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Registo de autoridade

Cohen, Marjorie Griffin

  • Pessoa singular
Marjorie Griffin Cohen is currently a professor at the Simon Fraser University in British Columbia. She completed her BA at Iowa Wesleyan University, her MA at New York University, her PhD at York University. She is specialized in the areas of political economy and public policy. She works more specifically on issues concerning the Canadian economy, women, labour, electricity deregulation, energy and the environment, and international trade agreements.  She was director and has served on several boards and commissions in British Columbia. She participated to the creation of the Canadian Centre for Policy Alternatives in British Columbia. She has been involved for several years on the executive board of the National Action Committee on the Status of Women, as Vice President (1979-1980, 2985-1987, 1988-1989), treasurer (1977-79), Employment and Economy Committee Chair (1985-89), spokesperson Pro-Canada Network (1987-1990), co-chair Coalition Against Free Trade (1985-89) and editor Status of Women News (1977-1981).
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Marjorie Griffin Cohen est actuellement professeure à l'université Simon Fraser en Colombie-Britannique. Elle a obtenu sa licence à l'université de l'Iowa Wesleyan, sa maîtrise à l'université de New York et son doctorat à l'université de York. Elle est spécialisée dans les domaines de l'économie politique et des politiques publiques. Elle travaille plus particulièrement sur des questions concernant l'économie canadienne, les femmes, le travail, la déréglementation de l'électricité, l'énergie et l'environnement, et les accords commerciaux internationaux. Elle a été directrice et a siégé dans plusieurs conseils et commissions en Colombie-Britannique. Elle a participé à la création du Centre canadien de politiques alternatives en Colombie-Britannique. Elle a participé pendant plusieurs années au conseil exécutif du Comité national d'action sur le statut des femmes, en tant que vice-présidente (1979-1980, 2985-1987, 1988-1989), trésorière (1977-1979), présidente du comité sur l'emploi et l'économie (1985-1989), porte-parole du réseau Pro-Canada (1987-1990), coprésidente de la Coalition contre le libre-échange (1985-1989) et rédactrice en chef de Status of Women News (1977-1981).

Committee Against Pornography

  • Pessoa coletiva
  • 1984-199[?]

The Committee Against Pornography (CAP) was formed in February 1984 by Stephanie Holbick and Alison Kerr as a voluntary organization of Toronto women "concerned about the proliferation of pornographic images and messages in Canadian society." Most CAP members were also involved with other women's groups, but viewed the organization as a venue through which to focus more specifically on action against sexually explicit images of women that they viewed as harmful and degrading. CAP explored legal means of eliminating the sale and distribution of pornography in Canada. They argued that violent and degrading pornography encouraged violence against women, and represented women as the men's sexual playthings. In other words, they argued that pornography is one of the root causes of violence against women.

CAP thus falls squarely in the "anti-porn" camp of the feminist porn wars, in opposition to pro-sex or sex-positive feminists who rejected what they viewed as moral puritanism, and worried that censorship laws were a threat to the free speech of sexual minorities. The CAP defined pornography as any material which depicts a power relationship in order to sexually stimulate the viewer; however, they were not against erotica, which they defined as non-violent, non-degrading sexual material which does not use power relationships to stimulate the consumer. The group also sought tougher legislation surrounding child pornography, importation of pornographic material, and display of sexually explicit magazines in variety stores and other public places. CAP also provided other women's organizations with research, reports, and lobby material related to the censorship of pornography and public violence against women.
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Le Committee Against Pornography (CAP) a été créé en février 1984 par Stephanie Holbick et Alison Kerr en tant qu'organisation bénévole de femmes de Toronto "préoccupées par la prolifération des images et des messages pornographiques dans la société canadienne". La plupart des membres de CAP étaient également impliquées dans d'autres groupes de femmes, mais considéraient l'organisation comme un moyen de se concentrer plus spécifiquement sur l'action contre les images sexuellement explicites de femmes qu'elles considéraient comme nuisibles et dégradantes. La CAP a étudié les moyens juridiques d'éliminer la vente et la distribution de pornographie au Canada. Elle a fait valoir que la pornographie violente et dégradante encourageait la violence à l'égard des femmes et les représentait comme des jouets sexuels pour les hommes. En d'autres termes, ils ont affirmé que la pornographie était l'une des causes profondes de la violence à l'égard des femmes.

La CAP se situe donc carrément dans le camp "anti-porno" des guerres féministes du porno, en opposition aux féministes pro-sexe ou sex-positives qui rejetaient ce qu'elles considéraient comme un puritanisme moral et craignaient que les lois sur la censure ne menacent la liberté d'expression des minorités sexuelles. La PAC définit la pornographie comme tout matériel qui met en scène une relation de pouvoir dans le but de stimuler sexuellement le spectateur ; toutefois, elle n'est pas opposée à l'érotisme, qu'elle définit comme un matériel sexuel non violent et non dégradant qui n'utilise pas de relations de pouvoir pour stimuler le consommateur. Le groupe a également demandé une législation plus stricte concernant la pornographie enfantine, l'importation de matériel pornographique et l'exposition de magazines sexuellement explicites dans les magasins de variétés et autres lieux publics. La CAP a également fourni à d'autres organisations de femmes des recherches, des rapports et du matériel de lobbying concernant la censure de la pornographie et la violence publique à l'égard des femmes.

Coderre, Cécile

  • Pessoa singular
Sociologue et travailleuse sociale de formation, Cécile Coderre a débuté sa carrière à l’Université d’Ottawa en 1983. Elle a occupé des postes de professeure de sociologie, de professeure et de directrice de l’École de service sociale (1998-2003) et de vice-doyenne de la Faculté des sciences sociales. Elle s’est intéressées aux questions relatives à la violence faite aux femmes, au mouvement des femmes francophones vivant en contexte minoritaires, aux approches féministes et communautaires d’intervention de même qu’aux rapports des femmes à l’État. Elle s’est intéressée aussi à la sociologie du travail et de la famille, plus spécifiquement aux femmes gestionnaires des grandes entreprises privées et publiques. Elle est co-auteure de Femmes de carrière, carrières de femmes (PUO). Elle a coédité, dans le cadre des activités de célébration du cinquantième anniversaire de la publication du Deuxième sexe, l’ouvrage Le deuxième sexe. Une relecture en trois temps 1949-1971-1999. Dans son rôle de vice-doyenne aux études et secrétaire elle a stimulé et soutenu la création de nouveaux programmes innovateurs, sensibles aux préoccupations liées aux nouveaux enjeux socio-politiques. Elle a aussi mis sur pied des projets pour enrichir l’expérience étudiante. Parallèlement à sa carrière universitaire, Cécile Coderre est engagée au sein de nombreuses associations vouées au développement communautaire et au bien-être des femmes.
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A sociologist and social worker by training, Cécile Coderre began her career at the University of Ottawa in 1983. She has held positions as Professor of Sociology, Professor and Director of the School of Social Work (1998-2003) and Associate Dean of the Faculty of Social Sciences. She has worked on issues related to violence against women, the Francophone women's movement in minority contexts, feminist and community-based approaches to intervention, and women's relationships with the state. She is also interested in the sociology of work and family, more specifically in women managers in large private and public companies. She is co-author of Femmes de carrière, carrières de femmes (PUO). As part of the activities to celebrate the fiftieth anniversary of the publication of Le Deuxième sexe, she co-edited the book Le deuxième sexe. Une relecture en trois temps 1949-1971-1999. In her role as Associate Dean of Studies and Secretary, she has stimulated and supported the creation of new and innovative programs, sensitive to the concerns of emerging socio-political issues. She also initiated projects to enrich the student experience. In addition to her academic career, Cécile Coderre is involved in numerous associations dedicated to community development and women's welfare.

Vespry, Anne

  • Pessoa singular

Anne Vespry is a lawyer based in Ottawa. She was involved with the Woman's Common (Toronto) from the time it opened in 1988 until it's closing in 1994, as both a volunteer and employee, including as a member of the Entertainment Committee, helping to set up events held at the Common.

The Women's Club was a cooperative club/restaurant/event space owned and operated by women located on Parliament Street in Toronto from 1988 to 1994. At it's height it has over 1600 paid members. The club provided a safe, harassment-free environment for lesbians.
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Anne Vespry est une avocate basée à Ottawa. Elle a été impliquée dans le Woman's Common (Toronto) depuis son ouverture en 1988 jusqu'à sa fermeture en 1994, à la fois comme bénévole et comme employée, notamment en tant que membre du comité de divertissement, aidant à mettre en place les événements organisés au Common.

Le Women's Club était un club/restaurant/espace événementiel coopératif détenu et géré par des femmes, situé sur Parliament Street à Toronto, de 1988 à 1994. À son apogée, il comptait plus de 1 600 membres payants. Le club offrait aux lesbiennes un environnement sûr et exempt de harcèlement.

Gregory, Frances

  • Pessoa singular

Frances Gregory was one of the founding members of the Toronto Wages for Housework Committee, a women’s group based in Toronto which began its operations around 1973. This committee was a branch of an international organization of the same name. The WFH Committee demanded that the federal and provincial governments pay wages for housework and argued that the devaluation of housework and other traditional "women's labour" kept women subservient in the home and financially dependent on men. During her time with the WFH collective, Gregory produced influential critical analysis for the group, including the article "I'm Not a Housewife -- I'm Liberated!" Much of Gregory's analysis focused on uniting the cause of housewives with those of working women, arguing that working women were also expected to perform "housework" at their jobs and were paid unfairly as a result. As a former factory and clerical office worker, Gregory experienced the drudgery and devaluation of "women's labour" firsthand. Gregory was also involved with another WFH-affiliated group, the Mother-Led Union, although she did not have children at the time. Among other issues, the Mother-Led Union fought for free universal day care and family benefits reform. According to Gregory and other members of the collective, “women’s work” included domestic labour, emotional labour, and sexual labour performed by women for the benefit of men. In providing a socialist analysis of women's labour and its contribution to the national economy, Gregory and WFH united housewives, lesbians, immigrant domestic workers, and sex workers in solidarity against the social and economic devaluation of "women's work.”

Following her involvement with the Toronto Wages for Housework Committee, Gregory worked as the coordinator of INTERCEDE, also known as the International Coalition to End Domestics’ Exploitation. INTERCEDE sought to organize support on the provincial, national, and international level for the struggle to achieve domestic workers’ rights. INTERCEDE grew out of the Housewives Initiative, a Toronto-based women’s education organization affiliated with wages for Housework, at a forum they hosted in October 1979 called “A View from the Kitchen : Immigrant Women Spek Out on the Value of Housework.” INTERCEDE pressured the Ontario government to include all domestic workers under minimum wage legislation, and demanded that independent community agencies be funded to ensure that employers are respecting domestic workers’ rights, that all women in Canada on work permits be allowed to apply for landed immigrant status, that welfare rates be raised immediately to a living wage, and that immigrant women be allowed to apply for welfare with no threat of deportation. As coordinator, Gregory was responsible for corresponding with policymakers on behalf of the group.
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Frances Gregory est l'une des membres fondatrices du Toronto Wages for Housework Committee, un groupe de femmes basé à Toronto qui a commencé ses activités vers 1973. Ce comité était une branche d'une organisation internationale du même nom. Le WFH Committee exigeait que les gouvernements fédéral et provinciaux versent des salaires pour les travaux ménagers et soutenait que la dévalorisation des travaux ménagers et d'autres "travaux féminins" traditionnels maintenait les femmes dans un état de soumission au foyer et de dépendance financière à l'égard des hommes. Pendant son séjour au sein du collectif de la FMH, Gregory a produit des analyses critiques influentes pour le groupe, notamment l'article "I'm Not a Housewife -- I'm Liberated !" (Je ne suis pas une femme au foyer, je suis libérée!). Une grande partie de l'analyse de Mme Gregory visait à unir la cause des femmes au foyer à celle des femmes actives, en faisant valoir que les femmes actives étaient également censées effectuer des "tâches ménagères" dans le cadre de leur travail et qu'elles étaient, de ce fait, injustement rémunérées. En tant qu'ancienne ouvrière d'usine et employée de bureau, Gregory a fait l'expérience directe de la pénibilité et de la dévalorisation du "travail des femmes". Elle s'est également engagée dans un autre groupe affilié à la FMH, l'Union des mères, bien qu'elle n'ait pas eu d'enfants à l'époque. L'Union des mères luttait, entre autres, pour la mise en place de garderies universelles et gratuites et pour une réforme des allocations familiales. Selon Gregory et d'autres membres du collectif, le "travail des femmes" comprend le travail domestique, le travail émotionnel et le travail sexuel effectués par les femmes au profit des hommes. En proposant une analyse socialiste du travail des femmes et de sa contribution à l'économie nationale, Gregory et la FMH ont réuni les femmes au foyer, les lesbiennes, les travailleuses domestiques immigrées et les travailleuses du sexe dans un élan de solidarité contre la dévaluation sociale et économique du "travail des femmes."

Après sa participation au Toronto Wages for Housework Committee, Gregory a travaillé comme coordinatrice d'INTERCEDE, également connue sous le nom de Coalition internationale pour mettre fin à l'exploitation des personnes effectuant des travaux domestiques. INTERCEDE cherche à organiser le soutien au niveau provincial, national et international pour la lutte en faveur des droits des travailleuses et travailleurs domestiques. INTERCEDE est née de la Housewives Initiative, une organisation d'éducation des femmes basée à Toronto et affiliée à Wages for Housework, lors d'un forum qu'elle a organisé en octobre 1979 et intitulé "A View from the Kitchen : Immigrant Women Spek Out on the Value of Housework" (Un point de vue de la cuisine : les femmes immigrées parlent de la valeur du travail domestique). INTERCEDE a fait pression sur le gouvernement de l'Ontario pour qu'il inclue tous les travailleurs domestiques dans la législation sur le salaire minimum, et a exigé que des agences communautaires indépendantes soient financées pour s'assurer que les employeurs respectent les droits des travailleurs domestiques, que toutes les femmes au Canada titulaires d'un permis de travail soient autorisées à demander le statut d'immigrant reçu, que les taux d'aide sociale soient immédiatement augmentés pour atteindre un salaire décent, et que les femmes immigrées soient autorisées à demander l'aide sociale sans menace d'expulsion. En tant que coordonnatrice, Gregory était chargée de correspondre avec les décideurs politiques au nom du groupe.

Stevens, Noreen

  • Pessoa singular
Stevens Noreen graduated from the University of Manitoba in 1985. She holds a degree in Interior Design. As a committed lesbian feminist, she worked to share her skills with community organizations that supported LGBTQ+ equality issues, feminist values and progressive social change. She developed a design practice by supporting such community organizations, opening Winnipeg's first LGBTQ+ restaurant (Winona's Coffee & Ice) and creating a bi-weekly comic strip, The Chosen Family, which was published in the LGBTQ+ and feminist press across North America from 1988 to 2004.
In the spring of 1986, she was approached by Brenda Sinclair (wife Pauls) to collaborate on a logo, advertising and other branding materials for Bold Print, a women's bookstore she was opening in partnership with Joan Turner in Winnipeg. Brenda Sinclair was her contact at Bold Print, and they met several times in the months leading up to and following the opening of Bold Print.
In collaboration with Brenda Sinclair, Noreen Stevens developed an advertising campaign for the Bold Print bookstore and designed various promotional materials. Noreen Stevens was also responsible for the interior design and layout of the bookstore, which was subsequently completed by John Stockwell.
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Stevens Noreen est diplômée de l'Université du Manitoba depuis 1985. Elle détient un diplôme en design d'intérieur. En tant que lesbienne féministe engagée, elle s'est employée à partager ses compétences avec des organismes communautaires qui soutenaient les questions d'égalité LGBTQ+, les valeurs féministes et le changement social progressif. Elle a développé une pratique du design en soutenant de telles organisations communautaires, en ouvrant le premier restaurant LGBTQ+ de Winnipeg (Winona's Coffee & Ice) et en créant une bande dessinée bihebdomadaire, The Chosen Family, publiée dans la presse LGBTQ+ et féministe à travers l'Amérique du Nord de 1988 à 2004.
Au printemps 1986, Brenda Sinclair (épouse Pauls) l'a approchée pour collaborer à la création d'un logo, d'une publicité et d'autres supports de marque pour Bold Print, une librairie pour femmes qu'elle ouvrait en partenariat avec Joan Turner à Winnipeg. Brenda Sinclair était son contact chez Bold Print, et elles se sont rencontrées plusieurs fois dans les mois qui ont précédé et suivi l'ouverture de Bold Print.
En collaboration avec Brenda Sinclair, Noreen Stevens a déployé une campagne publicitaire pour la librairie Bold Print et conçu divers matériels promotionnels. Noreen Stevens a également été en charge de la décoration et de l’aménagement intérieurs de la librairie réalisés ensuite par John Stockwell.

Yanz, Lynda

  • Pessoa singular
  • 1951-
Lynda Yanz was a feminist and socialist activist focused primarily on the rights of women workers and the working class. Yanz was also involved in the Marxist-Leninist movement, and her records suggest that she sought to bring these movements together in solidarity through her role in feminist organizations like the Vancouver Women's Research Centre and the International Women's Day Committee. Yanz was also involved with the Marxist-Leninist group In Struggle!, and collected their important documents and periodicals. Lynda Yanz currently is the Executive Director for Maquila Solidarity Network, a labour and women's rights organization supporting workers in the global garment and footwear industry, which she co-founded in 1993.
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Lynda Yanz était une militante féministe et socialiste qui se concentrait principalement sur les droits des travailleuses et de la classe ouvrière. Yanz était également impliquée dans le mouvement marxiste-léniniste, et ses archives suggèrent qu'elle a cherché à rassembler ces mouvements dans la solidarité à travers son rôle dans des organisations féministes telles que le Vancouver Women's Research Centre et le Comité de la Journée internationale de la femme. Lynda Yanz s'est également impliquée dans le groupe marxiste-léniniste In Struggle ! dont elle a rassemblé les documents et périodiques importants. Lynda Yanz est actuellement directrice exécutive du Maquila Solidarity Network, une organisation de défense des droits des travailleurs et des femmes qui soutient les travailleurs de l'industrie mondiale de l'habillement et de la chaussure, qu'elle a cofondée en 1993.

Barnes, Rosemary

  • Pessoa singular
Rosemary Barnes is a psychologist. Before working in independent practice, she worked at Toronto General and Women’s College Hospitals. She has been affiliated with the University of Toronto, York University, and the Ontario Institute for Studies in Education. She has published on suicide, HIV conditions, and residential schools, and has provided expert opinion in legal cases relating to lesbian/gay issues and trauma.
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Rosemary Barnes est psychologue. Avant d'exercer en libéral, elle a travaillé à l'hôpital général de Toronto et au Women's College Hospital. Elle a été affiliée à l'Université de Toronto, à l'Université York et à l'Institut d'études pédagogiques de l'Ontario. Elle a publié des ouvrages sur le suicide, le VIH et les pensionnats, et a donné son avis d'expert dans des affaires juridiques concernant les lesbiennes/gays et les traumatismes.

Hošek, Chaviva

  • Pessoa singular
  • 1946-
Chaviva Hošek was born in Chomutov, Czechoslovakia. Her mother was imprisoned in Auschwitz during WWII, and her family emigrated to Montreal in 1952. Hošek went on to earn her undergraduate degree from McGill and a PhD in English Literature from Harvard in 1973. After working as a University English Professor, Hošek served as the president of the National Action Committee on the Status of Women from 1984 to 1986, during a time that the organization was polarized by internal divisions. In 1986, she won the YMCA Women of Distinction Award for Community and Public Service. Hošek ran in the 1987 Ontario election, winning a seat at the Legislative Assembly as an MPP for the Oakwood riding in Toronto. She lost her riding to Tony Rizzo of the NDP in 1990. Following this defeat, she became director of the Federal Liberal Party's research bureau, co-authored their campaign platform for the 1993 federal election, became the Director of Policy Research under Chrétien, and wrote the Liberal platforms for the 1997 and 2000 federal elections. In 2001, Hošek left the PMO to become president and CEO of the Canadian Institute for Advanced Research, and retired in 2012.
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Chaviva Hošek est née à Chomutov, en Tchécoslovaquie. Sa mère a été emprisonnée à Auschwitz pendant la Seconde Guerre mondiale et sa famille a émigré à Montréal en 1952. Hošek a obtenu un diplôme de premier cycle à McGill et un doctorat en littérature anglaise à Harvard en 1973. Après avoir été professeure d'anglais à l'université, Hošek a été présidente du Comité national d'action sur le statut de la femme de 1984 à 1986, à une époque où l'organisation était divisée en son sein. En 1986, elle a remporté le prix Femmes de distinction du YMCA pour le service communautaire et public. Hošek se présente aux élections ontariennes de 1987 et remporte un siège à l'Assemblée législative en tant que députée provinciale de la circonscription d'Oakwood à Toronto. En 1990, elle perd sa circonscription au profit de Tony Rizzo, du NPD. Après cette défaite, elle devient directrice du bureau de recherche du Parti libéral fédéral, coauteur de leur programme électoral pour les élections fédérales de 1993, devient directrice de la recherche politique sous Chrétien et rédige les programmes électoraux libéraux pour les élections fédérales de 1997 et 2000. En 2001, Hošek a quitté le cabinet du premier ministre pour devenir présidente-directrice générale de l'Institut canadien des recherches avancées. Il a pris sa retraite en 2012.

Schellenberg, Susan

  • Pessoa singular
Susan Schellenberg, artist and writer, began her career as a public nurse. In 1980, she committed to healing from a 1969 psychosis and ten-year course of anti-psychotic drigs and to keeping a visual-art and written record of her dreams and inner journey as her mind healed. Her Shedding Skins series, dream art with text, is a on permanent exhibit in the main lobby as the Centre for Addiction and Mental Health in Toronto.
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Susan Schellenberg, artiste et écrivain, a commencé sa carrière en tant qu'infirmière publique. En 1980, elle s'est engagée à guérir d'une psychose survenue en 1969 et d'une cure de dix ans de médicaments antipsychotiques, et à garder une trace visuelle et écrite de ses rêves et de son cheminement intérieur au fur et à mesure de la guérison de son esprit. Sa série Shedding Skins, art du rêve avec texte, est exposée en permanence dans le hall principal du Centre for Addiction and Mental Health à Toronto.
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