Showing 246 results

Authority record

Stevens, Noreen

  • Person
Stevens Noreen graduated from the University of Manitoba in 1985. She holds a degree in Interior Design. As a committed lesbian feminist, she worked to share her skills with community organizations that supported LGBTQ+ equality issues, feminist values and progressive social change. She developed a design practice by supporting such community organizations, opening Winnipeg's first LGBTQ+ restaurant (Winona's Coffee & Ice) and creating a bi-weekly comic strip, The Chosen Family, which was published in the LGBTQ+ and feminist press across North America from 1988 to 2004.
In the spring of 1986, she was approached by Brenda Sinclair (wife Pauls) to collaborate on a logo, advertising and other branding materials for Bold Print, a women's bookstore she was opening in partnership with Joan Turner in Winnipeg. Brenda Sinclair was her contact at Bold Print, and they met several times in the months leading up to and following the opening of Bold Print.
In collaboration with Brenda Sinclair, Noreen Stevens developed an advertising campaign for the Bold Print bookstore and designed various promotional materials. Noreen Stevens was also responsible for the interior design and layout of the bookstore, which was subsequently completed by John Stockwell.
-
Stevens Noreen est diplômée de l'Université du Manitoba depuis 1985. Elle détient un diplôme en design d'intérieur. En tant que lesbienne féministe engagée, elle s'est employée à partager ses compétences avec des organismes communautaires qui soutenaient les questions d'égalité LGBTQ+, les valeurs féministes et le changement social progressif. Elle a développé une pratique du design en soutenant de telles organisations communautaires, en ouvrant le premier restaurant LGBTQ+ de Winnipeg (Winona's Coffee & Ice) et en créant une bande dessinée bihebdomadaire, The Chosen Family, publiée dans la presse LGBTQ+ et féministe à travers l'Amérique du Nord de 1988 à 2004.
Au printemps 1986, Brenda Sinclair (épouse Pauls) l'a approchée pour collaborer à la création d'un logo, d'une publicité et d'autres supports de marque pour Bold Print, une librairie pour femmes qu'elle ouvrait en partenariat avec Joan Turner à Winnipeg. Brenda Sinclair était son contact chez Bold Print, et elles se sont rencontrées plusieurs fois dans les mois qui ont précédé et suivi l'ouverture de Bold Print.
En collaboration avec Brenda Sinclair, Noreen Stevens a déployé une campagne publicitaire pour la librairie Bold Print et conçu divers matériels promotionnels. Noreen Stevens a également été en charge de la décoration et de l’aménagement intérieurs de la librairie réalisés ensuite par John Stockwell.

Gregory, Frances

  • Person

Frances Gregory was one of the founding members of the Toronto Wages for Housework Committee, a women’s group based in Toronto which began its operations around 1973. This committee was a branch of an international organization of the same name. The WFH Committee demanded that the federal and provincial governments pay wages for housework and argued that the devaluation of housework and other traditional "women's labour" kept women subservient in the home and financially dependent on men. During her time with the WFH collective, Gregory produced influential critical analysis for the group, including the article "I'm Not a Housewife -- I'm Liberated!" Much of Gregory's analysis focused on uniting the cause of housewives with those of working women, arguing that working women were also expected to perform "housework" at their jobs and were paid unfairly as a result. As a former factory and clerical office worker, Gregory experienced the drudgery and devaluation of "women's labour" firsthand. Gregory was also involved with another WFH-affiliated group, the Mother-Led Union, although she did not have children at the time. Among other issues, the Mother-Led Union fought for free universal day care and family benefits reform. According to Gregory and other members of the collective, “women’s work” included domestic labour, emotional labour, and sexual labour performed by women for the benefit of men. In providing a socialist analysis of women's labour and its contribution to the national economy, Gregory and WFH united housewives, lesbians, immigrant domestic workers, and sex workers in solidarity against the social and economic devaluation of "women's work.”

Following her involvement with the Toronto Wages for Housework Committee, Gregory worked as the coordinator of INTERCEDE, also known as the International Coalition to End Domestics’ Exploitation. INTERCEDE sought to organize support on the provincial, national, and international level for the struggle to achieve domestic workers’ rights. INTERCEDE grew out of the Housewives Initiative, a Toronto-based women’s education organization affiliated with wages for Housework, at a forum they hosted in October 1979 called “A View from the Kitchen : Immigrant Women Spek Out on the Value of Housework.” INTERCEDE pressured the Ontario government to include all domestic workers under minimum wage legislation, and demanded that independent community agencies be funded to ensure that employers are respecting domestic workers’ rights, that all women in Canada on work permits be allowed to apply for landed immigrant status, that welfare rates be raised immediately to a living wage, and that immigrant women be allowed to apply for welfare with no threat of deportation. As coordinator, Gregory was responsible for corresponding with policymakers on behalf of the group.
...

Frances Gregory est l'une des membres fondatrices du Toronto Wages for Housework Committee, un groupe de femmes basé à Toronto qui a commencé ses activités vers 1973. Ce comité était une branche d'une organisation internationale du même nom. Le WFH Committee exigeait que les gouvernements fédéral et provinciaux versent des salaires pour les travaux ménagers et soutenait que la dévalorisation des travaux ménagers et d'autres "travaux féminins" traditionnels maintenait les femmes dans un état de soumission au foyer et de dépendance financière à l'égard des hommes. Pendant son séjour au sein du collectif de la FMH, Gregory a produit des analyses critiques influentes pour le groupe, notamment l'article "I'm Not a Housewife -- I'm Liberated !" (Je ne suis pas une femme au foyer, je suis libérée!). Une grande partie de l'analyse de Mme Gregory visait à unir la cause des femmes au foyer à celle des femmes actives, en faisant valoir que les femmes actives étaient également censées effectuer des "tâches ménagères" dans le cadre de leur travail et qu'elles étaient, de ce fait, injustement rémunérées. En tant qu'ancienne ouvrière d'usine et employée de bureau, Gregory a fait l'expérience directe de la pénibilité et de la dévalorisation du "travail des femmes". Elle s'est également engagée dans un autre groupe affilié à la FMH, l'Union des mères, bien qu'elle n'ait pas eu d'enfants à l'époque. L'Union des mères luttait, entre autres, pour la mise en place de garderies universelles et gratuites et pour une réforme des allocations familiales. Selon Gregory et d'autres membres du collectif, le "travail des femmes" comprend le travail domestique, le travail émotionnel et le travail sexuel effectués par les femmes au profit des hommes. En proposant une analyse socialiste du travail des femmes et de sa contribution à l'économie nationale, Gregory et la FMH ont réuni les femmes au foyer, les lesbiennes, les travailleuses domestiques immigrées et les travailleuses du sexe dans un élan de solidarité contre la dévaluation sociale et économique du "travail des femmes."

Après sa participation au Toronto Wages for Housework Committee, Gregory a travaillé comme coordinatrice d'INTERCEDE, également connue sous le nom de Coalition internationale pour mettre fin à l'exploitation des personnes effectuant des travaux domestiques. INTERCEDE cherche à organiser le soutien au niveau provincial, national et international pour la lutte en faveur des droits des travailleuses et travailleurs domestiques. INTERCEDE est née de la Housewives Initiative, une organisation d'éducation des femmes basée à Toronto et affiliée à Wages for Housework, lors d'un forum qu'elle a organisé en octobre 1979 et intitulé "A View from the Kitchen : Immigrant Women Spek Out on the Value of Housework" (Un point de vue de la cuisine : les femmes immigrées parlent de la valeur du travail domestique). INTERCEDE a fait pression sur le gouvernement de l'Ontario pour qu'il inclue tous les travailleurs domestiques dans la législation sur le salaire minimum, et a exigé que des agences communautaires indépendantes soient financées pour s'assurer que les employeurs respectent les droits des travailleurs domestiques, que toutes les femmes au Canada titulaires d'un permis de travail soient autorisées à demander le statut d'immigrant reçu, que les taux d'aide sociale soient immédiatement augmentés pour atteindre un salaire décent, et que les femmes immigrées soient autorisées à demander l'aide sociale sans menace d'expulsion. En tant que coordonnatrice, Gregory était chargée de correspondre avec les décideurs politiques au nom du groupe.

Vespry, Anne

  • Person

Anne Vespry is a lawyer based in Ottawa. She was involved with the Woman's Common (Toronto) from the time it opened in 1988 until it's closing in 1994, as both a volunteer and employee, including as a member of the Entertainment Committee, helping to set up events held at the Common.

The Women's Club was a cooperative club/restaurant/event space owned and operated by women located on Parliament Street in Toronto from 1988 to 1994. At it's height it has over 1600 paid members. The club provided a safe, harassment-free environment for lesbians.
---
Anne Vespry est une avocate basée à Ottawa. Elle a été impliquée dans le Woman's Common (Toronto) depuis son ouverture en 1988 jusqu'à sa fermeture en 1994, à la fois comme bénévole et comme employée, notamment en tant que membre du comité de divertissement, aidant à mettre en place les événements organisés au Common.

Le Women's Club était un club/restaurant/espace événementiel coopératif détenu et géré par des femmes, situé sur Parliament Street à Toronto, de 1988 à 1994. À son apogée, il comptait plus de 1 600 membres payants. Le club offrait aux lesbiennes un environnement sûr et exempt de harcèlement.

Coderre, Cécile

  • Person
Sociologue et travailleuse sociale de formation, Cécile Coderre a débuté sa carrière à l’Université d’Ottawa en 1983. Elle a occupé des postes de professeure de sociologie, de professeure et de directrice de l’École de service sociale (1998-2003) et de vice-doyenne de la Faculté des sciences sociales. Elle s’est intéressées aux questions relatives à la violence faite aux femmes, au mouvement des femmes francophones vivant en contexte minoritaires, aux approches féministes et communautaires d’intervention de même qu’aux rapports des femmes à l’État. Elle s’est intéressée aussi à la sociologie du travail et de la famille, plus spécifiquement aux femmes gestionnaires des grandes entreprises privées et publiques. Elle est co-auteure de Femmes de carrière, carrières de femmes (PUO). Elle a coédité, dans le cadre des activités de célébration du cinquantième anniversaire de la publication du Deuxième sexe, l’ouvrage Le deuxième sexe. Une relecture en trois temps 1949-1971-1999. Dans son rôle de vice-doyenne aux études et secrétaire elle a stimulé et soutenu la création de nouveaux programmes innovateurs, sensibles aux préoccupations liées aux nouveaux enjeux socio-politiques. Elle a aussi mis sur pied des projets pour enrichir l’expérience étudiante. Parallèlement à sa carrière universitaire, Cécile Coderre est engagée au sein de nombreuses associations vouées au développement communautaire et au bien-être des femmes.
---
A sociologist and social worker by training, Cécile Coderre began her career at the University of Ottawa in 1983. She has held positions as Professor of Sociology, Professor and Director of the School of Social Work (1998-2003) and Associate Dean of the Faculty of Social Sciences. She has worked on issues related to violence against women, the Francophone women's movement in minority contexts, feminist and community-based approaches to intervention, and women's relationships with the state. She is also interested in the sociology of work and family, more specifically in women managers in large private and public companies. She is co-author of Femmes de carrière, carrières de femmes (PUO). As part of the activities to celebrate the fiftieth anniversary of the publication of Le Deuxième sexe, she co-edited the book Le deuxième sexe. Une relecture en trois temps 1949-1971-1999. In her role as Associate Dean of Studies and Secretary, she has stimulated and supported the creation of new and innovative programs, sensitive to the concerns of emerging socio-political issues. She also initiated projects to enrich the student experience. In addition to her academic career, Cécile Coderre is involved in numerous associations dedicated to community development and women's welfare.

Committee Against Pornography

  • Corporate body
  • 1984-199[?]

The Committee Against Pornography (CAP) was formed in February 1984 by Stephanie Holbick and Alison Kerr as a voluntary organization of Toronto women "concerned about the proliferation of pornographic images and messages in Canadian society." Most CAP members were also involved with other women's groups, but viewed the organization as a venue through which to focus more specifically on action against sexually explicit images of women that they viewed as harmful and degrading. CAP explored legal means of eliminating the sale and distribution of pornography in Canada. They argued that violent and degrading pornography encouraged violence against women, and represented women as the men's sexual playthings. In other words, they argued that pornography is one of the root causes of violence against women.

CAP thus falls squarely in the "anti-porn" camp of the feminist porn wars, in opposition to pro-sex or sex-positive feminists who rejected what they viewed as moral puritanism, and worried that censorship laws were a threat to the free speech of sexual minorities. The CAP defined pornography as any material which depicts a power relationship in order to sexually stimulate the viewer; however, they were not against erotica, which they defined as non-violent, non-degrading sexual material which does not use power relationships to stimulate the consumer. The group also sought tougher legislation surrounding child pornography, importation of pornographic material, and display of sexually explicit magazines in variety stores and other public places. CAP also provided other women's organizations with research, reports, and lobby material related to the censorship of pornography and public violence against women.
---
Le Committee Against Pornography (CAP) a été créé en février 1984 par Stephanie Holbick et Alison Kerr en tant qu'organisation bénévole de femmes de Toronto "préoccupées par la prolifération des images et des messages pornographiques dans la société canadienne". La plupart des membres de CAP étaient également impliquées dans d'autres groupes de femmes, mais considéraient l'organisation comme un moyen de se concentrer plus spécifiquement sur l'action contre les images sexuellement explicites de femmes qu'elles considéraient comme nuisibles et dégradantes. La CAP a étudié les moyens juridiques d'éliminer la vente et la distribution de pornographie au Canada. Elle a fait valoir que la pornographie violente et dégradante encourageait la violence à l'égard des femmes et les représentait comme des jouets sexuels pour les hommes. En d'autres termes, ils ont affirmé que la pornographie était l'une des causes profondes de la violence à l'égard des femmes.

La CAP se situe donc carrément dans le camp "anti-porno" des guerres féministes du porno, en opposition aux féministes pro-sexe ou sex-positives qui rejetaient ce qu'elles considéraient comme un puritanisme moral et craignaient que les lois sur la censure ne menacent la liberté d'expression des minorités sexuelles. La PAC définit la pornographie comme tout matériel qui met en scène une relation de pouvoir dans le but de stimuler sexuellement le spectateur ; toutefois, elle n'est pas opposée à l'érotisme, qu'elle définit comme un matériel sexuel non violent et non dégradant qui n'utilise pas de relations de pouvoir pour stimuler le consommateur. Le groupe a également demandé une législation plus stricte concernant la pornographie enfantine, l'importation de matériel pornographique et l'exposition de magazines sexuellement explicites dans les magasins de variétés et autres lieux publics. La CAP a également fourni à d'autres organisations de femmes des recherches, des rapports et du matériel de lobbying concernant la censure de la pornographie et la violence publique à l'égard des femmes.

Cohen, Marjorie Griffin

  • Person
Marjorie Griffin Cohen is currently a professor at the Simon Fraser University in British Columbia. She completed her BA at Iowa Wesleyan University, her MA at New York University, her PhD at York University. She is specialized in the areas of political economy and public policy. She works more specifically on issues concerning the Canadian economy, women, labour, electricity deregulation, energy and the environment, and international trade agreements.  She was director and has served on several boards and commissions in British Columbia. She participated to the creation of the Canadian Centre for Policy Alternatives in British Columbia. She has been involved for several years on the executive board of the National Action Committee on the Status of Women, as Vice President (1979-1980, 2985-1987, 1988-1989), treasurer (1977-79), Employment and Economy Committee Chair (1985-89), spokesperson Pro-Canada Network (1987-1990), co-chair Coalition Against Free Trade (1985-89) and editor Status of Women News (1977-1981).
---
Marjorie Griffin Cohen est actuellement professeure à l'université Simon Fraser en Colombie-Britannique. Elle a obtenu sa licence à l'université de l'Iowa Wesleyan, sa maîtrise à l'université de New York et son doctorat à l'université de York. Elle est spécialisée dans les domaines de l'économie politique et des politiques publiques. Elle travaille plus particulièrement sur des questions concernant l'économie canadienne, les femmes, le travail, la déréglementation de l'électricité, l'énergie et l'environnement, et les accords commerciaux internationaux. Elle a été directrice et a siégé dans plusieurs conseils et commissions en Colombie-Britannique. Elle a participé à la création du Centre canadien de politiques alternatives en Colombie-Britannique. Elle a participé pendant plusieurs années au conseil exécutif du Comité national d'action sur le statut des femmes, en tant que vice-présidente (1979-1980, 2985-1987, 1988-1989), trésorière (1977-1979), présidente du comité sur l'emploi et l'économie (1985-1989), porte-parole du réseau Pro-Canada (1987-1990), coprésidente de la Coalition contre le libre-échange (1985-1989) et rédactrice en chef de Status of Women News (1977-1981).

Clennet-Sirois, Laurence

  • Person
Laurence Clennett-Sirois est sociologue et chercheuse indépendante spécialisée dans les études sur le genre et les femmes. Elle a obtenu son baccalauréat en sciences sociales de l'Université du Québec en Outaouais en 2005, sa maîtrise en sociologie et en études des femmes de l'Université d'Ottawa d'Ottawa en 2008, et son doctorat en études de genre de l'Université de Sussex en 2013.
Elle a travaillé comme chargée de cours à temps partiel à l'Université du Québec en Outaouais de 2012 à 2018. En 2018, Clennett-Sirois est actuellement en poste en tant qu'analyste des politiques pour Condition féminine Canada.
---
Laurence Clennett-Sirois is a sociologist and independent scholar focusing on gender and women's studies. She was awarded her Bachelor of Social Sciences from Université du Québec en Outaouais in 2005, her Masters in Sociology and Women's studies from University of Ottawa in 2008, and her PhD in Gender Studies from the University of Sussex in 2013. She worked as a part-time lecturer at Université du Québec en Outaouais from 2012-2018. In 2018, Clennett-Sirois is currently working as a policy analyst for Status of Women Canada.

Ahearn, Catherine

  • Person
  • 1949-

Dr. Catherine Ahearn (see also Catherine Firestone) was born in 1949 in a prominent Ottawa family. She received a Ph.D. in French Literature from the University of Ottawa in 1979. She is a bilingual author in Canada and abroad, with a wide range of writing accomplishments including poetry, prose, journalistic essays, short films, and ballet productions.

Ahearn’s parents, Otto Jack Firestone (1913-1993) and Isobel Bella Torontow (1913-2002), were enthusiastic art collectors. Their home in Rockcliffe Park, Ottawa (Belmanor) was both a family residence and an art gallery. The family formed bonds with several well-known Canadian artists, including Group of Seven member A.Y. Jackson. The family’s art collection, “Firestone Collection of Canadian Art,” is owned by the City of Ottawa, and is under the custodianship of the Ottawa Art Gallery. Ahearn has three siblings.

She attended Rockcliffe Park Public School (1955-1962), Elmwood Private School (1962-1966), both in Ottawa, as well as McGill University in Montreal between 1966 and 1970, where she obtained a Bachelor of Arts (Honours) in French Literature; during this time, she also spent a year studying at the University of Aix-en-Provence in France (1968-1969). Subsequently, Ahearn obtained her Master’s in Arts from the University of Ottawa in French Canadian Literature in 1971, and her doctorate from the University of Ottawa in French Literature in 1979, with her final thesis on French surrealism: “Cahiers de Jacques Baron: Texte et Commentaire”.

Ahearn published two collections of poetry in 1976: "L’Âge de l’aube" appeared to good reviews in Paris while "Daydream Daughter," published by McClelland and Stewart, won the prestigious AJM Smith Poetry Prize from Michigan State University. Ahearn published further collections of poetry, including "Poasis" (1980), "Thus Spoke Superman" (1981), "Luna-Verse" (1984), and "Concha and Rezanov" (1987), which includes a provocative foreword by former Ambassador Ken Taylor. She also published a book of young adult fiction, "Cristobel," featuring an introduction by Governor General Jules Léger and drawings by Methuen’s awarded-winning illustrator, Laszlo Gal.

Her success as a poet led to her appointment by the Mayor of Ottawa as first Poet Laureate, 1982-1984. A story tells that Ahearn approached the mayor of the then-Municipality of Ottawa-Carleton, Marion Dewar, to establish the position to “help promote the City of Ottawa as well as enrich the lives of its citizens.” Including Ahearn, Ottawa had three poet laureates with three-year terms each, who were expected to write six poems annually and to attend various events across the community. She self-published the poems written during her tenure in Poet Laureate poems, 1982-1984 (1984). The program was re-established by the city in 2017 by VerseOttawa.

The Ottawa Citizen has said of Ahearn’s work: “Her views are original, sometimes startling, always thought-provoking. (She) gives us a new idiom in Canadian poetry... There is no doubt we shall be hearing a great deal more from her to the considerable enrichment of Canadian literature.”

Ahearn’s first novel, "The Estonian Affair", researched in Estonia, U.S.S.R., and the U.S., and co-written with Marion Daniel Bailey, is an international espionage thriller represented by a Toronto agent. In 1988 she started a second novel, "The Curse of Ebal", an explosive family saga set in the U.S., Europe, and Israel. Ahearn has travel to the Middle East to research her novel, "West of Sodom," and drafted numerous works, both prose and poetry.

Ahearn’s novels are written with an eye to feature film production. Writing for film and television has been an additional venue for Ahearn. Her short film screenplay, "Reaping Our Past," won two Canadian awards. She also wrote a game show in 1972 which was later produced by Twentieth Century Fox, and several other game shows. Her screenplay, “Cloud Nine”, brought to Hollywood in 1977, was later produced with James Garner under the title “The Tank”. Ahearn devoted much of her time to commercial fiction and film/TV development.
---
Catherine Ahearn (voir aussi Catherine Firestone) est née en 1949 dans une famille importante d'Ottawa. Elle a obtenu un doctorat en littérature française à l'université d'Ottawa en 1979. Auteur bilingue au Canada et à l'étranger, elle a écrit de nombreux ouvrages, notamment de la poésie, de la prose, des essais journalistiques, des courts métrages et des productions de ballet.

Les parents d'Ahearn, Otto Jack Firestone (1913-1993) et Isobel Bella Torontow (1913-2002), étaient des collectionneurs d'art enthousiastes. Leur maison de Rockcliffe Park, à Ottawa (Belmanor) était à la fois une résidence familiale et une galerie d'art. La famille a noué des liens avec plusieurs artistes canadiens de renom, dont A.Y. Jackson, membre du Groupe des Sept. La collection d'art de la famille, la "Firestone Collection of Canadian Art", appartient à la ville d'Ottawa et est sous la garde de la Galerie d'art d'Ottawa. Mme Ahearn a trois frères et sœurs.

Elle a fréquenté l'école publique Rockcliffe Park (1955-1962), l'école privée Elmwood (1962-1966), toutes deux à Ottawa, ainsi que l'université McGill à Montréal entre 1966 et 1970, où elle a obtenu un baccalauréat ès arts (avec mention) en littérature française ; pendant cette période, elle a également passé un an à étudier à l'université d'Aix-en-Provence, en France (1968-1969). Elle obtient ensuite une maîtrise en arts de l'Université d'Ottawa en littérature canadienne-française en 1971 et un doctorat de l'Université d'Ottawa en littérature française en 1979, avec une thèse de fin d'études sur le surréalisme français : "Cahiers de Jacques Baron : Texte et Commentaire".

Ahearn a publié deux recueils de poésie en 1976 : "L'Âge de l'aube" a reçu de bonnes critiques à Paris, tandis que "Daydream Daughter", publié par McClelland and Stewart, a remporté le prestigieux AJM Smith Poetry Prize de l'université de l'État du Michigan. Ahearn a publié d'autres recueils de poésie, dont "Poasis" (1980), "Thus Spoke Superman" (1981), "Luna-Verse" (1984) et "Concha and Rezanov" (1987), qui comprend un avant-propos provocateur de l'ancien ambassadeur Ken Taylor. Elle a également publié un livre de fiction pour jeunes adultes, "Cristobel", avec une introduction du gouverneur général Jules Léger et des dessins de Laszlo Gal, illustrateur primé de Methuen.

Son succès en tant que poète l'a amenée à être nommée par le maire d'Ottawa au poste de premier poète officiel, de 1982 à 1984. L'histoire raconte qu'Ahearn a approché le maire de la municipalité d'Ottawa-Carleton de l'époque, Marion Dewar, pour créer ce poste afin de "contribuer à la promotion de la ville d'Ottawa et à l'enrichissement de la vie de ses citoyens". Avec Mme Ahearn, Ottawa comptait trois poètes lauréats, chacun ayant un mandat de trois ans, qui devaient écrire six poèmes par an et participer à divers événements dans la communauté. Elle a publié elle-même les poèmes écrits pendant son mandat dans Poet Laureate poems, 1982-1984 (1984). Le programme a été rétabli par la ville en 2017 par VerseOttawa.

Le Ottawa Citizen a déclaré à propos de l'œuvre de Mme Ahearn : " Ses points de vue sont originaux, parfois surprenants : "Ses points de vue sont originaux, parfois surprenants, toujours stimulants. (Elle) nous offre un nouvel idiome dans la poésie canadienne... Il ne fait aucun doute que nous entendrons encore beaucoup parler d'elle, ce qui enrichira considérablement la littérature canadienne".

Le premier roman de Mme Ahearn, "The Estonian Affair", dont les recherches ont été menées en Estonie, en URSS et aux États-Unis, et qui a été coécrit avec Marion Daniel Bailey, est un thriller d'espionnage international représenté par un agent de Toronto. En 1988, elle a commencé un deuxième roman, "The Curse of Ebal", une saga familiale explosive qui se déroule aux États-Unis, en Europe et en Israël. Mme Ahearn s'est rendue au Moyen-Orient pour faire des recherches sur son roman "West of Sodom" et a rédigé de nombreux ouvrages, tant en prose qu'en poésie.

Les romans de Mme Ahearn sont écrits en vue de la production de longs métrages. L'écriture pour le cinéma et la télévision a été un autre moyen d'expression pour Mme Ahearn. Le scénario de son court métrage, "Reaping Our Past", a remporté deux prix canadiens. Elle a également écrit un jeu télévisé en 1972, qui a ensuite été produit par la Twentieth Century Fox, ainsi que plusieurs autres jeux télévisés. Son scénario, "Cloud Nine", présenté à Hollywood en 1977, a ensuite été produit avec James Garner sous le titre "The Tank". Mme Ahearn a consacré une grande partie de son temps à la fiction commerciale et au développement de films et de programmes télévisés.

Kidd, Margaret

  • Person
  • 1918-2008
Margaret Kidd was born in Toronto in 1918, in a British immigrant family who arrived in Toronto at the end of the First World War. In 1939, she was in the first graduating class at the University of Toronto’s new sociology department. After graduating, she continued her studies in early childhood education in Boston. During the Second World War, she helped launch the first federally funded daycare centre. She was one of the earliest teacher in Early Childhood Education in Canada. After the war, she taught early childhood education at Ontario community colleges. She also served as a childcare consultant in India, Tanzania, Botswana, Zambia and the Philippines. In 1961, she moved to Ottawa with her family. There she worked on child-development issues, including setting up nursery schools. She travelled with her family to India, where her husband had been hired to work in adult education at the University of Rajasthan. She returned to Toronto and graduated from the University of Toronto in 1970 and began working as a childhood education instructor, at Centennial College and then at Seneca College. At Seneca College, she helped launch the project MILE (Mobile Intensive Learning Experience). In 1977, she worked as inspector with the Ontario Government’s Community and Social Services Division. In 1980, she became an instructor at Ryerson University Early Childhood Education program. In 1986 and 1987, she once again travelled in India, first to help establish a daycare for women construction worker's children, then as part of a delegation of Canadian women. She died in 2008.
---
Margaret Kidd est née à Toronto en 1918, dans une famille d'immigrants britanniques arrivés à Toronto à la fin de la Première Guerre mondiale. En 1939, elle fait partie de la première promotion du nouveau département de sociologie de l'université de Toronto. Après avoir obtenu son diplôme, elle poursuit ses études dans le domaine de l'éducation de la petite enfance à Boston. Pendant la Seconde Guerre mondiale, elle participe à la création de la première garderie financée par le gouvernement fédéral. Elle a été l'une des premières à enseigner l'éducation de la petite enfance au Canada. Après la guerre, elle a enseigné l'éducation de la petite enfance dans des collèges communautaires de l'Ontario. Elle a également été consultante en matière de garde d'enfants en Inde, en Tanzanie, au Botswana, en Zambie et aux Philippines. En 1961, elle s'est installée à Ottawa avec sa famille. Elle y travaille sur des questions liées au développement de l'enfant, notamment en créant des écoles maternelles. Elle se rend avec sa famille en Inde, où son mari a été engagé pour travailler dans le domaine de l'éducation des adultes à l'université du Rajasthan. De retour à Toronto, elle obtient un diplôme de l'université de Toronto en 1970 et commence à travailler comme instructrice en éducation de l'enfance, au Centennial College puis au Seneca College. Au Seneca College, elle participe au lancement du projet MILE (Mobile Intensive Learning Experience). En 1977, elle travaille comme inspectrice à la Division des services sociaux et communautaires du gouvernement de l'Ontario. En 1980, elle devient instructrice au programme d'éducation de la petite enfance de l'université Ryerson. En 1986 et 1987, elle voyage à nouveau en Inde, d'abord pour participer à la création d'une garderie pour les enfants des ouvrières du bâtiment, puis dans le cadre d'une délégation de femmes canadiennes. Elle est décédée en 2008.

Cass-Beggs, Barbara

  • Person
  • 1904-1990
Barbara Cass-Beggs was an English-born Canadian singer, music teacher and feminist activist, particularly focused on women's reproductive rights. She was involved with organizations including Planned Parenthood, Canadian Voice of Women for Peace and Oxfam.
---
Barbara Cass-Beggs était une chanteuse canadienne d'origine anglaise, professeur de musique et militante féministe, qui s'est particulièrement intéressée aux droits reproductifs des femmes. Elle s'est impliquée dans des organisations telles que Planned Parenthood, Canadian Voice of Women for Peace et Oxfam.
Results 81 to 90 of 246