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Tipo de entidad
Forma autorizada del nombre
Forma(s) paralela(s) de nombre
Forma(s) normalizada del nombre, de acuerdo a otras reglas
Otra(s) forma(s) de nombre
- WPT
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Fechas de existencia
Historia
In 1982, a ground-breaking conference about gender perspective on urban issues was organized in Toronto by Women In/And Planning (WIAP). It sought to examine the underlying disconnections between urban planning practices and women’s needs.
In 1985, the creation of Women Plan Toronto (WPT) was inspired by an article in Women Environment about Women Plan London (WPL) in the UK. Reggie Modlich was a founding member of WPT and its main coordinator. It was supported by a grant from the federal government via the Status of Women agency as well as by WIAP.
Reggie Modlich defined WPT as ‘a grassroots women’s organization that uses participatory methods to involve diverse women in changing urban planning processes and outcomes in Toronto. Its purpose is to raise awareness and advocate alternatives for addressing women’s planning concerns’.
WPT was composed of a voluntary committee called ‘circles’ in order to avoid the traditional male hierarchical structure of organization. All members who attended a meeting could be part of the decision-making process. Thus, WPT started to exploring gender issues in urban planning by holding informal discussions. Women from various social backgrounds were invited to talk about their experiences and ideas relating to Toronto’s urban environment. The groups explored issues related to child care, public transit, personal safety, municipal governance and elections, housing, and urban planning.
Barbara Loevinger Rahder explains that ‘the structure of the organization, fluctuated with its memberships, depending on who is involved what their interests are, and what issues are on the public agenda (or put on the public agenda by WPT). There [was] one part-time staff member, and a core of about seven or eight volunteers who [were] usually very active in the circles and on various projects. Another fifty women or so [were] less active members, and up to another 3000 individuals and organizations [were] part of a broader network which [was] kept informed and sometimes mobilized around important issues and events’.
From 1985 to 1998, WPT took up various issues and started executing various projects. In this way, during the 1980s and 1990s, WPT had a direct impact on urban planning in Toronto: ‘For more than a decade, the organization has worked to focus attention on women’s needs in the city, to critique the inequities of mainstream planning, and to develop alternative visions of what planning and urban life would be like if women diverse needs were taken into account’.
In 2004, Toronto Women’s City Alliance (TWCA) succeeded WPT.
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En 1982, une conférence innovante sur la perspective de genre dans les questions urbaines a été organisée à Toronto par Women In/And Planning (WIAP). Cette conférence visait à examiner les décalages sous-jacents entre les pratiques d'urbanisme et les besoins des femmes.
En 1985, la création de Women Plan Toronto (WPT) a été inspirée par un article paru dans Women Environment sur Women Plan London (WPL) au Royaume-Uni. Reggie Modlich est l'un des membres fondateurs du WPT et son principal coordinateur. Il a bénéficié d'une subvention du gouvernement fédéral par l'intermédiaire de l'agence de la condition féminine ainsi que du WIAP.
Reggie Modlich a défini WPT comme "une organisation de femmes de la base qui utilise des méthodes participatives pour impliquer diverses femmes dans la modification des processus et des résultats de la planification urbaine à Toronto. Son objectif est de sensibiliser et de préconiser des alternatives pour répondre aux préoccupations des femmes en matière d'urbanisme".
WPT se compose d'un comité volontaire appelé "cercles" afin d'éviter la structure hiérarchique masculine traditionnelle de l'organisation. Tous les membres qui assistaient à une réunion pouvaient participer au processus de prise de décision. C'est ainsi que la WPT a commencé à explorer les questions de genre dans la planification urbaine en organisant des discussions informelles. Des femmes de différents milieux sociaux ont été invitées à parler de leurs expériences et de leurs idées concernant l'environnement urbain de Toronto. Les groupes ont exploré les questions liées à la garde d'enfants, aux transports publics, à la sécurité personnelle, à la gouvernance et aux élections municipales, au logement et à l'urbanisme.
Barbara Loevinger Rahder explique que "la structure de l'organisation fluctuait en fonction de ses membres, des personnes impliquées, de leurs intérêts et des questions à l'ordre du jour (ou mises à l'ordre du jour par WPT). Il y avait une employée à temps partiel et un noyau d'environ sept ou huit bénévoles qui étaient généralement très actifs dans les cercles et dans divers projets. Une cinquantaine d'autres femmes étaient des membres moins actifs, et jusqu'à 3 000 autres personnes et organisations faisaient partie d'un réseau plus large qui était tenu informé et parfois mobilisé autour de questions et d'événements importants.
De 1985 à 1998, la WPT s'est penchée sur diverses questions et a commencé à mettre en œuvre divers projets. Ainsi, au cours des années 1980 et 1990, la WPT a eu un impact direct sur la planification urbaine à Toronto : Pendant plus d'une décennie, l'organisation s'est efforcée d'attirer l'attention sur les besoins des femmes dans la ville, de critiquer les inégalités de la planification traditionnelle et de développer des visions alternatives de ce que la planification et la vie urbaine pourraient être si les divers besoins des femmes étaient pris en compte.
En 2004, la Toronto Women's City Alliance (TWCA) a succédé à WPT.