識別情報のエリア
エンティティの種別
個人
正式名称
Vance, Joanie
名称の異なる表記
他の規則に従って標準化された名称の形式
他の名称のフォーム
組織体用識別子
記述のエリア
実在期間
1953-
歴史
In the early 1970s, the issue of violence against women gained public attention, resulting in the establishment of numerous women’s shelters and Rape Crisis Centres across Canada. In May of 1975, the 22-year-old Joanie Vance began working at the Montreal Rape Crisis Centre. Vance coordinated the center with another woman until September 1976, at which point she was hired as the first-ever National Assistor for Canadian Rape Crisis Centres. This position was funded by Health and Welfare Canada through a demonstration project grant awarded to the Ottawa-Hull RCC. The purpose of the National Assistor was to combat the isolation of Canadian RCCs, and to coordinate efforts for funding, public education projects, and legal reform. A network of RCCs was established in order to share critical experience and information between RCCs. During her time as the National Assistor, Vance spearheaded invaluable projects including “How to Start a Rape Crisis Centre,” “The Rape Crisis Centre Training Manual for Volunteers,” “A Funding Manual for Rape Crisis Centres,” and “How to Write a Grant Application.” Vance also published and distributed a newsletter to all Canadian RCCs, keeping them informed of each other’s activities. She also organized and ran National RCC conferences, acted as a mediator between regional RCCs, and conducted research federal law enforcement procedures, hospital procedures, legal advocacy, and counselling techniques.
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Au début des années 1970, la question de la violence à l'égard des femmes a attiré l'attention du public, ce qui a entraîné la création de nombreux refuges pour femmes et de centres d'aide aux victimes de viols dans tout le Canada. En mai 1975, Joanie Vance, âgée de 22 ans, commence à travailler au Centre d'aide aux victimes de viol de Montréal. Elle coordonne le centre avec une autre femme jusqu'en septembre 1976, date à laquelle elle est engagée comme première assistante nationale pour les centres d'aide aux victimes de viols du Canada. Ce poste est financé par Santé et Bien-être social Canada par le biais d'une subvention accordée au CCR d'Ottawa-Hull dans le cadre d'un projet de démonstration. L'objectif de l'assistante nationale était de lutter contre l'isolement des CCR canadiens et de coordonner les efforts en matière de financement, de projets d'éducation du public et de réforme juridique. Un réseau de RCC a été mis en place afin de partager les expériences et les informations critiques entre les RCC. En tant qu'assistante nationale, Vance a mené des projets inestimables, notamment "Comment créer un centre d'aide aux victimes de viol", "Le manuel de formation des bénévoles du centre d'aide aux victimes de viol", "Un manuel de financement pour les centres d'aide aux victimes de viol" et "Comment rédiger une demande de subvention". Mme Vance a également publié et distribué un bulletin d'information à tous les CCR canadiens, afin de les tenir informés des activités de chacun. Elle a également organisé et dirigé les conférences nationales des CCR, joué le rôle de médiatrice entre les CCR régionaux et mené des recherches sur les procédures fédérales d'application de la loi, les procédures hospitalières, la défense des intérêts juridiques et les techniques de conseil.
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Au début des années 1970, la question de la violence à l'égard des femmes a attiré l'attention du public, ce qui a entraîné la création de nombreux refuges pour femmes et de centres d'aide aux victimes de viols dans tout le Canada. En mai 1975, Joanie Vance, âgée de 22 ans, commence à travailler au Centre d'aide aux victimes de viol de Montréal. Elle coordonne le centre avec une autre femme jusqu'en septembre 1976, date à laquelle elle est engagée comme première assistante nationale pour les centres d'aide aux victimes de viols du Canada. Ce poste est financé par Santé et Bien-être social Canada par le biais d'une subvention accordée au CCR d'Ottawa-Hull dans le cadre d'un projet de démonstration. L'objectif de l'assistante nationale était de lutter contre l'isolement des CCR canadiens et de coordonner les efforts en matière de financement, de projets d'éducation du public et de réforme juridique. Un réseau de RCC a été mis en place afin de partager les expériences et les informations critiques entre les RCC. En tant qu'assistante nationale, Vance a mené des projets inestimables, notamment "Comment créer un centre d'aide aux victimes de viol", "Le manuel de formation des bénévoles du centre d'aide aux victimes de viol", "Un manuel de financement pour les centres d'aide aux victimes de viol" et "Comment rédiger une demande de subvention". Mme Vance a également publié et distribué un bulletin d'information à tous les CCR canadiens, afin de les tenir informés des activités de chacun. Elle a également organisé et dirigé les conférences nationales des CCR, joué le rôle de médiatrice entre les CCR régionaux et mené des recherches sur les procédures fédérales d'application de la loi, les procédures hospitalières, la défense des intérêts juridiques et les techniques de conseil.