Área de identidad
Tipo de entidad
Entidad colectiva
Forma autorizada del nombre
Wages Due Lesbians
Forma(s) paralela(s) de nombre
Forma(s) normalizada del nombre, de acuerdo a otras reglas
Otra(s) forma(s) de nombre
Identificadores para instituciones
Área de descripción
Fechas de existencia
1973-1984
Historia
"Prior to Wages for Housework’s demise, in the mid-1970s a group of lesbians which had belonged to it created a new organization, Wages Due Lesbians (also known as Wages Due). Their policies were much the same, however, their emphasis was on the rights of lesbian mothers. Their constitutional difference was that: “Wages for Housework recognizes that doing cleaning, raising children, taking care of men, is not women’s biological destiny. Lesbianism recognizes that heterosexual love and marriage is not women’s biological destiny. Both are definitions of women’s roles by the state and for the advantage of the state.” (Lesbians Organize, Toronto, Ontario, 1977)
The Wages Due Lesbians organization campaigned to have housework recognized as work and demanded the right to have relationships with other women. They also made demands to the government for paid daycare, so that lesbian women could work and keep their children. As with Wages for Housework, they were highly involved in campaigns, rallies and publishing articles on women rights and in particular lesbian mothers’ rights. The organization seems to have disbanded by the early 1980s.
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Avant la disparition de Wages for Housework, au milieu des années 70, un groupe de lesbiennes qui en faisait partie a créé une nouvelle organisation, Wages Due Lesbians (également connue sous le nom de Wages Due). Leurs politiques étaient sensiblement les mêmes, mais elles mettaient l'accent sur les droits des mères lesbiennes. Leur différence constitutionnelle est la suivante : ""Wages for Housework reconnaît que faire le ménage, élever les enfants, s'occuper des hommes, n'est pas le destin biologique des femmes. Le lesbianisme reconnaît que l'amour et le mariage hétérosexuels ne sont pas le destin biologique des femmes. Dans les deux cas, il s'agit d'une définition du rôle des femmes par l'État et à l'avantage de l'État"". (Lesbians Organize, Toronto, Ontario, 1977)
L'organisation Wages Due Lesbians a fait campagne pour que les tâches ménagères soient reconnues comme un travail et a revendiqué le droit d'avoir des relations avec d'autres femmes. Elle a également demandé au gouvernement de mettre en place des garderies payantes, afin que les lesbiennes puissent travailler et garder leurs enfants. Comme Wages for Housework, elles étaient très impliquées dans les campagnes, les rassemblements et la publication d'articles sur les droits des femmes et en particulier sur les droits des mères lesbiennes. L'organisation semble avoir été dissoute au début des années 1980."
The Wages Due Lesbians organization campaigned to have housework recognized as work and demanded the right to have relationships with other women. They also made demands to the government for paid daycare, so that lesbian women could work and keep their children. As with Wages for Housework, they were highly involved in campaigns, rallies and publishing articles on women rights and in particular lesbian mothers’ rights. The organization seems to have disbanded by the early 1980s.
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Avant la disparition de Wages for Housework, au milieu des années 70, un groupe de lesbiennes qui en faisait partie a créé une nouvelle organisation, Wages Due Lesbians (également connue sous le nom de Wages Due). Leurs politiques étaient sensiblement les mêmes, mais elles mettaient l'accent sur les droits des mères lesbiennes. Leur différence constitutionnelle est la suivante : ""Wages for Housework reconnaît que faire le ménage, élever les enfants, s'occuper des hommes, n'est pas le destin biologique des femmes. Le lesbianisme reconnaît que l'amour et le mariage hétérosexuels ne sont pas le destin biologique des femmes. Dans les deux cas, il s'agit d'une définition du rôle des femmes par l'État et à l'avantage de l'État"". (Lesbians Organize, Toronto, Ontario, 1977)
L'organisation Wages Due Lesbians a fait campagne pour que les tâches ménagères soient reconnues comme un travail et a revendiqué le droit d'avoir des relations avec d'autres femmes. Elle a également demandé au gouvernement de mettre en place des garderies payantes, afin que les lesbiennes puissent travailler et garder leurs enfants. Comme Wages for Housework, elles étaient très impliquées dans les campagnes, les rassemblements et la publication d'articles sur les droits des femmes et en particulier sur les droits des mères lesbiennes. L'organisation semble avoir été dissoute au début des années 1980."