Identificatie
Soort entiteit
Geauthoriseerde naam
Parallelle vormen van de naam
Gestandaardiseerde naamvorm(en) volgens andere regels.
Aandere naamsvormen
Identificatiecode voor organisaties
Beschrijving
Bestaansperiode
Geschiedenis
Maureen Jessop Orton was a social work researcher specializing in sexual health policy who worked on research projects that examined the impact of sexual health policy in Ontario. Orton attended the University of Toronto, where she completed a Bachelor of Arts in 1950, and then completed a Bachelor of Social Work in 1955. In the 1950s, she worked for the Canadian Red Cross and the Children's Aid Society of Hamilton-Wentworth. From 1957 to 1971, she raised two children and participated in community NGOs, and also did playwriting.
In 1971 she returned to research, working at McMaster University under social work professor Cyril Greenland on a study of child abuse in Ontario. Starting in 1972, she worked for the Canadian Association of Social Work on the Symposium on Sexuality & Fertility. During this time, Orton began a Master of Arts degree specializing in Social Welfare Policy at McMaster University, which she completed in 1974. That same year, she started the Multidisciplinary Extension Program in Sexuality & Fertility at McMaster, a post-professional education program for social workers, educators and medical professionals to enable them to provide sexual health education programs through their work. The program ended in 1976, after which she became a part-time lecturer and researcher at the McMaster School of Social Work.
In 1979, Orton started a major research project with Ellen Rosenblatt on teenage pregnancy in Ontario, sponsored by Planned Parenthood Ontario and hosted by McMaster University. The goal of the project was to examine the impact that access to sexual health education programs had on rates of teenage pregnancy. The project produced reports in 1981 and 1986 before formally separating from Planned Parenthood and moving to the University of Toronto in 1989. The third and fourth reports were subsequently published in 1991 and 1993, and the project ended in 1994 after 15 years.
During this period, Orton made many presentations on the project's findings to the Ontario government and professional conferences. In 1984, she served as an expert witness for the defence in the pivotal Morgentaler, Scott & Smoling abortion trial. In 1982, she also served as an expert witness for the plaintiffs at the Planned Parenthood Newfoundland and Labrador v. Fedorik & Right-To-Life Newfoundland and Labrador libel trial in St. John's.
In 1981, Orton became an Associate Professor of Social Work at McMaster, before leaving in 1983 to pursue her Ph.D. From 1983 to 1991, Orton completed her Ph.D at the University of Toronto, which compared the impacts of sexual health policy and social change in Alberta and Ontario. In 1993, she became an Associate Research Affiliate at the Faculty of Social Work of the University of Toronto, a role she held for five years before retiring in 1998.
In 1999, following major changes to the public health system in Ontario under the Harris government that downloaded full responsibility for the funding and provision of public health services onto municipalities, the Sexual Health Network of Ontario commissioned Orton and two other researchers, City of Toronto public health researcher Deborah Hardwick and University of Toronto social work researcher Emmanuel Koku, to produce a report on the impacts of these changes on sexual health services in the province. The report was published in 2001.
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Maureen Jessop Orton était une chercheuse en travail social spécialisée dans les politiques de santé sexuelle. Elle a travaillé sur des projets de recherche qui examinaient l'impact des politiques de santé sexuelle en Ontario. Orton a fréquenté l'université de Toronto, où elle a obtenu un baccalauréat en arts en 1950, puis un baccalauréat en travail social en 1955. Dans les années 1950, elle a travaillé pour la Croix-Rouge canadienne et la Société d'aide à l'enfance de Hamilton-Wentworth. De 1957 à 1971, elle élevait deux enfants et participait à des ONG communautaires. Elle écrivait aussi des pièces de théâtre durant cette période.
En 1971, elle a fait retour à la recherche à l'université McMaster sous la direction du professeur de travail social Cyril Greenland à une étude sur la maltraitance des enfants en Ontario. À partir de 1972, elle travaillait pour l'Association canadienne de travail social sur le Symposium sur la sexualité et la fertilité. À la même époque, Orton a commencé une maîtrise en arts spécialisée en politique de bien-être sociale à l'université McMaster, qu'elle a accompli en 1974. L'année-même, elle a lancé le Multidisciplinary Extension Program in Sexuality & Fertility à McMaster, un programme de formation post-professionnelle destinée aux travailleurs sociaux, éducateurs et professionnels de la santé afin de leur permettre d'offrir des programmes d'éducation en matière de santé sexuelle dans le cadre de leur travail. Le programme a pris fin en 1976, après quoi elle est devenue chercheuse et conférencière à temps partiel à l'école de travail social de McMaster.
En 1979, Orton a entamé avec Ellen Rosenblatt un important projet de recherche sur les grossesses chez les adolescentes en Ontario, parrainé par Planned Parenthood Ontario et hébergé par l'université McMaster. L'objectif du projet était d'examiner l'impact de l'accès aux programmes d'éducation à la santé sexuelle sur les taux de grossesse chez les adolescentes. Le projet a produit des rapports en 1981 et 1986 avant de se séparer officiellement de Planned Parenthood et de s'installer à l'Université de Toronto en 1989. Les troisième et quatrième rapports ont été publiés en 1991 et 1993, et le projet a pris fin en 1994, après 15 ans.
Au cours de cette période, Orton a fait de nombreuses présentations sur les résultats du projet devant le gouvernement de l'Ontario et lors de conférences professionnelles. En 1984, elle a été témoin expert pour la défense dans le procès crucial de Morgentaler, Scott & Smoling sur l'avortement. En 1982, elle a également été témoin expert pour les plaignants lors du procès en diffamation de Planned Parenthood Newfoundland and Labrador v. Fedorik & Right-To-Life Newfoundland and Labrador à St. John's.
En 1981, Orton est devenue professeur associé de travail social à McMaster, avant de quitter l'université en 1983 pour préparer son doctorat. Mme Orton a accompli son doctorat à l'université de Toronto de 1983 à 1991, avec une thèse qui comparait les impacts de la politique de santé sexuelle et des changements sociaux dans l'Alberta et l'Ontario. En 1993, elle est devenue associée de recherche à la Faculté de travail social de l'Université de Toronto, poste qu'elle a occupé pendant cinq ans avant de prendre sa retraite en 1998.
En 1999, à la suite des changements majeurs apportés au système de santé publique de l'Ontario par le gouvernement Harris, qui a transféré aux municipalités l'entière responsabilité du financement et de la fourniture des services de santé publique, le Réseau de santé sexuelle de l'Ontario a commandé un rapport sur l'impact de ces changements sur les services de santé sexuelle dans la province. L'équipe de recherche se composait de Orton et deux autres chercheurs: Deborah Hardwick, chercheuse en santé publique à la ville de Toronto et Emmanuel Koku, chercheur en travail social à l'université de Toronto. Le rapport a été publié en 2001.