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Geauthoriseerde beschrijving

Ottawa Women's Lobby (OWL)

  • Instelling
  • 1977-[199-]
The Ottawa Women’s Lobby (OWL) was a feminist advocacy organization founded as a member group of the National Action Committee on the Status of Women (NAC) by Shirley Greenberg in 1977. OWL lobbied the municipal, provincial and federal governments to fight for equality for women in all aspects of Canadian life. The organization consisted of women from various occupations and backgrounds. In addition to Shirley Greenberg, the members of OWL throughout the group's founding/early years (1970s) consisted of: Kay Marshall, Lynn Kaye, Rosemary Billings, Diana Pepall, Mary Ambrose, Pat Hacker, John Baglow, Carole Swan, Helene Doyon, Sheila Klein, and Monica Townson. OWL remained active until the 1990's, but past members continue to hold semi-annual social meetings, which facilitate spirited debates.
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Le Lobby des femmes d'Ottawa (FLO) est une organisation féministe de défense des droits fondée en 1977 par Shirley Greenberg en tant que groupe membre du Comité national d'action sur le statut de la femme (CNA). L'OWL a fait pression sur les gouvernements municipaux, provinciaux et fédéral pour lutter en faveur de l'égalité des femmes dans tous les aspects de la vie canadienne. L'organisation est composée de femmes issues de professions et d'horizons divers. Outre Shirley Greenberg, les membres de l'OWL au cours de ses premières années d'existence (années 1970) étaient les suivants : Kay Marshall, Lynn Kaye, Rosemary Billings, Diana Pepall, Mary Ambrose, Pat Hacker, John Baglow, Carole Swan, Helene Doyon, Sheila Klein et Monica Townson. L'OWL est resté actif jusque dans les années 1990, mais les anciens membres continuent d'organiser des réunions sociales semestrielles, qui donnent lieu à des débats animés.

Women's Employment Centre (WEC)

  • Instelling
  • 1981-1997
The Women's Employment Centre (WEC), located in Toronto, operated as part of the Canada Employment and immigration Commission (CEIC) and began under the launch of the Women's Employment Counselling Centre (WECC) Pilot Program in 1981. In this pilot program, seven employment centres with a particular focus on women's employment were opened in seven different cities across Canada as part of regular Canada Employment Centres in each city—Halifax, Chicoutimi, Toronto, Sudbury, Thunder Bay, Winnipeg and Calgary. WEC was created to assist women in entering the labour market and/or making major occupational changes, especially in non-traditional occupations (occupations that are predominantly male), such as trades, technology and operations (TTO).
The Women's Employment Counselling Centre (WECC) Pilot Program was evaluated in 1984 by Employment and Immigration Canada (the Program Evaluation Branch) and continued to operate throughout the 1990's. Many women who received advice and guidance from the WEC in Toronto were subsequently hired at various companies and organizations throughout Ontario including CP Rail, the Ministry of Transportation, CN, Toronto Transit Commission, the Toronto Star, and more. WEC eventually closed down in 1997 due to minimal support and a difficult political and economic climate within the Human Resource Development Canada (HRDC).
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Le Centre d'emploi des femmes (CEF), situé à Toronto, faisait partie de la Commission de l'emploi et de l'immigration du Canada (CEIC) et a vu le jour dans le cadre du programme pilote du Centre de conseil en emploi des femmes (CCEF) en 1981. Dans le cadre de ce programme pilote, sept centres d'emploi axés sur l'emploi des femmes ont été ouverts dans sept villes différentes du Canada, dans le cadre des Centres d'emploi du Canada habituels de chaque ville : Halifax, Chicoutimi, Toronto, Sudbury, Thunder Bay, Winnipeg et Calgary. Le WEC a été créé pour aider les femmes à entrer sur le marché du travail et/ou à opérer des changements professionnels majeurs, en particulier dans les professions non traditionnelles (professions à prédominance masculine), telles que les métiers, la technologie et les opérations (TTO).
Le programme pilote du Women's Employment Counselling Centre (WECC) a été évalué en 1984 par Emploi et Immigration Canada (Direction générale de l'évaluation des programmes) et s'est poursuivi tout au long des années 1990. De nombreuses femmes ayant bénéficié des conseils et de l'orientation du WEC à Toronto ont par la suite été embauchées dans diverses entreprises et organisations de l'Ontario, notamment CP Rail, le ministère des Transports, le CN, la Toronto Transit Commission, le Toronto Star, et bien d'autres encore. Le WEC a finalement fermé ses portes en 1997 en raison d'un manque de soutien et d'un climat politique et économique difficile au sein de Développement des ressources humaines Canada (DRHC).

Andrews, Pamela

  • Persoon
Pamela Andrews donated records she collected to the Women's Archives in 2000.
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Pamela Andrews a fait don des documents qu'elle avait collectés aux Archives des femmes en 2000.

Baines, Beverley

  • Persoon
Beverley Baines is a Professor of Public and Constitutional Law at Queen's University, Kingston. Her work focuses on illuminating the legal strategies the patriarchal state deploys in denying women their right to equality, something guaranteed in the Canadian Charter of Rights and Freedoms. Her passion for this issue dates from her work as a feminist constitutional consultant, first to the Canadian Advisory Council on the Status of Women and then to the Ad Hoc Committee of Women on the Constitution during the Charter debates of 1980-1982.Professor Baines earned a BA Hons (Economics and Political Science) from McGill University and a JD from Queen’s University (Kingston, ON.), following which she articled with Trumpour and Kennedy in Kingston. She later joined Queen’s Law as a faculty member, was admitted to the Law Society of Upper Canada, and served as Associate Dean in the Faculty of Law (1994-1997). Seconded twice to the Facultyof Arts and Science at Queen’s, she was Co-Coordinator of the Institute of Women’s Studies (1991-1993) and Head of the Department of Gender Studies (2004-2011).Professor Baines co-edited two books on women and constitutional law: The Gender of Constitutional Jurisprudence (2005) and Feminist Constitutionalism: Global Perspectives (2012). She has published papers and delivered international conference presentations that focus on giving voice to the intersectional claims of religious women living polygamously, accessing faith-based family law arbitrations,and wearing the niqab in Ontario courtrooms or when delivering and receiving public services in Quebec. She also writes about gender and the legal profession, including the Trinity Western law school controversy, United States Supreme Court Justice Ruth Bader Ginsburg’s call for the appointment of nine women justices on the American Supreme Court, and the history of women law professors in Canada. (Source: Queen's University Website:https://law.queensu.ca/directory/beverley-baines)
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Beverley Baines est professeure de droit public et constitutionnel à l'université Queen's de Kingston. Son travail consiste à mettre en lumière les stratégies juridiques que l'État patriarcal déploie pour priver les femmes de leur droit à l'égalité, garanti par la Charte canadienne des droits et libertés. Sa passion pour cette question remonte à son travail de consultante constitutionnelle féministe, d'abord auprès du Conseil consultatif canadien sur la situation de la femme, puis auprès du Comité ad hoc des femmes sur la Constitution pendant les débats sur la Charte de 1980-1982.Le professeur Baines a obtenu un BA Hons (économie et sciences politiques) de l'université McGill et un JD de l'université Queen's (Kingston, ON.), après quoi elle a fait son stage chez Trumpour and Kennedy à Kingston. Elle a ensuite rejoint la faculté de droit de Queen's en tant que membre du corps enseignant, a été admise au Barreau du Haut-Canada et a occupé le poste de doyenne associée de la faculté de droit (1994-1997). Détachée à deux reprises à la faculté des arts et des sciences de Queen's, elle a été co-coordinatrice de l'Institut d'études féminines (1991-1993) et directrice du département d'études sur le genre (2004-2011) : The Gender of Constitutional Jurisprudence (2005) et Feminist Constitutionalism : Global Perspectives (2012). Elle a publié des articles et fait des présentations lors de conférences internationales qui portent sur la prise en compte des revendications intersectionnelles des femmes religieuses qui vivent en polygamie, qui ont accès à des arbitrages religieux en droit de la famille et qui portent le niqab dans les salles d'audience de l'Ontario ou lorsqu'elles fournissent ou reçoivent des services publics au Québec. Elle écrit également sur le genre et la profession juridique, notamment sur la controverse de la faculté de droit Trinity Western, sur l'appel de la juge de la Cour suprême des États-Unis Ruth Bader Ginsburg en faveur de la nomination de neuf femmes à la Cour suprême américaine, et sur l'histoire des femmes professeurs de droit au Canada. (Source : Site web de l'université Queen's : https://law.queensu.ca/directory/beverley-baines)

Cottam, K. Jean

  • Persoon
K. Jean Cottam was member of various women's groups. She was involved in the NAC, in Women for Political Action, in the Ontario Committee on the Status of Women.
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K. Jean Cottam est membre de divers groupes de femmes. Elle s'est impliquée dans le CNA, dans Women for Political Action, dans l'Ontario Committee on the Status of Women.

Cameron, Barbara

  • Persoon
Barbara Cameron holds a PhD in political science from the University of Toronto. In the 1970s, she was involved in the development of opportunities for women created by the Commission on the Status of Women. She worked for the Ontario Union of Students as an organizer and was also part of a collective of women who created and taught the first women's studies course for credit at the University of Toronto. She is currently an Associate Professor of Political Science and Equity Studies at York University in Toronto. She is also a Research Associate for the Centre for Policy Alternatives and serves on the Executive of York University’s Centre for Feminist Research. She wrote on issues related to gender and public opinion.
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Barbara Cameron est titulaire d'un doctorat en sciences politiques de l'université de Toronto. Dans les années 1970, elle a participé au développement des opportunités pour les femmes créées par la Commission sur le statut des femmes. Elle a travaillé pour l'Union des étudiants de l'Ontario en tant qu'organisatrice et a également fait partie d'un collectif de femmes qui a créé et enseigné le premier cours d'études féminines crédité à l'université de Toronto. Elle est actuellement professeur associé de sciences politiques et d'études sur l'équité à l'université York de Toronto. Elle est également associée de recherche pour le Centre for Policy Alternatives et fait partie du comité exécutif du Centre for Feminist Research de l'université York. Elle a écrit sur des questions liées au genre et à l'opinion publique.

University of Ottawa Library COVID-19 Telling Her-Stories project / Bibliothèque uOttawa projet COVID-19 Elle, ses histories

  • Instelling
  • 2020-

Telling her-stories in Canada: Documenting COVID-19 in your voice
The University of Ottawa Library is working on a small scale pilot project to build a unique and special collection around your stories and experiences of and during the COVID-19 pandemic as a woman in Canada. The Library is currently home to the Women’s Archives, an invaluable resource for those examining the history of women in Canada. By actively collecting the stories of how the pandemic has impacted you, we can ensure that the historical record of the pandemic will include your stories, voices, and perspectives.

Why is this important?
History has often overlooked the experience of women. Her-stories have been invisible and oftentimes little is known about the true impact of major events on the lives of women (told from their own perspective). The content you share will let us hear your voice and share your experience with others now and in the future. Through your stories, we can understand your successes, struggles, happiness, and disappointments as well as how the COVID-19 pandemic has impacted you, for example, in terms of economics, health, career, unpaid care work, and domestic violence, etc.

Women throughout Canada will be given the opportunity to upload their content to a platform where it will be captured, preserved, and made available to researchers as part of the Women’s Archives collections at the Library’s Archives and Special Collections unit. Traditionally, archives have passively waited for donors to reach out to them with records for donation, however, in this case, we will actively approach the community for contributions and donors will be able to quickly upload their content directly through a specially designed platform. This approach is currently being implemented by GLAMs across Canada and the U.S. who understand the magnitude of the pandemic and the importance of capturing people’s immediate response. Our team has designed the platform using the open-source web publishing system called Omeka. With the help of our supporters and community of users, we will reach out to our target community of women across the country and from all different backgrounds and experiences. Once content has been uploaded to the platform, it will be reviewed, described, processed for preservation, and made available long-term to those interested in the topic. The content will become part of the Library’s Women’s Archives collections and accessible on the Library’s website and archives collection database.
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Elle raconte ses histoires au Canada : Documenter le COVID-19 par votre voix
La bibliothèque de l'Université d'Ottawa travaille sur un projet pilote à petite échelle visant à constituer une collection unique et spéciale autour de vos récits et expériences de la pandémie de COVID-19 en tant que femme au Canada. La bibliothèque abrite actuellement les Archives des femmes, une ressource inestimable pour ceux qui étudient l'histoire des femmes au Canada. En recueillant activement les récits de l'impact de la pandémie sur vous, nous pouvons nous assurer que les archives historiques de la pandémie incluront vos récits, vos voix et vos points de vue.

Pourquoi est-ce important ?
L'histoire a souvent négligé l'expérience des femmes. Leurs histoires ont été invisibles et on sait souvent peu de choses sur l'impact réel des événements majeurs sur la vie des femmes (raconté de leur propre point de vue). Le contenu que vous partagez nous permettra d'entendre votre voix et de partager votre expérience avec d'autres, aujourd'hui et à l'avenir. Grâce à vos récits, nous pourrons comprendre vos succès, vos luttes, vos joies et vos déceptions, ainsi que l'impact de la pandémie de COVID-19 sur vous, par exemple en termes d'économie, de santé, de carrière, de soins non rémunérés, de violence domestique, etc.

Les femmes de tout le Canada auront la possibilité de télécharger leur contenu sur une plateforme où il sera capturé, préservé et mis à la disposition des chercheurs dans le cadre des collections des Archives des femmes de l'unité Archives et collections spéciales de la Bibliothèque. Traditionnellement, les archives attendent passivement que les donateurs les contactent pour leur proposer des documents à donner. Cependant, dans ce cas, nous approcherons activement la communauté pour obtenir des contributions et les donateurs pourront rapidement télécharger leur contenu directement via une plateforme spécialement conçue à cet effet. Cette approche est actuellement mise en œuvre par des GLAM au Canada et aux États-Unis qui comprennent l'ampleur de la pandémie et l'importance de recueillir la réaction immédiate des gens. Notre équipe a conçu la plateforme en utilisant le système de publication web open-source appelé Omeka. Avec l'aide de nos partisans et de notre communauté d'utilisateurs, nous atteindrons notre communauté cible de femmes à travers le pays, de tous les milieux et de toutes les expériences. Une fois le contenu téléchargé sur la plateforme, il sera examiné, décrit, traité en vue de sa préservation et mis à la disposition des personnes intéressées par le sujet sur le long terme. Le contenu fera partie des collections des Archives des femmes de la Bibliothèque et sera accessible sur le site web de la Bibliothèque et dans la base de données des collections d'archives.

The University Women's Club of Ottawa

  • Instelling
  • 1910-
The University Women's Club of Ottawa was formed on 15 April, 1910. The purpose of the Club was to advance the interests of women and to serve the community in social, educational and cultural areas. The club awarded scholarships to secondary school and university students. It participated in the establishment of the Ottawa Little Theater, The Elizabeth Frye Society of Ottawa and the National School Volunteer Association. The Club presents the view of women on contemporary economic, social and cultural problems. It is affiliated with the Canadian Federation of University Women.
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Le University Women's Club d'Ottawa a été créé le 15 avril 1910. L'objectif du club est de promouvoir les intérêts des femmes et de servir la communauté dans les domaines social, éducatif et culturel. Le club attribue des bourses d'études à des élèves du secondaire et à des étudiants de l'université. Il participe à la création du Ottawa Little Theater, de la Société Elizabeth Frye d'Ottawa et de l'Association nationale des bénévoles des écoles. Le Club présente le point de vue des femmes sur les problèmes économiques, sociaux et culturels contemporains. Il est affilié à la Fédération canadienne des femmes diplômées des universités.

Quinlan, Judith

  • Persoon

Judith Quinlan is a graduate of the University of Alberta in Edmonton and was on the Student Council (1970) and was part of starting the first Edmonton Women's Centre and the Isis women's shelter while a student. After graduating, she moved to Vancouver and worked on the Pedestal Women's Newspaper. In 1972, she moved to Toronto and worked on The Other Woman newspaper, helped start the Toronto Women's Bookstore, was one of the founders of Cora the Women's Bookmobile, and the Toronto Women's Centre. Judith later wrote for Broadside and worked on the LOOT project. She started the All Girls Hit and Run Feminist Marching Band and joined the Wages for Housework group and started Wages Due Lesbians.

After stepping away from these groups, she wrote poetry and songs (including the Mama Quilla name song) and then moved to rural British Columbia, where she worked with the 100 Mile House Women's Centre, acted as the editor of The Open Door (Rural Lesbians of BC), and got involved in choirs and music teaching. She later moved back to Vancouver and then Victoria where she currently resides.
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Judith Quinlan est diplômée de l'université de l'Alberta à Edmonton. Elle a fait partie du conseil des étudiants (1970) et a participé à la création du premier centre des femmes d'Edmonton et du refuge pour femmes Isis alors qu'elle était étudiante. Après avoir obtenu son diplôme, elle s'est installée à Vancouver et a travaillé pour le Pedestal Women's Newspaper. En 1972, elle s'installe à Toronto et travaille pour le journal The Other Woman, participe à la création de la librairie des femmes de Toronto, est l'une des fondatrices de Cora, le bibliobus des femmes, et du Centre des femmes de Toronto. Judith a ensuite écrit pour Broadside et travaillé sur le projet LOOT. Elle a créé le All Girls Hit and Run Feminist Marching Band, a rejoint le groupe Wages for Housework et a lancé Wages Due Lesbians.

Après s'être éloignée de ces groupes, elle a écrit de la poésie et des chansons (y compris la chanson du nom de Mama Quilla) et s'est ensuite installée dans une région rurale de la Colombie-Britannique, où elle a travaillé avec le 100 Mile House Women's Centre, a été rédactrice en chef de The Open Door (Rural Lesbians of BC), et s'est impliquée dans des chorales et dans l'enseignement de la musique. Elle est ensuite retournée à Vancouver, puis à Victoria, où elle réside actuellement.

Bédard, Lois

  • Canada
  • Persoon
  • [December 31, 1923] - December 14, 2007

Lois (née Dowson) Bédard was born in 1923 in Weston, Ontario – to a working-class family of 7 children. Mother, Mary Brittania Dowson worked as a stenographer and father, Walter L. Dowson, was a printer. Lois Bédard was notable for her activism in the Canadian Trotskyist movement and for promoting feminist causes, both independently, and through union activism, increasingly from the 1960s to the early 2000s.

Lois Bédard earned her Bachelor’s degree from York Memorial Collegiate and her Master’s of Education from the University of Toronto. In the late 1940s, she married Jean-Marie Bédard: a prominent Québec union activist and committed socialist, who served as president of the Quebec Socialist Party (PSQ) from 1966-1968.

Lois Bédard was one of the few women involved in the Canadian Trotskyist movement. In 1946, her fellow sibling activist, Ross Dowson, had led the Canadian branch of the Trotskyist movement, called, “The Revolutionary Workers Party (RWP.)” In 1974, Lois Bédard was among the members that split from the Canadian Trotskyist group to become a member of the Socialist League, (or the “Forward Group,”) along with founding member, Ross Dowson.

Throughout her activist career, Lois Bédard promoted feminist causes, both independently, and within the labour movement. She was a founding member of Organized Working Women, in 1977, which promoted women’s rights in the workplace and advocated for their involvement in traditional labour organizations. They adopted, “A Woman’s Place is in Her Union,” as one of their slogans. She served on the first executive council of Organized Working Women, before becoming its president, early in 1986.

Lois Bédard lobbied for pay equity between men and women and for women’s rights to free universal childcare. In 1980 she presented a brief to the Ontario Legislative Committee Hearings into Bill 3 – an Act to Amend the Ontario Employment Standards Act. The brief was entitled “Equal Pay for Work of Equal Value.”
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Lois (née Dowson) Bédard est née en 1923 à Weston, en Ontario, dans une famille ouvrière de sept enfants. Sa mère, Mary Brittania Dowson, travaille comme sténographe et son père, Walter L. Dowson, est imprimeur. Lois Bédard s'est distinguée par son militantisme au sein du mouvement trotskiste canadien et par la promotion de causes féministes, à la fois de manière indépendante et par le biais du militantisme syndical, de plus en plus entre les années 1960 et le début des années 2000.

Lois Bédard a obtenu une licence au York Memorial Collegiate et une maîtrise en éducation à l'université de Toronto. À la fin des années 1940, elle a épousé Jean-Marie Bédard, éminent syndicaliste québécois et socialiste convaincu, qui a été président du Parti socialiste québécois (PSQ) de 1966 à 1968.

Lois Bédard fut l'une des rares femmes à participer au mouvement trotskiste canadien. En 1946, son frère activiste, Ross Dowson, avait dirigé la branche canadienne du mouvement trotskiste, appelée "The Revolutionary Workers Party (RWP)". En 1974, Lois Bédard fait partie des membres qui se séparent du groupe trotskiste canadien pour devenir membre de la Socialist League (ou "Forward Group"), aux côtés de Ross Dowson, membre fondateur.

Tout au long de sa carrière militante, Lois Bédard a défendu les causes féministes, à la fois de manière indépendante et au sein du mouvement syndical. En 1977, elle est l'une des membres fondatrices de l'organisation Organized Working Women, qui promeut les droits des femmes sur le lieu de travail et plaide en faveur de leur participation aux organisations syndicales traditionnelles. Le slogan "A Woman's Place is in Her Union" (La place d'une femme est dans son syndicat) est l'un des leurs. Elle a siégé au premier conseil exécutif d'Organized Working Women, avant d'en devenir la présidente, au début de l'année 1986.

Lois Bédard a fait pression en faveur de l'équité salariale entre les hommes et les femmes et du droit des femmes à des services de garde d'enfants gratuits et universels. En 1980, elle a présenté un mémoire aux audiences du Comité législatif de l'Ontario sur le projet de loi 3 - Loi modifiant la Loi sur les normes d'emploi de l'Ontario. Ce mémoire était intitulé "Un salaire égal pour un travail de valeur égale".

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