des femmes chinoises de la base sur les techniques de diffusion de l'information utilisées par les groupes de femmes au Canada (Nawl.ca, consulté le 2021-06-02).
En 1995, elle produit Voices and Visions, une série de documentaires sur la Conférence mondiale des Nations Unies sur les femmes qui s'est tenue à Pékin, en Chine. En 1996, elle produit le documentaire Breaking the Silence : Stories from AIDS Activists in Southern Africa. Ce documentaire raconte l'histoire de femmes travaillant en première ligne de l'épidémie de sida. En 2000, elle produit 20th Century Gals (According to Babe), qui explore le mouvement féministe du XXe siècle. En 2005, elle a coproduit Our bodies...their battleground, un documentaire sur la crise de la violence sexuelle à laquelle sont confrontées les femmes et les filles en République démocratique du Congo et au Liberia.

Deschênes, Claire

  • Person
  • 18 avril 1954
Née en 1954 à Grand-Mère (Québec), Claire a fait ses études primaire et secondaire chez les Ursulines (École St-Jean-Baptiste de Grand’Mère et Couvent St-Pierre de Shawinigan), son baccalauréat (diplôme en 1977) et de maîtrise en génie mécanique (diplôme en 1986) à l’Université Laval avant de faire un doctorat nouveau (diplôme en 1990) à l’Institut Polytechnique de Grenoble en génie hydraulique (Labyrinthes dans les turbines Francis). Elle est embauchée à l’Université Laval en 1989 comme professeure assistante en génie mécanique pour remplacer le défunt professeur Herbert Netsch. Après sa soutenance de thèse, elle est promue comme professeure adjointe en 1990. Elle devint professeure agrégée en 1994, puis titulaire en 1998. Claire est actuellement retraitée (27 juin 2019) et a été nommée professeure associée du département de génie mécanique.
Sa carrière de chercheuse et ses réalisations sont divisées en deux grands centres d’intérêt. D’un côté, il y a les études expérimentales et numériques en génie hydraulique, particulièrement dans les turbines, les micro-turbines et les écoulements hydrauliques. Ingénieure prolifique, elle a fait plusieurs réalisations durables. Au début de sa carrière, elle a fondé (1994) le Laboratoire de machines hydrauliques (LAMH) de l’Université Laval, et l’a dirigé jusqu’à sa retraite, où sa succession a été assurées par le professeur Sébastien Houde. Elle a bâti une boucle d’essai de calibre international pour tester les turbines hydrauliques modèles et les micro-turbines. Dans les premières années, de ce laboratoire, les étudiant-e-s, chercheuses et chercheurs y ont réalisée des études de développement en génie hydraulique, en particulier des micro-turbines. En 2007, elle a fondé le Consortium en machines hydrauliques, auquel participent plusieurs multinationales constructrices de turbines hydrauliques de grande taille, des productrices d’électricité, CANMET du gouvernement fédéral et l’Université Laval. Avec le Consortium, elle a mené des projets de recherche d’envergure comme AxialT et BulbT, qui ont menés au développement des connaissances et à la création de bases de données expérimentales sur les turbines.
De l’autre côté, Claire se passionne et milite pour une meilleure représentation des femmes en STIM (sciences, technologies, ingénierie et mathématique). Derrière ce but ultime, elle s’est associée avec de nombreuses institutions pour faire des recherches sur la situation scolaire, la place sociale et l’histoire des femmes canadiennes et québécoises en STIM. Le fonds d’archives est centré sur les principales réalisations concernant ce point d’intérêt.
Titulaire de la Chaire CRSNG/Alcan sur les femmes en sciences et génie au Québec entre 1997 et 2005,
Claire a été cofondatrice d’AFFESTIM en 2002 (Association de la francophonie à propos des femmes en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques), d’INWES en 2002 (International Network for Women in Engineering and Sciences) et d’INWES-ERI en 2008 (Education and Research Institute). C’est justement dans le cadre d’INWES-ERI que Claire a participé au projet de création d’un corpus de fonds d’archives sur les femmes canadiennes en sciences et génie en collaboration avec la bibliothèque de l’Université d’Ottawa ainsi que Bibliothèque et Archives Canada. Ces associations ont réalisé plusieurs projets afin de comprendre les problématiques et la situation des femmes en STIM avant de proposer des solutions pour y remédier, comme OPUS, un centre WEB d’outils pédagogiques pour les professeur-e-s de sciences au secondaire et leurs élèves, afin de favoriser l’apprentissage de la physique du 2e cycle du secondaire au Québec, et F-STIM, un forum et site web destinés aux femmes comprenant de l’informations et des outils de partage sur les programmes scolaires et les carrières en STIM. Excepté INWES, Claire occupe encore des postes administratifs dans ces organisations et fait partie du comité-conseil de l’actuelle Chaire CRSNG pour les femmes en sciences et génie, dirigée par Ève Langelier, professeure à l’Université de Sherbrooke. En plus de la direction de la revue Recherches féministes depuis 2017, elle a occupé des postes-clés au sein de la Chaire Claire-Bonenfant (Femmes, Savoirs et Sociétés), dont la présidence du comité de direction de 2015 à 2019. À l’OIQ (Ordre des Ingénieurs du Québec), elle a participé au comité Femmes en ingénierie, notamment à titre de présidente entre 2002 et 2007. Elle a de plus été membre de nombreux comités et organismes.
Outre ces deux domaines et ses activités d’enseignement et de direction d’étudiant-e-s aux cycles supérieurs, Claire s’est impliquée dans plusieurs dossiers importants, particulièrement le SPPUL (Syndicat des Professeur(eure)s de l’Université Laval), des comités de sélection d’embauche de professeurs ou d’autres professionnels, des comités de programmes universitaires, des comités et la direction du département du génie mécanique, et les ressources pédagogiques pour les étudiants à l’Université Laval.
Tout au long de sa carrière, Claire a reçu de nombreux prix récompensant son travail. Les honneurs les plus marquants incluent l’Ordre du Canada (membre, Juin 2019), deux doctorats honorifiques (Université de Sherbrooke, 2019, et Université d’Ottawa, 2016); le prix Synergie pour l’innovation du CRSNG (2015), le titre de lauréate 2015 Le Soleil / Radio-Canada, catégorie Science et Recherche « Collaborer pour innover » (2015) ; le titre de Fellow d’Ingénieurs Canada (2015); le titre de Femme de réussite Chaudière-Appalaches dans le journal économique de Québec (2004) ; le prix de Femme de mérite de YMCA Québec (1999). (Description d'Étienne Dubé, juillet 2019).
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Born in 1954 in Grand-Mère (Québec), Claire did her primary and secondary education at the Ursulines (École St-Jean-Baptiste de Grand'Mère and Couvent St-Pierre de Shawinigan), her bachelor's degree (diploma in 1977) and her master's degree in mechanical engineering (diploma in 1986) at Laval University before doing a new doctorate (diploma in 1990) at the Institut Polytechnique de Grenoble in hydraulic engineering (Labyrinths in Francis turbines). She was hired at Laval University in 1989 as an assistant professor in mechanical engineering to replace the late Professor Herbert Netsch. After her thesis defense, she was promoted to Assistant Professor in 1990. She became an associate professor in 1994, and then full professor in 1998. Claire is currently retired (June 27, 2019) and has been appointed as an Associate Professor in the Department of Mechanical Engineering.
Her research career and accomplishments are divided into two main areas of interest. On the one hand, there are experimental and numerical studies in hydraulic engineering, particularly in turbines, micro-turbines and hydraulic flows. A prolific engineer, she has made several lasting achievements. Early in her career, she founded (1994) the Laboratoire de machines hydrauliques (LAMH) at Laval University, and directed it until her retirement, when her succession was assured by Professor Sébastien Houde. She built a world-class test loop for testing model hydraulic turbines and micro-turbines. In the early years of this laboratory, students and researchers carried out development studies in hydraulic engineering, in particular micro-turbines. In 2007, she founded the Consortium en machines hydrauliques, in which several multinational manufacturers of large hydraulic turbines, electricity producers, CANMET of the federal government and Laval University participate. With the Consortium, she has led major research projects such as AxialT and BulbT, which have led to the development of knowledge and the creation of experimental databases on turbines.
On the other hand, Claire is passionate about and advocates for a better representation of women in STEM (science, technology, engineering and mathematics). With this ultimate goal in mind, she has partnered with numerous institutions to research the academic status, social place and history of Canadian and Quebec women in STEM. The archive focuses on the main achievements in this area of interest.
Claire held the NSERC/Alcan Chair on Women in Science and Engineering in Quebec from 1997 to 2005,
Claire was co-founder of AFFESTIM in 2002 (Association de la francophonie à propos des femmes en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques), of INWES in 2002 (International Network for Women in Engineering and Sciences) and of INWES-ERI in 2008 (Education and Research Institute). It is precisely within the framework of INWES-ERI that Claire participated in the project to create a corpus of archival fonds on Canadian women in science and engineering in collaboration with the University of Ottawa Library and Library and Archives Canada. These associations have carried out several projects to understand the issues and situation of women in STEM and to propose solutions to address them, such as OPUS, a web-based pedagogical toolkit for high school science teachers and their students to promote the learning of senior high school physics in Quebec, and F-STIM, a forum and website for women that includes information and sharing tools on STEM curricula and careers. Apart from INWES, Claire still holds administrative positions in these organizations and is a member of the advisory committee of the current NSERC Chair for Women in Science and Engineering, headed by Ève Langelier, a professor at the Université de Sherbrooke. In addition to directing the journal Recherches féministes since 2017, she has held key positions within the Claire-Bonenfant Chair (Femmes, Savoirs et Sociétés), including chairing the steering committee from 2015 to 2019. At the OIQ (Ordre des Ingénieurs du Québec), she participated in the Women in Engineering Committee, notably as president between 2002 and 2007. She has also been a member of numerous committees and organizations.
In addition to these two areas and her teaching and graduate student leadership activities, Claire has been involved in several important issues, particularly the SPPUL (Syndicat des Professeur(eure)s de l'Université Laval), selection committees for the hiring of professors and other professionals, university program committees, committees and leadership of the mechanical engineering department, and pedagogical resources for students at Laval University.
Throughout her career, Claire has received numerous awards for her work. Most notable honors include the Order of Canada (Member, June 2019), two honorary doctorates (University of Sherbrooke, 2019, and University of Ottawa, 2016); NSERC Synergy Award for Innovation (2015), 2015 Le Soleil / Radio-Canada Laureate, Science and Research category "Collaborate to Innovate" (2015) ; the title of Fellow of Engineers Canada (2015); the title of Woman of Success Chaudière-Appalaches in the Quebec City economic newspaper (2004); the Woman of Merit award from YMCA Quebec (1999). (Étienne Dubé's description, July 2019).

Canadian Association for Social Work Education

  • Corporate body
  • 1967-
Founded in 1967, the Canadian Association for Social Work Education (CASWE-ACFTS) is a national not-for-profit association with a social justice focus that promotes excellence in social work education, scholarship and practice.
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Fondée en 1967, l'Association canadienne pour la formation en travail social (CASWE-ACFTS) est une association nationale à but non lucratif axée sur la justice sociale qui promeut l'excellence dans la formation, l'étude et la pratique du travail social.

Sheehy, Elizabeth

  • Person

Elizabeth Sheehy holds an LL.B., an LL.M., and an LL.D. (Honoris causa). She started teaching at the University of Ottawa in 1984 and has been a Full Professor since 1995. She held the Shirley Greenberg Chair for Women and the Legal Profession from 2013 to 2015 and previously held the Chair when it was first established in 2002-2004. Professor Sheehy has participated in various educational programs for the Canadian Judicial Institute on topics such as sexual assault, wife assault, and women and girls in the justice system. In 1999 she received the Excellence in Teaching Award from the Common Law Students’ Society at the University of Ottawa, Faculty of Law.

She has been a Member of the Law Society of Upper Canada since 1987. She was co-counsel for the Women’s Legal Education and Action Fund (LEAF) in its intervention in R v JA (“advance consent” to sexual assault) (2011 SCC 28).

Professor Sheehy is involved in many other law reform activities around equality rights and social justice issues. In 2009 she convened the first national conference in Canada on sexual assault law, entitled Sexual Assault Law, Practice and Activism in a Post-Jane Doe Era and currently sits on the Advisory Board for Informed Opinions, a national organization dedicated to including women’s expert voices in Canadian public discourse.
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Elizabeth Sheehy est titulaire d'un LL.B., d'un LL.M. et d'un LL.D. (Honoris causa). Elle a commencé à enseigner à l'Université d'Ottawa en 1984 et est professeur titulaire depuis 1995. Elle a été titulaire de la Chaire Shirley Greenberg sur les femmes et la profession juridique de 2013 à 2015 et avait déjà occupé cette chaire lors de sa création en 2002-2004. Le professeur Sheehy a participé à divers programmes éducatifs pour l'Institut canadien de la magistrature sur des sujets tels que l'agression sexuelle, l'agression contre l'épouse et les femmes et les filles dans le système judiciaire. En 1999, elle a reçu le prix d'excellence en enseignement de la Société des étudiants en common law de la Faculté de droit de l'Université d'Ottawa.

Elle est membre du Barreau du Haut-Canada depuis 1987. Elle a été co-avocate du Fonds d'action et d'éducation juridiques pour les femmes (FAEJ) dans son intervention dans l'affaire R. c. JA ("consentement préalable" à une agression sexuelle) (2011 CSC 28).

Le professeur Sheehy est impliqué dans de nombreuses autres activités de réforme du droit concernant les droits à l'égalité et les questions de justice sociale. En 2009, elle a organisé la première conférence nationale au Canada sur le droit des agressions sexuelles, intitulée Sexual Assault Law, Practice and Activism in a Post-Jane Doe Era. Elle siège actuellement au conseil consultatif d'Informed Opinions, une organisation nationale qui se consacre à l'inclusion des voix expertes des femmes dans le discours public canadien.

Overend, Valerie

  • CA
  • Person
  • 1953-

Valerie Overend was born in Regina, Saskatchewan in 1953. During the 1990s, Valerie worked as a Red Seal Carpenter on commercial construction projects in the Regina area with the local Carpenters Union. Valerie had never met another woman on a construction site and knew that she wanted to do something to change that situation. She knew that women wanted to work in physical, creative, well-paying jobs but that they were limited by opportunity. She took advantage of her role as a summer instructor and moved into creating other programs for girls and women, maintaining the focus on career exploration in trades and technology. For the next 25 years, Valerie made her living expanding on that role until to her retirement.

In the 1970s, Saskatchewan Women in Trades & Technology (SaskWITT), a provincial organization that promotes and assists in the recruitment and training of girls and young women in predominantly male fields, was established. In the early 1990s, Valerie represented SaskWITT on the Board of the WITT National Network. That organization also developed programs to guide women into careers in trades and technology occupations. Valerie was on the team of WITT instructors from across Canada who met to develop National Standards and Guidelines for WITT programs in Canada. These were updated and revised again near the end of the decade to reflect changes in the landscape of trades and technology occupations. This work was fundamental in the development of curriculum resources that were introduced in all provinces and territories in Canada, many of them still in use.

In 1991, Valerie was approached by the Saskatchewan Institute of Applied Science and Technology (SIAST) to teach summer camps to introduce grades 7 and 8 girls to careers in trades and technology. With Valerie at the helm, SIAST campuses delivered summer Girls Exploring Trades and Technology Camps, GETT Alumnae workshops for high school girls, weekend Kids in the Shop Programs, a Kindergarten project where role models visited 60 classes each year, Women in Trades and Women in Technology Exploratory Programs, Career Fairs and variations of all of these for Aboriginal girls and women.

In 1995, she co-founded the Women’s Work Training Program in Regina, Saskatchewan. Throughout her career, Valerie sat on numerous Boards and Committees representing tradeswomen. These include the Saskatchewan Education Council, Saskatchewan Carpenters Trade Board, Saskatchewan Provincial Apprenticeship Board, the Saskatchewan Labour Market Initiatives Committee to the Canadian Construction Association, and the Women’s Reference Group to the Provincial Labour Force Development Board. Nationally, Valerie represented Saskatchewan as a Director of the Canadian Vocational Association, WITT NN, and CCWESTT. Through her involvement with these organizations, Valerie held Director positions with the Canadian Apprenticeship Forum and the National Women’s Reference Group on Labour Market Initiatives.

Aside from working directly with girls and women, Valerie began to work with employers and unions to resolve some of the barriers that conspired to keep women out of jobs in various industries. She worked both as a private consultant and as a consultant with WITT NN on various Employment Equity and Retention projects throughout the decade. Valerie’s work often involved travel, primarily in Canada. Over time, Valerie worked not only with the Construction Industry but also with Oil and Gas, and Mining Industries. She had contracts in Newfoundland and Labrador, the Northwest Territories, and all of the Western Provinces and Ontario. As well, Valerie’s work once took her to Malawi in Africa.

When WITT NN dissolved in the early 2000s, Valerie was invited to work as a consultant to a project by the Canadian Coalition of Women in Science, Engineering, Trades and Technology (CCWESTT). This resulted in the formation of the WinSETT Centre, a mechanism established to expand and support women’s participation in Science, Engineering, Trades and Technology. Valerie became the Trades Consultant for the organization and worked to establish a pan-Canadian presence among unions, employers, and employer associations through delivery of programs and services.

Valerie has received both local and national recognition for her work. In 1992, she was awarded the Governor General’s 125 Medal for community volunteerism and she also recognized by the YWCA Regina as a Woman of Distinction. In 2005, Valerie received the Saskatchewan Centennial Medal. These awards recognize her dedicated work as a role model inspiring young women in non-traditional fields.
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Valerie Overend est née à Regina, en Saskatchewan, en 1953. Dans les années 1990, Valerie a travaillé comme charpentier Sceau rouge sur des projets de construction commerciale dans la région de Regina avec le syndicat local des charpentiers. Valerie n'avait jamais rencontré d'autre femme sur un chantier de construction et savait qu'elle voulait faire quelque chose pour changer cette situation. Elle savait que les femmes voulaient occuper des emplois physiques, créatifs et bien rémunérés, mais que les possibilités étaient limitées. Elle a profité de son rôle d'instructrice d'été pour créer d'autres programmes destinés aux jeunes filles et aux femmes, tout en continuant à mettre l'accent sur l'exploration des carrières dans les métiers et les technologies. Pendant les 25 années suivantes, Valerie a gagné sa vie en développant ce rôle jusqu'à sa retraite.

Dans les années 1970, Saskatchewan Women in Trades & Technology (SaskWITT), une organisation provinciale qui promeut et aide au recrutement et à la formation des filles et des jeunes femmes dans des domaines à prédominance masculine, a été créée. Au début des années 1990, Valerie a représenté SaskWITT au conseil d'administration du réseau national WITT. Cette organisation a également élaboré des programmes visant à orienter les femmes vers des carrières dans les métiers et les technologies. Valerie faisait partie de l'équipe d'instructeurs WITT de tout le Canada qui s'est réunie pour élaborer des normes et des lignes directrices nationales pour les programmes WITT au Canada. Celles-ci ont été mises à jour et révisées à nouveau vers la fin de la décennie pour refléter les changements dans le paysage des métiers et des technologies. Ce travail a joué un rôle fondamental dans l'élaboration de ressources pédagogiques qui ont été introduites dans toutes les provinces et tous les territoires du Canada, et dont beaucoup sont encore utilisées.

En 1991, Valerie a été contactée par le Saskatchewan Institute of Applied Science and Technology (SIAST) pour enseigner dans des camps d'été afin d'initier les filles de 7e et 8e année aux carrières dans les métiers et les technologies. Avec Valerie à la barre, les campus du SIAST ont organisé des camps d'été pour les filles explorant les métiers et la technologie, des ateliers GETT Alumnae pour les lycéennes, des programmes "Kids in the Shop" le week-end, un projet pour les maternelles dans le cadre duquel des modèles visitent 60 classes chaque année, des programmes exploratoires "Women in Trades" et "Women in Technology", des salons de l'emploi et des variantes de tous ces programmes pour les filles et les femmes autochtones.

En 1995, elle a cofondé le Women's Work Training Program à Regina, en Saskatchewan. Tout au long de sa carrière, Valerie a siégé à de nombreux conseils et comités représentant les femmes de métier. Elle a notamment siégé au Saskatchewan Education Council, au Saskatchewan Carpenters Trade Board, au Saskatchewan Provincial Apprenticeship Board, au Saskatchewan Labour Market Initiatives Committee de l'Association canadienne de la construction et au Women's Reference Group du Provincial Labour Force Development Board. Au niveau national, Valerie a représenté la Saskatchewan en tant que directrice de l'Association canadienne de la formation professionnelle, du WITT NN et du CCWESTT. Dans le cadre de sa participation à ces organisations, Valerie a occupé des postes de directrice au sein du Forum canadien sur l'apprentissage et du Groupe de référence national des femmes sur les initiatives relatives au marché du travail.

En plus de travailler directement avec les filles et les femmes, Valerie a commencé à collaborer avec les employeurs et les syndicats afin de lever certains des obstacles qui empêchaient les femmes d'accéder à des emplois dans divers secteurs d'activité. Elle a travaillé à la fois comme consultante privée et comme consultante pour WITT NN sur divers projets d'équité en matière d'emploi et de maintien dans l'emploi tout au long de la décennie. Le travail de Valerie impliquait souvent des déplacements, principalement au Canada. Au fil du temps, Valerie a travaillé non seulement avec l'industrie de la construction, mais aussi avec les industries pétrolières, gazière et minière. Elle a eu des contrats à Terre-Neuve-et-Labrador, dans les Territoires du Nord-Ouest, dans toutes les provinces de l'Ouest et en Ontario. En outre, le travail de Valerie l'a amenée une fois au Malawi, en Afrique.
Lorsque WITT NN a été dissous au début des années 2000, Valerie a été invitée à travailler en tant que consultante pour un projet de la Coalition canadienne des femmes en sciences, ingénierie, métiers et technologie (CCWESTT). Ce projet a abouti à la création du centre WinSETT, un mécanisme destiné à accroître et à soutenir la participation des femmes dans les domaines des sciences, de l'ingénierie, des métiers et de la technologie. Valerie est devenue consultante en métiers pour l'organisation et s'est efforcée d'établir une présence pancanadienne parmi les syndicats, les employeurs et les associations d'employeurs en offrant des programmes et des services.

Valerie a reçu une reconnaissance locale et nationale pour son travail. En 1992, elle a reçu la médaille 125 du gouverneur général pour son bénévolat communautaire et a également été reconnue par le YWCA de Regina comme une femme de distinction. En 2005, Valerie a reçu la médaille du centenaire de la Saskatchewan. Ces prix récompensent son travail dévoué en tant que modèle inspirant les jeunes femmes dans des domaines non traditionnels.

Veilleux, Denise

  • Person
Née à Montréal, Denise Veilleux s'est installée dans l'Outaouais après des études en traduction à l'Université Laval. En plus de travailler dans le domaine de la traduction, notamment au sein du gouvernement fédéral, elle a été chroniqueuse, co-animatrice puis réalisatrice de l'émission Ellipse diffusée sur les ondes de CHUO, la radio de l'Université d'Ottawa. Elle a également écrit des articles pour diverses revues et journaux dont la revue Femmes d'action et pour la Fédération nationale des femmes canadiennes-françaises (FNFCF). Denise Veilleux est une activitiste qui s’est consacrée aux questions d’intérêt pour les femmes, notamment la santé, l’éducation, la prévention de la violence et la lutte à la pauvreté et dans la lutte contre la mondialisation et contre la guerre. Elle s’est présentée comme candidate de l’UFP (Union des forces progressistes) dans le comté de Hull à l’élection d’avril 2003 et a été porte-parole nationale et vice-présidente de l’Union des forces progressistes (UFP). Elle habite à Winnipeg.
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Born in Montreal, Denise Veilleux moved to the Outaouais after studying translation at Laval University. In addition to working in the field of translation, notably for the federal government, she was a columnist, co-host and then producer of the program Ellipse broadcast on CHUO, the University of Ottawa's radio station. She has also written articles for various magazines and newspapers, including Femmes d'action magazine and the Fédération nationale des femmes canadiennes-françaises (FNFCF). Denise Veilleux is an activist who has dedicated herself to women's issues, including health, education, violence prevention and anti-poverty, anti-globalization and anti-war. She ran as a UFP (Union des forces progressistes) candidate in Hull County in the April 2003 election and was the national spokesperson and vice-president of the UFP. She lives in Winnipeg.

Freeman, Barbara M.

  • Person
Barbara M. Freeman holds a Bachelor of Journalism degree and a Master of Arts in Canadian Studies from Carleton University. She graduated with a Ph.D. in History from Concordia University in Montreal. She began teaching at Carleton University in Ottawa in 1980 after a career in broadcast journalism. As an adjunct research professor of journalism at Carleton University, her key research areas were communications history, and gender and diversity issues in the media in the School of Journalism and Communication. She is the author of Beyond Bylines: Media Workers and Women’s Rights in Canada (2011), The Satellite Sex: The Media and Women’s Issues in English Canada, 1966-1971 (2001), and of Kit’s Kingdom: the Journalism of Kathleen Blake Colema (1989). In these essays, she examines historical cases of women who worked in print and broadcast media and were committed activists as well. Her case studies illustrate how the language and foci of women’s rights have changed from the late 19th century until the year 2000 as her subjects sought equality in education, suffrage, fair employment practices, reproductive and sexual freedom, and the rights of indigenous women. She has also published articles in several anthologies and journals. She is a founding and executive member of the Media and Communication History Committee and a member of the Canadian Committee on Women’s History.
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Barbara M. Freeman est titulaire d'une licence en journalisme et d'un master en études canadiennes de l'université Carleton. Elle a obtenu un doctorat en histoire à l'université Concordia de Montréal. Elle a commencé à enseigner à l'université Carleton à Ottawa en 1980 après une carrière dans le journalisme de radiodiffusion. En tant que professeure adjointe de journalisme à l'université Carleton, ses principaux domaines de recherche étaient l'histoire de la communication et les questions de genre et de diversité dans les médias au sein de l'école de journalisme et de communication. Elle est l'autrice de Beyond Bylines : Media Workers and Women's Rights in Canada (2011), The Satellite Sex : The Media and Women's Issues in English Canada, 1966-1971 (2001), et de Kit's Kingdom : the Journalism of Kathleen Blake Colema (1989). Dans ses essais, elle examine des cas historiques de femmes qui travaillaient dans la presse écrite et audiovisuelle et qui étaient également des militantes engagées. Ses études de cas illustrent la manière dont le langage et les priorités des droits des femmes ont évolué entre la fin du XIXe siècle et l'an 2000, alors que ses sujets recherchaient l'égalité dans l'éducation, le suffrage, des pratiques d'emploi équitables, la liberté sexuelle et reproductive, et les droits des femmes indigènes. Elle a également publié des articles dans plusieurs anthologies et revues. Elle est membre fondatrice et exécutive du Comité d'histoire des médias et de la communication et membre du Comité canadien d'histoire des femmes.

Section of Women and Psychology of the Canadian Association of Psychology (SWAP-CPA)

  • Corporate body
  • 1976-
The Section on Women and Psychology (SWAP) is a community of researchers, teachers, and practitioners interested in the psychology of women and feminist psychology. It aims to advance the status of women in psychology, to promote equity for women in general, and to educate psychologists and the public on topics relevant to women and girls. It supports students through an annual student paper award and a convention social event. Members are kept informed of developments via annual newsletters and are connected through the CanFemPsyc listserv and other online groups. SWAP members regularly organize symposia and pre-conference institutes as well as supporting a Status of Women Committee.
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La section Femmes et psychologie (SWAP) est une communauté de chercheurs, d'enseignants et de praticiens qui s'intéressent à la psychologie des femmes et à la psychologie féministe. Elle vise à faire progresser le statut des femmes en psychologie, à promouvoir l'équité pour les femmes en général et à éduquer les psychologues et le public sur des sujets pertinents pour les femmes et les filles. Elle soutient les étudiants par le biais d'un prix annuel pour les travaux d'étudiants et d'un événement social lors de la convention. Les membres sont tenus informés des développements par le biais de bulletins d'information annuels et sont connectés par le biais du listserv CanFemPsyc et d'autres groupes en ligne. Les membres de SWAP organisent régulièrement des symposiums et des instituts pré-conférence et soutiennent un comité sur le statut des femmes.
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