Área de identidad
Tipo de entidad
Forma autorizada del nombre
Forma(s) paralela(s) de nombre
Forma(s) normalizada del nombre, de acuerdo a otras reglas
Otra(s) forma(s) de nombre
Identificadores para instituciones
Área de descripción
Fechas de existencia
Historia
Upstream was an Ottawa-based feminist news magazine published by the Feminist Publications of Ottawa. In January 1976, after a notice was posted in the Ottawa Women’s Centre, a collective began forming around the idea of a feminist news publication. The first issue was published in October 1976 thanks to a $3000 grant from the Bronfman Foundation and several fundraising endeavours. It began as a bi-monthly publication but changed to monthly when finances became difficult to secure. The collective started as a 16 women team and grew to include freelancers, volunteers, and a number of employees. They also hired students and contract employees through government assistant programs.
The name was adopted in honour of Agnes Macphail, the first woman elected to the House of Commons, who compared her public life in 1922 to a pleasurable but difficult voyage upstream. The staff felt that this paralleled the struggles women experienced going against traditional, exploitative currents in Canadian society. Published from 1976 to 1980, the collective wanted to keep women in Ottawa, and eventually Canada, informed of news and women’s issues from a feminist point of view. It was also a vehicle for encouraging dialogue between their readers.
Conceived of as a completely volunteer publication, Upstream began as a 20 page tabloid with 75% of space devoted to news and 25% to advertising. Each issue would include local news from a woman’s viewpoint as well as arts, sports, editorials, letters, opposition editorials, columns, national, and international news. Staffed by individuals with diverse backgrounds, they wanted to bring a variety of articles to their readers. This organization functioned with a non-hierarchical structure, which eventually caused issues within the group. Upstream was sustained through subscriptions and donations with a goal of generating advertising revenue in the future.
After fourteen months, Upstream developed some internal disharmony especially with regards to the political direction of the paper. Although they wanted a collective with diversity they required a more unified business plan. There are several letters and reports of issues with distribution including missing issues for several months, which is indicative of a lack of clearly defined roles and responsibilities within the collective. The disorganization eventually led to several members resigning over creative differences. Although they had steady circulation and revenue from a typesetting business, the paper experienced severe financial difficulties in early 1980. The collective went through a restructuring phase that was meant to create a unified policy that would help with the content, structure, and the political aim of the news magazine. Unfortunately, the reconstruction only identified bigger issues. In July 1980, the final issue of Upstream was published including personal messages on Upstream’s challenges and goodbyes. There was a wave of support both written and financial after the end of publication.
Feminist Publications of Ottawa hoped to expand into other forms of publication including graphic design. In 1978, members of the original collective also received a Secretary of State Grant to create a poster series on Women in History. This series included posters about women in sports, working in non-traditional careers, and a focus on the People’s case. There is no clear evidence that the full series was ever completed.
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Upstream était un magazine d'information féministe publié à Ottawa par les Publications féministes d'Ottawa. En janvier 1976, après l'affichage d'un avis au Centre des femmes d'Ottawa, un collectif s'est formé autour de l'idée d'une publication d'information féministe. Le premier numéro est publié en octobre 1976 grâce à une subvention de 3 000 $ de la Fondation Bronfman et à plusieurs collectes de fonds. Au départ, il s'agissait d'une publication bimestrielle, mais elle est devenue mensuelle lorsque les finances sont devenues difficiles à obtenir. Le collectif, composé au départ d'une équipe de 16 femmes, s'est agrandi pour inclure des pigistes, des bénévoles et un certain nombre d'employés. Il a également embauché des étudiants et des employés contractuels dans le cadre de programmes d'aide gouvernementaux.
Le nom a été adopté en l'honneur d'Agnes Macphail, la première femme élue à la Chambre des communes, qui a comparé sa vie publique en 1922 à un voyage agréable mais difficile en amont. L'équipe a estimé que cela correspondait aux luttes menées par les femmes contre les courants traditionnels d'exploitation de la société canadienne. Publié de 1976 à 1980, le collectif voulait tenir les femmes d'Ottawa, et éventuellement du Canada, informées de l'actualité et des questions relatives aux femmes d'un point de vue féministe. Il s'agissait également d'un moyen d'encourager le dialogue entre les lectrices.
Conçu comme une publication entièrement bénévole, Upstream a débuté sous la forme d'un tabloïd de 20 pages dont 75 % de l'espace était consacré à l'information et 25 % à la publicité. Chaque numéro comprend des nouvelles locales du point de vue des femmes, ainsi que des articles sur les arts, les sports, des éditoriaux, des lettres, des éditoriaux d'opposition, des chroniques, des nouvelles nationales et internationales. Composé d'individus aux parcours variés, le journal souhaitait proposer une grande diversité d'articles à ses lecteurs. Cette organisation fonctionnait selon une structure non hiérarchique, ce qui a fini par causer des problèmes au sein du groupe. Upstream était financé par des abonnements et des dons, l'objectif étant de générer des revenus publicitaires à l'avenir.
Au bout de quatorze mois, Upstream a développé des désaccords internes, notamment en ce qui concerne l'orientation politique du journal. Bien qu'ils souhaitaient un collectif diversifié, ils avaient besoin d'un plan d'entreprise plus unifié. Plusieurs lettres et rapports font état de problèmes de distribution, notamment de numéros manquants pendant plusieurs mois, ce qui témoigne d'un manque de rôles et de responsabilités clairement définis au sein du collectif. La désorganisation a finalement conduit plusieurs membres à démissionner en raison de divergences créatives. Malgré une diffusion régulière et des revenus provenant d'une entreprise de composition, le journal a connu de graves difficultés financières au début de 1980. Le collectif passe par une phase de restructuration destinée à créer une politique unifiée qui aiderait à définir le contenu, la structure et l'objectif politique du magazine d'information. Malheureusement, la reconstruction n'a fait qu'identifier des problèmes plus importants. En juillet 1980, le dernier numéro d'Upstream a été publié avec des messages personnels sur les défis et les adieux d'Upstream. Après la fin de la publication, une vague de soutien écrit et financier s'est produite.
Feminist Publications of Ottawa espérait s'étendre à d'autres formes de publication, y compris la conception graphique. En 1978, les membres du collectif d'origine ont également reçu une subvention du Secrétariat d'État pour créer une série d'affiches sur les femmes dans l'histoire. Cette série comprenait des affiches sur les femmes dans les sports, sur les carrières non traditionnelles et sur l'affaire du peuple. Il n'y a pas de preuve évidente que la série complète ait jamais été achevée.