Zona de identificação
tipo de entidade
Forma autorizada do nome
Forma(s) paralela(s) de nome
- Les archives canadiennes du mouvement des femmes (ACMF)
Forma normalizada do nome de acordo com outras regras
Outra(s) forma(s) de nome
identificadores para entidades coletivas
área de descrição
Datas de existência
Histórico
The origins of what later became the CWMA/ACMF were the records of the Toronto feminist newspaper The Other Woman. When the newspaper ceased publication in 1977, Pat Leslie, editor of The Other Woman, moved the newspaper’s records into her apartment and was the custodian of the first Canadian Women’s Archives (CWMA) documents. From 1977 until 1982, she preserved The Other Woman records and some additional material relating to the Canadian Women’s Movement in her apartment. In 1983, working with a group of women including Nancy Adamson, Sandy Fox, Weisia Kolansinka and Lorna Weir under the banner of the NGO the Women’s Information Center (WIC) , a registered Canadian charity, an application was made for a Canada Community Development Grant. This allowed the group to rent a room in a building on the corner of Spadina Avenue and College Street in Toronto where they moved the documents from Pat Leslie’s apartment and it was here they began to collect records and documents related to the Canadian Women’s Movement. The CWMA Collective took responsibility for the collection from 1983 forward. That collective, which changed in membership over the years, operated the Canadian Women’s Movement Archives/ACMF, until it was relocated to the University of Ottawa in 1992. Members of the collective who were active for a significant period of time included: Nancy Adamson, Jane Abray, Karen Dubinsky, Sandy Fox, Debbie A. Green, Luanne Karn, Andrea Knight, Weisia Kolasinska, Pat Leslie, Anne Molgat, Beth McAuley, Joanne Pelletier, Margaret Shepherd, Miriam Ticoll, Tori Smith, and Lorna Weir.
After the opening of the public CWMA in 1983/84, the collection was catalogued and became available to researchers. Various grants, annual yard sales, and other fundraising allowed the CWMA/ACMF collective to hire staff from time to time, to actively collect the records of women’s groups across Canada and to promote the CWMA/ACMF. In 1991 the Collective decided that it was no longer possible to maintain the CWMA/ACMF as an independent organization and sought interest from other archives and universities in the collection. The Collective felt that the collection’s credibility rested on the fact that it came out of the women’s movement and was nurtured by feminists and operated in a manner consistent with those principles. As much as possible the Collective wanted to place the collection with an institution that would respect that. Ultimately, the Collective decided to donate the CWMA/ACMF records to the University of Ottawa. Both parties agreed that the CWMA/ACMF collection would be maintained in its entirety as a separate collection with the hope that additional records from the Canadian women’s movement would be collected by the Archives and Special Collections.
In 1992 the CWMA/ACMF records were donated to the University of Ottawa, who “took over the CWMA/ACMF’s mandate” and started accepting new donations that would become a part of an ongoing collection documenting the groups and individuals who made up the Canadian Women’s Movement.
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Les archives du journal féministe torontois The Other Woman ont été à l'origine de ce qui est devenu plus tard l'ACMF/CWMA. Lorsque le journal a cessé de paraître en 1977, Pat Leslie, rédactrice en chef de The Other Woman, a déménagé les archives du journal dans son appartement et a été la gardienne des premiers documents des Archives canadiennes des femmes (ACFM). De 1977 à 1982, elle conserve dans son appartement les archives de The Other Woman et quelques autres documents relatifs au Mouvement canadien des femmes. En 1983, en collaboration avec un groupe de femmes comprenant Nancy Adamson, Sandy Fox, Weisia Kolansinka et Lorna Weir, sous la bannière de l'ONG Women's Information Center (WIC), une organisation caritative canadienne enregistrée, une demande de subvention pour le développement communautaire a été déposée. Cette subvention a permis au groupe de louer une pièce dans un immeuble situé à l'angle de l'avenue Spadina et de la rue College à Toronto. C'est là qu'elles ont déménagé les documents de l'appartement de Pat Leslie et qu'elles ont commencé à rassembler des dossiers et des documents relatifs au Mouvement canadien des femmes. Le collectif CWMA a pris la responsabilité de la collection à partir de 1983. Ce collectif, dont la composition a changé au fil des ans, a géré les Archives du Mouvement canadien des femmes/ACMF jusqu'à leur déménagement à l'Université d'Ottawa en 1992. Les membres du collectif qui ont été actifs pendant une longue période sont les suivants : Nancy Adamson, Jane Abray, Karen Dubinsky, Sandy Fox, Debbie A. Green, Luanne Karn, Andrea Knight, Weisia Kolasinska, Pat Leslie, Anne Molgat, Beth McAuley, Joanne Pelletier, Margaret Shepherd, Miriam Ticoll, Tori Smith et Lorna Weir.
Après l'ouverture de l’ACMF en 1983/84, la collection a été cataloguée et mise à la disposition des chercheurs. Diverses subventions, des vide-greniers annuels et d'autres collectes de fonds ont permis au collectif CWMA/ACMF d'embaucher du personnel de temps à autre, de collecter activement les documents des groupes de femmes à travers le Canada et de promouvoir le CWMA/ACMF. En 1991, le collectif a décidé qu'il n'était plus possible de maintenir l'ACMF/CWMA en tant qu'organisation indépendante et a cherché à intéresser d'autres archives et universités à la collection. Le Collectif a estimé que la crédibilité de la collection reposait sur le fait qu'elle était issue du mouvement des femmes, qu'elle avait été alimentée par des féministes et qu'elle fonctionnait selon ces principes. Dans la mesure du possible, le collectif souhaitait confier la collection à une institution qui respecterait ces principes. En fin de compte, le Collectif a décidé de faire don des documents de l'ACMF à l'Université d'Ottawa. Les deux parties ont convenu que la collection de l'ACMF/CWMA serait conservée dans son intégralité en tant que collection distincte, dans l'espoir que les Archives et les Collections spéciales recueillent d'autres documents sur le mouvement des femmes au Canada.
En 1992, les documents de l'ACMF/CWMA ont été donnés à l'Université d'Ottawa, qui a ""repris le mandat de l'ACMF/CWMA"" et a commencé à accepter de nouveaux dons qui feraient partie d'une collection permanente documentant les groupes et les individus qui ont fait partie du Mouvement canadien des femmes.