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Authority record

Kellerman, Maureen

  • Person
  • 1957-2012
Maureen Elizabeth Kellerman completed a BA in Canadian Studies at Carleton University and devoted her life to supporting young families at the local and national levels. She worked for Canadian Association of Family Resource Centres, and Canadian/Military Family Resource Centres. Educator, activist, and leader, Maureen founded Mothers Are Women (MAW) in 1984, and was a key organizer for the legalization of midwifery in Ontario during the 1990s.
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Maureen Elizabeth Kellerman a obtenu une licence en études canadiennes à l'université de Carleton et a consacré sa vie à soutenir les jeunes familles aux niveaux local et national. Elle a travaillé pour l'Association canadienne des centres de ressources familiales et pour les centres de ressources familiales canadiens et militaires. Éducatrice, activiste et leader, Maureen a fondé Mothers Are Women (MAW) en 1984 et a été l'une des principales organisatrices de la légalisation de la profession de sage-femme en Ontario dans les années 1990.

Midwifery Task Force of Ontario

  • Corporate body
  • 1983-1993
In June 1983, a small group of midwives, consumers, health care providers and other supporters of midwifery met to discuss the status of midwifery in Ontario. Historically, Ontario had a tradition of lay midwives who attended the births of family, friends and neighbours. This tradition of community midwifery began to decline around the turn of the century until, by the 1950s, midwifery had all but disappeared in Ontario. In the 1970s, the practice of midwifery began to re-emerge and was influenced by the natural childbirth movement principles that pregnancy and birth are normal, healthy, family events and that pregnant women themselves should be the primary decision makers about the health care they receive.
Subsequently, the Midwifery Task Force of Ontario (MFT-O), a community-based lobby group, was established to promote legislation and recognition of midwifery. Around the same time, the association of practicing midwives (Ontario Association of Midwives) and nurse-midwives association (Ontario Nurse-Midwives Association) joined together to form the Association of Ontario Midwives (AOM). The MTF-O gained support from women and their families seeking an alternative to the medical model of childbirth and maternity care. Over the next several years, the AOM and the MTF-O worked together to advocate the creation of midwifery as a recognized profession. This culminated in Bill 56, the Midwifery Act which was passed on December 31, 1993 making Ontario the first province in Canada to recognize, regulate and fund midwifery as part of the health care system.
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En juin 1983, un petit groupe de sage-femmes, et de fournisseurs de soins de santé et d'autres partisans de la profession de sage-femme se sont réunis pour discuter du statut de la profession de sage-femme en Ontario. Historiquement, l'Ontario avait une tradition de sage-femmes laïques qui assistaient aux naissances des membres de leur famille, de leurs amis et de leurs voisins. Cette tradition de sage-femme communautaire a commencé à décliner au tournant du siècle jusqu'à ce que, dans les années 1950, la profession de sage-femme ait pratiquement disparu en Ontario. Dans les années 1970, la pratique des sage-femmes a commencé à réapparaître, influencée par les principes du mouvement en faveur de l'accouchement naturel, selon lesquels la grossesse et l'accouchement sont des événements familiaux normaux et sains, et les femmes enceintes elles-mêmes devraient être les premières à décider des soins de santé qu'elles reçoivent.
Par la suite, le Midwifery Task Force of Ontario (MFT-O), un groupe de pression communautaire, a été créé pour promouvoir la législation et la reconnaissance de la profession de sage-femme. À peu près à la même époque, l'association des sage-femmes en exercice (Ontario Association of Midwives) et l'association des infirmières sage-femmes (Ontario Nurse-Midwives Association) se sont regroupées pour former l'Association des sage-femmes de l'Ontario (AOM). L'AOM a reçu le soutien de femmes et de leurs familles qui cherchaient une alternative au modèle médical d'accouchement et de soins de maternité. Au cours des années suivantes, l'AOM et la MTF-O ont travaillé ensemble pour promouvoir la création de la profession de sage-femme en tant que profession reconnue. Ces efforts ont abouti au projet de loi 56, la Loi sur les sages-femmes, qui a été adoptée le 31 décembre 1993, faisant de l'Ontario la première province canadienne à reconnaître, réglementer et financer la profession de sage-femme dans le cadre du système de soins de santé.

Martin, Fern

  • Person
  • [195?-]
Born in Canada, Fern Martin dedicated 26 years of service at Lanark County Interval House, supporting women and children facing domestic violence and abuse. In 1996, she was honored with the YWCA “Woman of Distinction” award for her relentless efforts to combat violence against women and published her book, “A Narrow Doorway,” the same year. Martin is renowned for her columns addressing sexual violence, abuse, and harassment, including the controversial 1994 Georgie Porgie series. Her writing also shed light on tragic instances of women lost to male violence, raising critical awareness. Alongside her writing, Martin has served as a crisis counsellor at Lanark County Interval House since 1979 and has creatively engaged in activism through collaborations with artists at “Artsfusion” and designing t-shirts for Pakenham Rural Route that celebrate the women’s movement. While retiring from Lanark County Interval House in 2005, she continues to passionately advocate for and support women facing violence.

Dickson, Brian

  • Person
  • 1916-1998
Robert George Brian Dickson was born in Yorkton, Saskatchewan, on May 25, 1916. He was the son of Thomas Dickson and Sarah Elizabeth Gibson. After his family moved to Winnipeg, he attended the University of Manitoba and graduated with an LL.B. in 1938. He worked for two years in the investment department of the Great-West Life Assurance Company, then was called to the bar in 1940. Before practising law, he enlisted in the armed forces during the Second World War and served overseas, where he was severely wounded in 1944. Upon his return to Winnipeg in 1945, he joined the law firm of Aikins, Loftus, MacAulay, Turner, Thompson & Tritschler. He also lectured at the Faculty of Law of the University of Manitoba for six years, until 1954. In 1963 he was appointed to the Court of Queen's Bench of Manitoba and four years later was elevated to the Manitoba Court of Appeal. He was appointed to the Supreme Court of Canada on March 26, 1973 and became its chief justice on April 18, 1984. He served on the Supreme Court for 17 years before retiring on June 30, 1990. Chief Justice Dickson died on October 17, 1998, at the age of 82.

Robert, Bernard-Paul

  • Person
  • 1925-1979

Bernard-Paul Robert est né le 27 février 1925 à Saint-Aubin (France). Il est le fils de Charles Robert, un négociant, et de Juliette Mariet. Il fait des études classiques à l’École Saint-Bernard à Flavigny-sur Ozerain (France) et au Collège Notre-Dame-de-Mont-Roland à Avignon (France). Parallèlement à ses études, il occupe les postes de répétiteur et de maître d’internat aux collèges Notre-Dame-de-Mont-Roland et St-Joseph à Avignon. De 1949 à 1950, Bernard-Paul Robert complète un baccalauréat en Lettres classiques et philosophie à la Faculté des Lettres de l’Université de Dijon, Bourgogne (France). Pendant deux ans, il est employé à la Société général Banque-Meulan jusqu’à son départ pour le Canada en 1952.

Lorsqu’il arrive à Montréal (Québec) en 1952, Bernard-Paul Robert obtient un poste d’enseignant à temps-partiel au Collège Jean-de-Brébeuf pendant qu’il complète une maîtrise et un doctorat en Lettres à l’Université de Montréal. À la fin de ses études en 1957, Bernard-Paul Robert déménage à Ottawa (Ontario) où il devient professeur à la Faculté des arts de l’Université d’Ottawa, poste qu’il occupe jusqu’en 1961. Cette année-là, il s’installe à Montréal où il enseignera à la Faculté des lettres pendant an. En 1962, il devient professeur au Département de français de l’Université de Sherbrooke dont il est nommé directeur en 1963. L’année suivante, il obtient un rang de professeur agrégé en français à l’Université d’Ottawa avant de devenir professeur titulaire en 1968, poste qu’il occupera le reste de sa carrière.

En plus de son travail académique, Bernard-Paul Robert a rédigé des articles dans de nombreuses publications dont le quotidien franco-ontarien Le Droit, La revue de l’Université d’Ottawa et La revue de l’Université de Sherbrooke. Il a également publié plusieurs ouvrages sur le symbolisme, sur Charles Baudelaire et sur le surréalisme dont Baudelaire et les forces psychiques, Le surréalisme désocculté : Manifeste du surréalisme et Henriette Charasson et Paul Claudel, résultat d’une thèse de doctorat mené parallèlement à son travail d’enseignant et soutenue à la Sorbonne. Bernard-Paul Robert est également l’auteur un recueil de poésie Petits poèmes en mauve.

Bernard-Paul Robert est décédé à Ottawa le 1er juin 1979. Il avait épousé Hélène Brulé avec qui il avait eu deux filles : Catherine et Françoise.

Piercy, Blodwen

  • Person
  • 1926-

Blodwen Piercy was involved in the earliest days of the reproductive rights movement in Canada. After obtaining a PhD in physics and giving birth to three children, Piercy's pro-choice activism began in the 1960s when she worked with the Humanist Association of Canada while Dr. Henry Morgentaler served as its president. Piercy also worked with the Canadian Abortion Rights Action League (CARAL) since its formation in 1974, when it was called the Canadian Association for Repeal of the Abortion Law. CARAL was created to protest Dr. Morgentaler’s incarceration, when he was jailed for providing women in Quebec with safe abortions in defiance of the federal Criminal Code. CARAL continued to support Morgentaler’s various legal challenges until the Supreme Court struck down Canada’s abortion law as unconstitutional in 1988; following this victory, they fought to keep abortion legal and lobbied against numerous attempts to recriminalize the procedure.

During her time with CARAL, Piercy served as a national board member and representative for the Ottawa chapter. She frequently spoke and gave presentations on abortion in Ottawa public schools and spent many years with the organization answering continual requests for information and pamphlets from students, MPs, and the media. She was also involved in the Ottawa MP lobby project as a lobbyist and an organizer of lobbying teams for each appointment. Piercy would personally follow up on these meetings to liaise with MPs and provide them with data from Statistics Canada. Moreover, she helped to research, write, update, and edit several CARAL pamphlets, thus becoming an indispensable source of information on issues surrounding reproductive justice, including abortion, contraception, teen pregnancy, and the morning after pill. She paid special attention to the ways that abortion was presented in the media, and penned numerous “letters to the editor” when she felt that coverage was biased or unfair. As such, Piercy was an indispensable voice in the struggle for reproductive justice, and she remained committed to the organization until it ceased operations in the early 2000s. In addition to her involvement with CARAL and the Humanist Association of Canada, Piercy also worked on issues related to education, violence against women, and disarmament, and helped with the campaign to honour Dr. Morgentaler with the Order of Canada.

Blodwen Piercy a participé aux premiers jours du mouvement pour les droits reproductifs au Canada. Son militantisme en faveur du choix a commencé en 1969, lorsqu'elle a travaillé avec l'Association humaniste du Canada, alors que le Dr Henry Morgentaler en était le président. Mme Piercy a également travaillé avec la Canadian Abortion Rights Action League (CARAL) depuis sa création en 1974, à l'époque où elle s'appelait Canadian Association for Repeal of the Abortion Law (Association canadienne pour l'abrogation de la loi sur l'avortement). La CARAL a été créée pour protester contre l'incarcération du Dr Morgentaler, qui avait été emprisonné pour avoir fourni aux femmes du Québec des avortements sûrs, au mépris du code pénal fédéral. CARAL a continué à soutenir les différentes actions en justice de Morgentaler jusqu'à ce que la Cour suprême déclare inconstitutionnelle la loi canadienne sur l'avortement en 1988. Après cette victoire, CARAL s'est battue pour que l'avortement reste légal et a fait pression contre de nombreuses tentatives de recriminalisation de la procédure.

Pendant son séjour à CARAL, Piercy a été membre du conseil d'administration national et représentante de la section d'Ottawa. Elle a fréquemment pris la parole et fait des présentations sur l'avortement dans les écoles publiques d'Ottawa et a passé de nombreuses années au sein de l'organisation à répondre aux demandes continuelles d'informations et de brochures de la part des étudiants, des députés et des médias. Elle a également participé au projet de lobbying des députés d'Ottawa en tant que lobbyiste et organisatrice des équipes de lobbying pour chaque rendez-vous. Piercy assurait personnellement le suivi de ces réunions pour assurer la liaison avec les députés et leur fournir des données de Statistique Canada. En outre, elle a participé à la recherche, à la rédaction, à la mise à jour et à l'édition de plusieurs brochures de CARAL, devenant ainsi une source d'information indispensable sur les questions relatives à la justice en matière de procréation. Elle accordait une attention particulière à la manière dont l'avortement était présenté dans les médias et rédigeait de nombreuses "lettres au rédacteur en chef" lorsqu'elle estimait que la couverture était biaisée ou injuste. En tant que telle, Piercy était une voix indispensable dans la lutte pour la justice reproductive, et elle est restée engagée dans l'organisation jusqu'à ce qu'elle cesse ses activités au début des années 2000. Outre son engagement auprès de CARAL et de l'Association humaniste du Canada, Mme Piercy a également travaillé sur des questions liées à l'éducation, à la violence contre les femmes et au désarmement, et a participé à la campagne visant à honorer le Dr Morgentaler en lui décernant l'Ordre du Canada.

Fulford, Margaret

  • Person
  • 1960-
Margaret Fulford worked at Canadian Women's Movement Archives, the Music Library of the Canadian Broadcasting Corporation, the Toronto Reference Library, and the Canadian Health Network. She edited The Canadian Women’s Movement, 1960-1990: A Guide to Archival Resources (1992). She co-developed the subject thesaurus of the Canadian Radio-Television and Telecommunications Commission (2001). She was Faculty Librarian at U of T’s Dental Library and currently is the University College Librarian at the University of Toronto.
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Margaret Fulford a travaillé aux Archives du Mouvement canadien des femmes, à la Bibliothèque musicale de la Société Radio-Canada, à la Bibliothèque de référence de Toronto et au Réseau canadien de la santé. Elle a édité The Canadian Women's Movement, 1960-1990 : A Guide to Archival Resources (1992). Elle a codéveloppé le thésaurus thématique du Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (2001). Elle a été bibliothécaire de la faculté à la bibliothèque dentaire de l'université de Toronto et est actuellement bibliothécaire du collège universitaire de l'université de Toronto.

Colodny, Nikki

  • Person
  • 1948-present
Dr. Nikki Colodny was a pro-choice activist, abortion provider, and women's health advocate operating in Toronto, Ontario throughout the 1980s and 1990s. In addition to working in the medical field at a time when most doctors were male, Dr. Colodny became somewhat of a public figure in Canada when she worked alongside Dr. Henry Morgentaler providing patients with abortions prior to 1988, when anti-choice legislation was struck from the Criminal Code. During this period, abortion clinics were frequently raided by the police, while abortion providers were harassed and sometimes even physically attacked by anti-choice activists. As a member of the Ontario Coalition for Abortion Clinics, Dr. Colodny travelled across the country to mentor pro-choice activists in civil disobedience and appeared in the media to combat medical misinformation.
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Dr Nikki Colodny était un militante pro-choix, pratiquant l'avortement et défendant la santé des femmes à Toronto (Ontario) dans les années 1980 et 1990. En plus de travailler dans le domaine médical à une époque où la plupart des médecins étaient des hommes, Dr. Colodny est devenue une figure publique au Canada lorsqu'elle a travaillé aux côtés du Dr Henry Morgentaler pour fournir des avortements à des patientes avant 1988, lorsque la législation anti-choix a été supprimée du Code criminel. Au cours de cette période, les cliniques d'avortement ont souvent fait l'objet de descentes de police, tandis que les professionnels de l'avortement étaient harcelés et parfois même physiquement attaqués par des militants anti-choix. En tant que membre de la Coalition ontarienne pour les cliniques d'avortement, le Dr Colodny a voyagé à travers le pays pour encadrer les militants pro-choix en matière de désobéissance civile et est apparu dans les médias pour lutter contre la désinformation médicale.

Women in STEM Oral History Project / Projet d'histoire orale sur le parcours de femmes en STIM

  • Corporate body
  • 2023

The Women in STEM Oral History Project, a joint initiative between the University of Ottawa Archives and Special Collections (ARCS), the Canadian Nuclear Safety Commission (CNSC), and the Canadian Institute of Women in Engineering and Sciences (CIWES), was conducted over the course of the Fall 2023 semester. Marina Bokovay (head of ARCS) supervised the project, and Meghan Tibbits-Lamirande (ARCS storyteller-in-residence) served as the primary interviewer and project coordinator. Ten interviews with women of significance to the history of Canadian Women in STEM were conducted. Two out of ten interviews were conducted by Marie Noel (ARCS Archivist) in French. Each interview was recorded, either in-person or via Zoom, using the RODE Audio Interface in the Learning Crossroads building at the University of Ottawa.

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Le projet d'histoire orale des femmes dans les STIM, une initiative conjointe entre les Archives et collections spéciales de l'Université d'Ottawa (ARCS), la Commission canadienne de sûreté nucléaire (CCSN) et l'Institut canadien des femmes en génie et en sciences (CIWES), a été mené au cours du semestre d'automne 2023. Marina Bokovay (responsable de l'ARCS) a supervisé le projet, et moi (Meghan Tibbits-Lamirande, boursière en résidence de l'ARCS), j'ai servi d'intervieweuse principale et de coordinatrice du projet. Dans le temps imparti, nous avons pu programmer et enregistrer des entretiens avec dix femmes importantes pour l'histoire des femmes canadiennes dans les STIM. Deux des dix entretiens ont été menés en français par Marie Noel (archiviste de l'ARCS). Chaque entretien a été enregistré, soit en personne, soit via Zoom, à l'aide de l'interface audio RODE dans le bâtiment Learning Crossroads de l'Université d'Ottawa.

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