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Canadian Research Institute for the Advancement of Women (CRIAW)

  • Corporate body
  • 1976 -

CRIAW-ICREF est « un institut de recherche qui offre des outils pour aider les organisations à agir afin de promouvoir la justice sociale et l’égalité pour toutes les femmes » (criaw-icref.ca, consulté le 3 juin 2021). CRIAW-ICREF est une organisation canadienne à but non lucratif basée sur les membres. Elle privilégie le développement de la recherche féministe et sa diffusion à des fins d’éducation et de défense de droits. Elle est la seule organisation féministe nationale bilingue au Canada privilégiant exclusivement la recherche.

L’ICREF été fondé par des féministes - universitaires, membres de la communauté et activistes - dans le sillage de l'Année internationale de la femme (1975) pour répondre au manque de recherches existantes sur les femmes et leurs expériences. Le congrès de fondation de l’organisation constitué de soixante-dix membres, s’est tenu à Ottawa en avril 1976. Durant ce congrès, les objectifs ont été établis, les statuts adoptés, un conseil d’administration élu, et le nom de la nouvelle organisation a été choisi, soit l’Institut canadien de recherches sur les femmes. En novembre 1976, une tribune sur la recherche et les femmes s’est tenue à l’Université Mount Saint Vincent à Halifax. Cette rencontre a constitué les prémices du colloque annuel de l’ICREF, qui se tiendra partout au Canada, de Halifax à Vancouver, jusqu’à Yellowknife. Les objectifs des membres fondateurs ont été « d’encourager, de coordonner et de diffuser la recherche sur le vécu des femmes et d’assurer à celles-ci une place égale dans l’ensemble des connaissances et des recherches sur le Canada, son peuple, sa culture, son économie et ses politiques » (Une brève histoire de l’ICREF, document préparé par Linda Clippingdale). Dès 1977, l’Institut prépare sa première publication, un répertoire de la recherche sur les femmes et le travail sous la direction de Susan Mann Trofimenkoff. Dès 1978, l’ICREF a décerné un certain nombre de subventions chaque année, finançant ainsi des centaines de projets entrepris par des chercheuses communautaires et universitaires. Naomi Griffiths, Susan Mann-Trofimenkoff et Francine Fournier sont devenues les premières membres honoraires de l’ICREF en 1980. Entre autres, un prix nommé en l’honneur de Muriel Duckworth (présidente de l’ICREF de 1979 à 1980) a été mis en place. L’ICREF a lancé deux séries de documents. "Les Documents de l’ICREF" sont parus pour la première fois en 1980, et "Perspectives féministes" a vu le jour en 1985. En 1981, l’ICREF commence a publié un Bulletin trimestriel à l’intension de ses membres. En 1982, il publie pour la première fois les Actes de son colloque.

Les premières années de l’ICREF ont été marquées par la recherche d’une source de financement stable. En 1979, l’ICREF obtient une aide financière au fonctionnement conséquente du Programme de promotion de la femme du Secrétariat d’État, qui lui permet d’acquérir une stabilité financière. Ainsi, l’ICREF déménage, engage du personnel et peut ainsi offrir une gamme plus étendue de services à ses membres. Cependant au-delà du financement reçu du gouvernement canadien, et depuis ses débuts, les activités de l’Institut ont été financées par diverses sources, notamment par des dons, les cotisations des membres, la vente de publications, mais également grâce au soutien de diverses associations telles que l’Association des Universités et Collèges du Canada.

Dans les années 1990, l’ICREF a modifié ses pratiques pour une plus grande inclusivité. Face aux multiples formes d’inégalités et d’oppression non prises en compte par le mouvement des femmes, l’organisation a réfléchi à l’application de l’intersectionnalité dans ses programmes et sa structure organisationnelle. Plusieurs conférences ont vu le jour (Femmes et handicap en 1990; Faire les liens en 1992). Les structures organisationnelles de l’ICREF ont fait l’objet d’un examen, et un comité d’éthique de la recherche a vu le jour (1994). Dans le début des années 2000, l’ICREF a souhaité intensifier ses efforts pour une analyse féministe intégrée (AFI) plus approfondie. Ainsi, l’organisation a restructuré son conseil d’administration (2001) pour une représentation plus diversifiée des groupes d’équité identifiés : femmes racisées, femmes en situation de handicap, lesbiennes et les bisexuelles, femmes transgenres, femmes autochtones, une plus grande représentation régionale, membres du conseil d’administration représenté par au moins 25% de francophones). Elle a également élaboré un plan stratégique centré sur la question de l’intersectionnalité.

L’ICREF a soutenu et mené de nombreux projets de recherche portant sur les femmes au Canada. Vers le milieu de sa première décennie, l’ICREF a mis au point deux grands projets : la Banque de chercheuses et le Répertoire des périodiques pour femmes canadiennes. Les membres de l’ICREF ont présenté de nombreux mémoires au nom de l’égalité des femmes, notamment des mémoires au CRTC sur le sexisme dans les médias, au Groupe d’étude fédéral-provincial sur les victimes du crime, au Comité fédéral d’examen de la politique culturelle, à la Commission MacDonald, au Groupe d’étude fédéral sur la garde des enfants, et à la Commission royale d’enquête sur les nouvelles technologies de reproduction. Parmi les nombreux projets entrepris, l’ICREF a participé à : l’étude pilote « La participation des femmes à la vie politique » commandée par l’UNESCO (1985-1988); une trousse de ressources communautaires sur les nouvelles technologies de reproduction qui a servi à la préparation des mémoires pour la Commission royale sur les nouvelles technologies de reproduction (1988-1990); la participation des femmes canadiennes à la Conférence mondiale sur les femmes de 1995 à Beijing; une recherche-action participative sur les effets sociaux, politiques et culturels du développement économique dans le nord du Canada pour les femmes (FemNorthNet); une recherche pancanadienne sur les impacts des changements dans l’emploi et la prestation des services publics sur les femmes (Changing Public Services).

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CRIAW-ICREF is "a research institute that provides tools to help organizations take action to promote social justice and equality for all women" (criaw-icref.ca, accessed June 3, 2021). CRIAW-ICREF is a Canadian non-profit, member-based organization. It depends on the support of its members and donors. It focuses on the development of feminist research and its dissemination for educational and advocacy purposes. It is the only national bilingual feminist organization in Canada that focuses exclusively on research.

CRIAW was founded by feminists, academics, community members and activists, in the wake of International Women's Year (1975) to address the lack of existing research on women and their experiences. The founding conference, with seventy members, was held in Ottawa in April 1976. During this conference, objectives were established, by-laws adopted, a Board of Directors elected, and the name of the new organization was chosen, the Canadian Research Institute for the Advancement of Women. In November 1976, a forum on research and women was held at Mount Saint Vincent University in Halifax. This meeting was the beginning of CRIAW's annual conference, which will be held across Canada from Halifax to Vancouver to Yellowknife. The objectives of the founding members were "to encourage, coordinate and disseminate research on women's experiences and to ensure that women have an equal place in the body of knowledge and research on Canada, its people, culture, economy and politics" (A Brief History of CRIAW, prepared by Linda Clippingdale). By 1977, the Institute was preparing its first publication, an inventory of research on women and work, edited by Susan Mann Trofimenkoff. Beginning in 1978, CRIAW awarded several grants each year, funding hundreds of projects undertaken by community and academic researchers. Naomi Griffiths, Susan Mann-Trofimenkoff and Francine Fournier became CRIAW's first honorary members in 1980. Among other prices, an award named in honour of Muriel Duckworth (CRIAW president from 1979 to 1980) was established. CRIAW launched two series of documents. “CRIAW Papers” was first published in 1980 and “Feminist Perspectives” was launched in 1985. In 1981, CRIAW began publishing a quarterly newsletter for its members. In 1982, it published its first conference proceedings.

CRIAW's early years were marked by the search for a stable source of funding. In 1979, CRIAW received substantial operating funding from the Secretary of State's Women's Program, which gave it financial stability. CRIAW moved, hired staff and was able to offer a wider range of services to its members. However, beyond the funding received from the Canadian government, since its inception, the Institute's activities have been funded from a variety of sources, including donations, membership fees, sales of publications, and support from various associations such as the Association of Universities and Colleges of Canada.

In the 1990s, CRIAW changed its practices to become more inclusive. In front of multiple forms of inequality and oppression not addressed by the women's movement, the organization reflected on the application of intersectionality in its programs and organizational structure. Several conferences were held (Women and Disability in 1990; Making the Links in 1992). CRIAW's organizational structures were reviewed, and a research ethics committee was established (1994). In the early 2000s, CRIAW wanted to intensify its efforts towards a more in-depth integrated feminist analysis (IFA). Thus, the organization restructured its Board of Directors (2001) to ensure a more diverse representation of identified equity groups: racialized women, women with disabilities, lesbian and bisexual women, transgendered women, Aboriginal women, greater regional representation, and at least 25% Francophone board members). It has also developed a strategic plan that focuses on the issue of intersectionality.

CRIAW has supported and conducted numerous research projects related to women in Canada. Midway through its first decade, CRIAW developed two major projects: the Women's Research Bank and the Canadian Women's Periodical Directory. CRIAW members have made numerous submissions on behalf of women's equality, including submissions to the CRTC on sexism in the media, the Federal-Provincial Task Force on Victims of Crime, the Federal Cultural Policy Review Committee, the MacDonald Commission, the Federal Task Force on Child Care, and the Royal Commission on New Reproductive Technologies. Among the many projects undertaken, CRIAW has participated in: the pilot study " Women’s Involvement in Political Life" commissioned by UNESCO (1985-1988); a community resource kit on new reproductive technologies that was used to prepare briefs for the Royal Commission on New Reproductive Technologies (1988-1990); Canadian women's participation in the 1995 World Conference on Women in Beijing; participatory action research on the social, political and cultural effects of economic development in northern Canada on women (FemNorthNet); pan-Canadian research on the impacts of changes in employment and public service delivery on women (Changing Public Services).

Bazilli, Susan

  • Person
Susan Bazilli is a lawyer, author, educator, social entrepreneur and advocate, who has worked globally on issues of women's rights for more than 30 years. A graduate of Osgoode Hall Law School (LL.B.) and UBC (LL.M.), she lived and worked in South Africa from 1985-1991, and is the editor of the groundbreaking text "Putting Women on the Agenda: Women, Law and the Constitution in Southern Africa". From 1992 - 1997, she was the Legal Director of METRAC, The Metropolitan Committee on Violence Against Women in Toronto, Canada, and founded the Internet-based Ontario Women's Justice Network. In 1997 she became the first Executive Director of the California Alliance Against Domestic Violence. From 2003-2007, Susan was the Co-Director with Marilou McPhedran for the non-profit organization the International Women's Rights Project (IWRP) based in Vancouver, BC. Susan went on to become sole Director of IWRP from 2007 onwards (Susan is the Director at the time of writing in 2021). IWRP advocates for women’s human rights, strengthens Women’s NGOs in Canada and around the world, and encourages implementation of international human rights standards through collaboration, participatory research, and evidence-based advocacy on a project-by-project basis. In 2010 Susan was the Executive Producer and Writer for the documentary film Constitute!, a project of IWRP which documents women's constitutional activism for the Canadian Charter of Rights and Freedoms (Sections 15 and 18) on February 14th, 1981. Susan's international missions have included many UN missions and assignments on peace building, rule of law, gender based violence, sustainable development, international trans-boundary waters, gender mainstreaming within the Global Environment Facility, and gender equality laws in Mongolia and, South East Asia; women's human rights training in Bosnia, Lithuania and East Africa for Women Law and Development International; bilateral missions in Azerbaijan, Kyrgyzstan and Uzbekistan for the OSCE; trainings in ICTs for development in the Baltic and Balkan regions for USAID and CIDA; evaluating the use of CEDAW by grassroots NGOs; managing the gender program for the American Bar Association - CEELI Program in Russia; developing and coordinating a seven country Southern African Women's Legal Rights program. D).
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Susan Bazilli est avocate, auteure, éducatrice, entrepreneuse sociale et militante. Elle travaille depuis plus de 30 ans à l'échelle mondiale sur les questions relatives aux droits des femmes. Diplômée de l'Osgoode Hall Law School (LL.B.) et de l'UBC (LL.M.), elle a vécu et travaillé en Afrique du Sud de 1985 à 1991 et est l'éditrice de l'ouvrage novateur "Putting Women on the Agenda : Women, Law and the Constitution in Southern Africa". De 1992 à 1997, elle a été directrice juridique de METRAC, le Comité métropolitain sur la violence à l'égard des femmes, à Toronto, au Canada, et a fondé le Réseau de justice pour les femmes de l'Ontario, basé sur Internet. En 1997, elle est devenue la première directrice exécutive de l'Alliance californienne contre la violence domestique. De 2003 à 2007, Susan a été codirectrice, avec Marilou McPhedran, de l'organisation à but non lucratif International Women's Rights Project (IWRP), basée à Vancouver, en Colombie-Britannique. Susan est ensuite devenue la seule directrice de l'IWRP à partir de 2007 (Susan est la directrice au moment de la rédaction du présent document, en 2021). L'IWRP défend les droits humains des femmes, renforce les ONG de femmes au Canada et dans le monde, et encourage la mise en œuvre des normes internationales en matière de droits humains par le biais de la collaboration, de la recherche participative et d'un plaidoyer fondé sur des données probantes, projet par projet. En 2010, Susan a été productrice exécutive et scénariste du film documentaire Constitute !, un projet de l'IWRP qui documente l'activisme constitutionnel des femmes en faveur de la Charte canadienne des droits et libertés (articles 15 et 18) le 14 février 1981. Les missions internationales de Susan comprennent de nombreuses missions et affectations des Nations unies sur la consolidation de la paix, l'État de droit, la violence fondée sur le sexe, le développement durable, les eaux transfrontalières internationales, l'intégration de la dimension de genre dans le Fonds pour l'environnement mondial et les lois sur l'égalité des sexes en Mongolie et en Asie du Sud-Est ; la formation aux droits humains des femmes en Bosnie, en Lituanie et en Afrique de l'Est pour l'organisation Women Law and Development International ; missions bilatérales en Azerbaïdjan, au Kirghizstan et en Ouzbékistan pour l'OSCE ; formations aux TIC pour le développement dans les régions baltes et balkaniques pour l'USAID et l'ACDI ; évaluation de l'utilisation de la CEDAW par les ONG locales ; gestion du programme de genre pour l'American Bar Association - programme CEELI en Russie ; développement et coordination d'un programme de sept pays sur les droits juridiques des femmes en Afrique australe. D).

Canadian Federation of University Women of Ottawa

  • Corporate body
  • 1991-

The Canadian Federation of University Women/Ottawa (CFUW-O) was formed in April 14th, 1910 and incorporated under the name of University Women Club of Ottawa (UWC-O). It was formed by women graduates of various universities living in Ottawa. UWC denomination was changed in 1991 to Canadian Federation of University Women of Ottawa (CFUW-O). The club is a voluntary, self-funded, non-partisan, non-profit organization, open to all women. It is dedicated to the promotion of equality, social justice, fellowship, and life-long learning for women and girls. It provides opportunities to members to socialize, educate and advocate.

The organisation offers opportunities for friendship, learning as part of external outreach groups. Study and interest groups for a wide range of interests including outdoor activities, indoor games, cuisine, book clubs, art, public affairs, music have been formed. Various events have been organized during which expert speakers intervened on educational, political, social, and cultural issues with a focus on equality for women and girls.

UWC/CFUW-O members work on local issues. Their advocacy is always based on policies which have been approved by their members. The UWC was admitted in 1919 to membership in the Canadian Federation of University Women (CFUW). The UWC/CFUW-O is also part of Graduate Women International (GWI), formerly International Federation of University Women (IFUM). The UWC/CFUW-O has also been active in both the affairs of the CFUW and the IFUW. They support CFUW-Ontario Council on provincial issues, and the CFUW National Board on national and international issues.

In 1913, the Drama Reading Circle was started. This group grew into the Ottawa Little Theatre. During the First World War, many members were involved in volunteer service with the Red Cross and St. John’s Ambulance. In 1951, the Penal Reform Study Group was responsible for the organization of the Elizabeth Fry Society of Ottawa. In the 60s, the UWC participated in the initiation of the School Volunteer Project “Step By Step”, and the Diplomatic Hospitality Committee was initiated. This committee welcomed hundred of diplomatic visitors to Canada.

The organisation supports university and college students through scholarships and awards. The club began to award university scholarships in 1935. The Scholarship Trust Fund (STF) was formed in September 1983. The purpose of Scholarship Trust Fund is to encourage and support the study and research of those seeking higher education. Through annual appeals, proceeds from various fundraising events, investing, members and friends’ donations, the Fund has given in university scholarship and awards.

Dr. Charlotte Whitton former Mayor of Ottawa, and well-known women have been presidents of the UWC/CFUW-O.
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La Fédération canadienne des femmes diplômées des universités/Ottawa (FCFUO) a été créée le 14 avril 1910 sous le nom de University Women Club of Ottawa (UWC-O). Elle a été créée par des femmes diplômées de diverses universités vivant à Ottawa. La dénomination de l'UWC a été modifiée en 1991 pour devenir la Fédération canadienne des femmes diplômées des universités d'Ottawa (FCFU-O). Le club est une organisation bénévole, autofinancée, non partisane et sans but lucratif, ouverte à toutes les femmes. Il se consacre à la promotion de l'égalité, de la justice sociale, de la camaraderie et de l'apprentissage tout au long de la vie pour les femmes et les jeunes filles. Elle offre à ses membres des possibilités de socialisation, d'éducation et de défense des droits.

L'organisation offre des possibilités d'amitié et d'apprentissage dans le cadre de groupes de sensibilisation externes. Des groupes d'étude et d'intérêt ont été créés pour un large éventail d'intérêts, notamment les activités de plein air, les jeux d'intérieur, la cuisine, les clubs de lecture, l'art, les affaires publiques et la musique. Divers événements ont été organisés au cours desquels des experts sont intervenus sur des questions éducatives, politiques, sociales et culturelles, en mettant l'accent sur l'égalité des femmes et des filles.

Les membres de l'UWC/CFUW-O travaillent sur des questions locales. Leur plaidoyer est toujours basé sur des politiques qui ont été approuvées par leurs membres. L'UWC a été admis en 1919 comme membre de la Fédération canadienne des femmes diplômées des universités (FCFDU). L'UWC/CFUW-O fait également partie de Graduate Women International (GWI), anciennement Fédération internationale des femmes diplômées des universités (IFUM). L'UWC/CFUW-O a également joué un rôle actif dans les affaires de la CFUW et de la IFUW. Il soutient le Conseil de la FCFDU-Ontario sur les questions provinciales et le Conseil national de la FCFDU sur les questions nationales et internationales.

En 1913, le Drama Reading Circle voit le jour. Ce groupe s'est développé pour devenir l'Ottawa Little Theatre. Au cours de la Première Guerre mondiale, de nombreux membres participent au service bénévole de la Croix-Rouge et de l'Ambulance Saint-Jean. En 1951, le Groupe d'étude sur la réforme pénale est à l'origine de l'organisation de la Société Elizabeth Fry d'Ottawa. Dans les années 60, l'UWC participe au lancement du projet de bénévolat scolaire "Step By Step", et le Comité d'accueil diplomatique est créé. Ce comité a accueilli des centaines de visiteurs diplomatiques au Canada.

L'organisation soutient les étudiants des universités et des collèges par le biais de bourses d'études et de prix. Le club a commencé à octroyer des bourses universitaires en 1935. Le Fonds fiduciaire de bourses d'études a été créé en septembre 1983. Son objectif est d'encourager et de soutenir les études et la recherche de ceux qui souhaitent faire des études supérieures. Grâce à des appels annuels, aux recettes de diverses manifestations de collecte de fonds, à des investissements et aux dons de membres et d'amis, le Fonds a accordé des bourses d'études universitaires et des prix.

Charlotte Whitton, ancienne maire d'Ottawa, et des femmes célèbres ont été présidentes de l'UWC/CFUW-O.

University Women's Club of Ottawa

  • Corporate body
  • 1910-1991

The Canadian Federation of University Women/Ottawa (CFUW-O) was formed in April 14th, 1910 and incorporated under the name of University Women Club of Ottawa (UWC-O). It was formed by women graduates of various universities living in Ottawa. UWC denomination was changed in 1991 to Canadian Federation of University Women of Ottawa (CFUW-O). The club is a voluntary, self-funded, non-partisan, non-profit organization, open to all women. It is dedicated to the promotion of equality, social justice, fellowship, and life-long learning for women and girls. It provides opportunities to members to socialize, educate and advocate.

The organisation offers opportunities for friendship, learning as part of external outreach groups. Study and interest groups for a wide range of interests including outdoor activities, indoor games, cuisine, book clubs, art, public affairs, music have been formed. Various events have been organized during which expert speakers intervened on educational, political, social, and cultural issues with a focus on equality for women and girls.

UWC/CFUW-O members work on local issues. Their advocacy is always based on policies which have been approved by their members. The UWC was admitted in 1919 to membership in the Canadian Federation of University Women (CFUW). The UWC/CFUW-O is also part of Graduate Women International (GWI), formerly International Federation of University Women (IFUM). The UWC/CFUW-O has also been active in both the affairs of the CFUW and the IFUW. They support CFUW-Ontario Council on provincial issues, and the CFUW National Board on national and international issues.

In 1913, the Drama Reading Circle was started. This group grew into the Ottawa Little Theatre. During the First World War, many members were involved in volunteer service with the Red Cross and St. John’s Ambulance. In 1951, the Penal Reform Study Group was responsible for the organization of the Elizabeth Fry Society of Ottawa. In the 60s, the UWC participated in the initiation of the School Volunteer Project “Step By Step”, and the Diplomatic Hospitality Committee was initiated. This committee welcomed hundred of diplomatic visitors to Canada.

The organisation supports university and college students through scholarships and awards. The club began to award university scholarships in 1935. The Scholarship Trust Fund (STF) was formed in September 1983. The purpose of Scholarship Trust Fund is to encourage and support the study and research of those seeking higher education. Through annual appeals, proceeds from various fundraising events, investing, members and friends’ donations, the Fund has given in university scholarship and awards.

Dr. Charlotte Whitton former Mayor of Ottawa, and well-known women have been presidents of the UWC/CFUW-O.
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La Fédération canadienne des femmes diplômées des universités/Ottawa (FCFUO) a été créée le 14 avril 1910 sous le nom de University Women Club of Ottawa (UWC-O). Elle a été créée par des femmes diplômées de diverses universités vivant à Ottawa. La dénomination de l'UWC a été modifiée en 1991 pour devenir la Fédération canadienne des femmes diplômées des universités d'Ottawa (FCFU-O). Le club est une organisation bénévole, autofinancée, non partisane et sans but lucratif, ouverte à toutes les femmes. Il se consacre à la promotion de l'égalité, de la justice sociale, de la camaraderie et de l'apprentissage tout au long de la vie pour les femmes et les jeunes filles. Elle offre à ses membres des possibilités de socialisation, d'éducation et de défense des droits.

L'organisation offre des possibilités d'amitié et d'apprentissage dans le cadre de groupes de sensibilisation externes. Des groupes d'étude et d'intérêt ont été créés pour un large éventail d'intérêts, notamment les activités de plein air, les jeux d'intérieur, la cuisine, les clubs de lecture, l'art, les affaires publiques et la musique. Divers événements ont été organisés au cours desquels des experts sont intervenus sur des questions éducatives, politiques, sociales et culturelles, en mettant l'accent sur l'égalité des femmes et des filles.

Les membres de l'UWC/CFUW-O travaillent sur des questions locales. Leur plaidoyer est toujours basé sur des politiques qui ont été approuvées par leurs membres. L'UWC a été admis en 1919 comme membre de la Fédération canadienne des femmes diplômées des universités (FCFDU). L'UWC/CFUW-O fait également partie de Graduate Women International (GWI), anciennement Fédération internationale des femmes diplômées des universités (IFUM). L'UWC/CFUW-O a également joué un rôle actif dans les affaires de la CFUW et de la IFUW. Il soutient le Conseil de la FCFDU-Ontario sur les questions provinciales et le Conseil national de la FCFDU sur les questions nationales et internationales.

En 1913, le Drama Reading Circle voit le jour. Ce groupe s'est développé pour devenir l'Ottawa Little Theatre. Au cours de la Première Guerre mondiale, de nombreux membres participent au service bénévole de la Croix-Rouge et de l'Ambulance Saint-Jean. En 1951, le Groupe d'étude sur la réforme pénale est à l'origine de l'organisation de la Société Elizabeth Fry d'Ottawa. Dans les années 60, l'UWC participe au lancement du projet de bénévolat scolaire "Step By Step", et le Comité d'accueil diplomatique est créé. Ce comité a accueilli des centaines de visiteurs diplomatiques au Canada.

L'organisation soutient les étudiants des universités et des collèges par le biais de bourses d'études et de prix. Le club a commencé à octroyer des bourses universitaires en 1935. Le Fonds fiduciaire de bourses d'études a été créé en septembre 1983. Son objectif est d'encourager et de soutenir les études et la recherche de ceux qui souhaitent faire des études supérieures. Grâce à des appels annuels, aux recettes de diverses manifestations de collecte de fonds, à des investissements et aux dons de membres et d'amis, le Fonds a accordé des bourses d'études universitaires et des prix.

Charlotte Whitton, ancienne maire d'Ottawa, et des femmes célèbres ont été présidentes de l'UWC/CFUW-O.

Montreal Health Press

  • Canada
  • Corporate body
  • 1968-[2001]

The Montreal Health Press–les Presses de la Santé de Montréal–was a feminist, non-profit collective that published affordable print booklets, in French and English, on sexuality and sexual health, for over 30 years. The organization provided affordable and accessible handbooks on issues surrounding birth control, contraception, child birth, sexual orientation, sexually transmitted diseases and menopause.

The organization officially became a women’s collective in 1972, although the collective originated in 1968 when members of the McGill University student body produced and distributed the “Birth Control Handbook.” Two of these student publishers, Donna Cherniak and Allan Feingold, became founding members of the Montreal Health Press.

The organization's administrative style was informal, with annual May meetings held at members’ kitchen tables. One individual was appointed chief coordinator for each publication and members volunteered to contribute their expertise as medical doctors, social scientists, photographers etc. Each handbook was continually re-published with updated medical information.

During the 1970s, a million copies of the “Birth Control Handbook” were distributed. The first handbooks were followed by the “VD Handbook,” in 1973, “A Book about Sexual Assault,” in 1979, and “A Book about Menopause” in 1988, as well as their French-language equivalents. The publications favoured clear and non-judgmental language along with detailed medical diagrams and black and white photographs.

By the 1990s, sales were greatly diminished, due in part to the proliferation of self-help books and to the availability of online content. The collective closed permanently by 2001. During its more than 30-year history, the Montreal Health Press had distributed over 15 million copies of its books and handbooks.
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Les Presses de la Santé de Montréal (Montreal Health Press) sont un collectif féministe à but non lucratif qui a publié pendant plus de 30 ans des brochures abordables, en français et en anglais, sur la sexualité et la santé sexuelle. L'organisation fournit des manuels abordables et accessibles sur les questions relatives au contrôle des naissances, à la contraception, à la naissance des enfants, à l'orientation sexuelle, aux maladies sexuellement transmissibles et à la ménopause.

L'organisation est devenue officiellement un collectif de femmes en 1972, bien que son origine remonte à 1968, lorsque des membres du corps étudiant de l'université McGill ont produit et distribué le "Birth Control Handbook" (manuel sur le contrôle des naissances). Deux de ces éditeurs étudiants, Donna Cherniak et Allan Feingold, sont devenus les membres fondateurs de la Montreal Health Press.

Le style administratif de l'organisation était informel, avec des réunions annuelles en mai qui se tenaient dans les cuisines des membres. Une personne est nommée coordinatrice en chef de chaque publication et les membres se portent volontaires pour apporter leur expertise en tant que médecins, spécialistes des sciences sociales, photographes, etc. Chaque manuel était continuellement réédité avec des informations médicales mises à jour.

Au cours des années 1970, un million d'exemplaires du "Birth Control Handbook" ont été distribués. Les premiers manuels ont été suivis par le "VD Handbook" en 1973, le "A Book about Sexual Assault" en 1979 et le "A Book about Menopause" en 1988, ainsi que leurs équivalents en langue française. Ces publications privilégient un langage clair et non moralisateur, ainsi que des diagrammes médicaux détaillés et des photographies en noir et blanc.

Dans les années 1990, les ventes ont fortement diminué, en partie à cause de la prolifération des livres d'auto-assistance et de la disponibilité du contenu en ligne. Le collectif a fermé définitivement ses portes en 2001. Au cours de ses 30 années d'existence, la Montreal Health Press a distribué plus de 15 millions d'exemplaires de ses livres et manuels.

Comité RIFAS (Regroupement d'intervenants-tes francophones, abus sexuels)

  • Corporate body
  • 1985-1992
Le comité RIFAS (Regroupement d'intervenants-tes francophones, abus sexuels) a été fondé en décembre 1985 avec pour mission de mobiliser et réunir des intervenants-tes intéressés-es par la problématique des abus sexuels. Les objectifs du comité étaient d'établir un réseau d'échange d'informations, de coordonner les ressources offertes en français en matière d'abus sexuels, de favoriser les références de la clientèle aux diverses ressources, de créer un centre de ressources et de documentation et finalement d'offrir de la formation professionnelle. Il est composé d'intervenants-tes sociaux provenant de différentes agences telles la Société de l'aide à l'enfance d'Ottawa-Carleton, le bureau des services à la jeunesse, le Centre psycho-social, le Centre des services communautaires de la Basse-Ville, l'Hôpital pour enfants de l'Est de l'Ontario, le Conseil Scolaire d'Ottawa.
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The RIFAS committee (Regroupement d'intervenants-tes francophones, abus sexuels) was founded in December 1985 with the mission of mobilizing and bringing together interveners interested in the issue of sexual abuse. The committee's objectives were to establish a network for the exchange of information, to coordinate the resources available in French regarding sexual abuse, to promote referrals to the various resources, to create a resource and documentation center and finally to offer professional training. It is composed of social workers from different agencies such as the Children's Aid Society of Ottawa-Carleton, the Youth Services Bureau, the Psycho-social Centre, the Lowertown Community Services Centre, the Children's Hospital of Eastern Ontario and the Ottawa School Board.

Bédard, Lois

  • Canada
  • Person
  • [December 31, 1923] - December 14, 2007

Lois (née Dowson) Bédard was born in 1923 in Weston, Ontario – to a working-class family of 7 children. Mother, Mary Brittania Dowson worked as a stenographer and father, Walter L. Dowson, was a printer. Lois Bédard was notable for her activism in the Canadian Trotskyist movement and for promoting feminist causes, both independently, and through union activism, increasingly from the 1960s to the early 2000s.

Lois Bédard earned her Bachelor’s degree from York Memorial Collegiate and her Master’s of Education from the University of Toronto. In the late 1940s, she married Jean-Marie Bédard: a prominent Québec union activist and committed socialist, who served as president of the Quebec Socialist Party (PSQ) from 1966-1968.

Lois Bédard was one of the few women involved in the Canadian Trotskyist movement. In 1946, her fellow sibling activist, Ross Dowson, had led the Canadian branch of the Trotskyist movement, called, “The Revolutionary Workers Party (RWP.)” In 1974, Lois Bédard was among the members that split from the Canadian Trotskyist group to become a member of the Socialist League, (or the “Forward Group,”) along with founding member, Ross Dowson.

Throughout her activist career, Lois Bédard promoted feminist causes, both independently, and within the labour movement. She was a founding member of Organized Working Women, in 1977, which promoted women’s rights in the workplace and advocated for their involvement in traditional labour organizations. They adopted, “A Woman’s Place is in Her Union,” as one of their slogans. She served on the first executive council of Organized Working Women, before becoming its president, early in 1986.

Lois Bédard lobbied for pay equity between men and women and for women’s rights to free universal childcare. In 1980 she presented a brief to the Ontario Legislative Committee Hearings into Bill 3 – an Act to Amend the Ontario Employment Standards Act. The brief was entitled “Equal Pay for Work of Equal Value.”
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Lois (née Dowson) Bédard est née en 1923 à Weston, en Ontario, dans une famille ouvrière de sept enfants. Sa mère, Mary Brittania Dowson, travaille comme sténographe et son père, Walter L. Dowson, est imprimeur. Lois Bédard s'est distinguée par son militantisme au sein du mouvement trotskiste canadien et par la promotion de causes féministes, à la fois de manière indépendante et par le biais du militantisme syndical, de plus en plus entre les années 1960 et le début des années 2000.

Lois Bédard a obtenu une licence au York Memorial Collegiate et une maîtrise en éducation à l'université de Toronto. À la fin des années 1940, elle a épousé Jean-Marie Bédard, éminent syndicaliste québécois et socialiste convaincu, qui a été président du Parti socialiste québécois (PSQ) de 1966 à 1968.

Lois Bédard fut l'une des rares femmes à participer au mouvement trotskiste canadien. En 1946, son frère activiste, Ross Dowson, avait dirigé la branche canadienne du mouvement trotskiste, appelée "The Revolutionary Workers Party (RWP)". En 1974, Lois Bédard fait partie des membres qui se séparent du groupe trotskiste canadien pour devenir membre de la Socialist League (ou "Forward Group"), aux côtés de Ross Dowson, membre fondateur.

Tout au long de sa carrière militante, Lois Bédard a défendu les causes féministes, à la fois de manière indépendante et au sein du mouvement syndical. En 1977, elle est l'une des membres fondatrices de l'organisation Organized Working Women, qui promeut les droits des femmes sur le lieu de travail et plaide en faveur de leur participation aux organisations syndicales traditionnelles. Le slogan "A Woman's Place is in Her Union" (La place d'une femme est dans son syndicat) est l'un des leurs. Elle a siégé au premier conseil exécutif d'Organized Working Women, avant d'en devenir la présidente, au début de l'année 1986.

Lois Bédard a fait pression en faveur de l'équité salariale entre les hommes et les femmes et du droit des femmes à des services de garde d'enfants gratuits et universels. En 1980, elle a présenté un mémoire aux audiences du Comité législatif de l'Ontario sur le projet de loi 3 - Loi modifiant la Loi sur les normes d'emploi de l'Ontario. Ce mémoire était intitulé "Un salaire égal pour un travail de valeur égale".

Quinlan, Judith

  • Person

Judith Quinlan is a graduate of the University of Alberta in Edmonton and was on the Student Council (1970) and was part of starting the first Edmonton Women's Centre and the Isis women's shelter while a student. After graduating, she moved to Vancouver and worked on the Pedestal Women's Newspaper. In 1972, she moved to Toronto and worked on The Other Woman newspaper, helped start the Toronto Women's Bookstore, was one of the founders of Cora the Women's Bookmobile, and the Toronto Women's Centre. Judith later wrote for Broadside and worked on the LOOT project. She started the All Girls Hit and Run Feminist Marching Band and joined the Wages for Housework group and started Wages Due Lesbians.

After stepping away from these groups, she wrote poetry and songs (including the Mama Quilla name song) and then moved to rural British Columbia, where she worked with the 100 Mile House Women's Centre, acted as the editor of The Open Door (Rural Lesbians of BC), and got involved in choirs and music teaching. She later moved back to Vancouver and then Victoria where she currently resides.
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Judith Quinlan est diplômée de l'université de l'Alberta à Edmonton. Elle a fait partie du conseil des étudiants (1970) et a participé à la création du premier centre des femmes d'Edmonton et du refuge pour femmes Isis alors qu'elle était étudiante. Après avoir obtenu son diplôme, elle s'est installée à Vancouver et a travaillé pour le Pedestal Women's Newspaper. En 1972, elle s'installe à Toronto et travaille pour le journal The Other Woman, participe à la création de la librairie des femmes de Toronto, est l'une des fondatrices de Cora, le bibliobus des femmes, et du Centre des femmes de Toronto. Judith a ensuite écrit pour Broadside et travaillé sur le projet LOOT. Elle a créé le All Girls Hit and Run Feminist Marching Band, a rejoint le groupe Wages for Housework et a lancé Wages Due Lesbians.

Après s'être éloignée de ces groupes, elle a écrit de la poésie et des chansons (y compris la chanson du nom de Mama Quilla) et s'est ensuite installée dans une région rurale de la Colombie-Britannique, où elle a travaillé avec le 100 Mile House Women's Centre, a été rédactrice en chef de The Open Door (Rural Lesbians of BC), et s'est impliquée dans des chorales et dans l'enseignement de la musique. Elle est ensuite retournée à Vancouver, puis à Victoria, où elle réside actuellement.

The University Women's Club of Ottawa

  • Corporate body
  • 1910-
The University Women's Club of Ottawa was formed on 15 April, 1910. The purpose of the Club was to advance the interests of women and to serve the community in social, educational and cultural areas. The club awarded scholarships to secondary school and university students. It participated in the establishment of the Ottawa Little Theater, The Elizabeth Frye Society of Ottawa and the National School Volunteer Association. The Club presents the view of women on contemporary economic, social and cultural problems. It is affiliated with the Canadian Federation of University Women.
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Le University Women's Club d'Ottawa a été créé le 15 avril 1910. L'objectif du club est de promouvoir les intérêts des femmes et de servir la communauté dans les domaines social, éducatif et culturel. Le club attribue des bourses d'études à des élèves du secondaire et à des étudiants de l'université. Il participe à la création du Ottawa Little Theater, de la Société Elizabeth Frye d'Ottawa et de l'Association nationale des bénévoles des écoles. Le Club présente le point de vue des femmes sur les problèmes économiques, sociaux et culturels contemporains. Il est affilié à la Fédération canadienne des femmes diplômées des universités.

University of Ottawa Library COVID-19 Telling Her-Stories project / Bibliothèque uOttawa projet COVID-19 Elle, ses histories

  • Corporate body
  • 2020-

Telling her-stories in Canada: Documenting COVID-19 in your voice
The University of Ottawa Library is working on a small scale pilot project to build a unique and special collection around your stories and experiences of and during the COVID-19 pandemic as a woman in Canada. The Library is currently home to the Women’s Archives, an invaluable resource for those examining the history of women in Canada. By actively collecting the stories of how the pandemic has impacted you, we can ensure that the historical record of the pandemic will include your stories, voices, and perspectives.

Why is this important?
History has often overlooked the experience of women. Her-stories have been invisible and oftentimes little is known about the true impact of major events on the lives of women (told from their own perspective). The content you share will let us hear your voice and share your experience with others now and in the future. Through your stories, we can understand your successes, struggles, happiness, and disappointments as well as how the COVID-19 pandemic has impacted you, for example, in terms of economics, health, career, unpaid care work, and domestic violence, etc.

Women throughout Canada will be given the opportunity to upload their content to a platform where it will be captured, preserved, and made available to researchers as part of the Women’s Archives collections at the Library’s Archives and Special Collections unit. Traditionally, archives have passively waited for donors to reach out to them with records for donation, however, in this case, we will actively approach the community for contributions and donors will be able to quickly upload their content directly through a specially designed platform. This approach is currently being implemented by GLAMs across Canada and the U.S. who understand the magnitude of the pandemic and the importance of capturing people’s immediate response. Our team has designed the platform using the open-source web publishing system called Omeka. With the help of our supporters and community of users, we will reach out to our target community of women across the country and from all different backgrounds and experiences. Once content has been uploaded to the platform, it will be reviewed, described, processed for preservation, and made available long-term to those interested in the topic. The content will become part of the Library’s Women’s Archives collections and accessible on the Library’s website and archives collection database.
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Elle raconte ses histoires au Canada : Documenter le COVID-19 par votre voix
La bibliothèque de l'Université d'Ottawa travaille sur un projet pilote à petite échelle visant à constituer une collection unique et spéciale autour de vos récits et expériences de la pandémie de COVID-19 en tant que femme au Canada. La bibliothèque abrite actuellement les Archives des femmes, une ressource inestimable pour ceux qui étudient l'histoire des femmes au Canada. En recueillant activement les récits de l'impact de la pandémie sur vous, nous pouvons nous assurer que les archives historiques de la pandémie incluront vos récits, vos voix et vos points de vue.

Pourquoi est-ce important ?
L'histoire a souvent négligé l'expérience des femmes. Leurs histoires ont été invisibles et on sait souvent peu de choses sur l'impact réel des événements majeurs sur la vie des femmes (raconté de leur propre point de vue). Le contenu que vous partagez nous permettra d'entendre votre voix et de partager votre expérience avec d'autres, aujourd'hui et à l'avenir. Grâce à vos récits, nous pourrons comprendre vos succès, vos luttes, vos joies et vos déceptions, ainsi que l'impact de la pandémie de COVID-19 sur vous, par exemple en termes d'économie, de santé, de carrière, de soins non rémunérés, de violence domestique, etc.

Les femmes de tout le Canada auront la possibilité de télécharger leur contenu sur une plateforme où il sera capturé, préservé et mis à la disposition des chercheurs dans le cadre des collections des Archives des femmes de l'unité Archives et collections spéciales de la Bibliothèque. Traditionnellement, les archives attendent passivement que les donateurs les contactent pour leur proposer des documents à donner. Cependant, dans ce cas, nous approcherons activement la communauté pour obtenir des contributions et les donateurs pourront rapidement télécharger leur contenu directement via une plateforme spécialement conçue à cet effet. Cette approche est actuellement mise en œuvre par des GLAM au Canada et aux États-Unis qui comprennent l'ampleur de la pandémie et l'importance de recueillir la réaction immédiate des gens. Notre équipe a conçu la plateforme en utilisant le système de publication web open-source appelé Omeka. Avec l'aide de nos partisans et de notre communauté d'utilisateurs, nous atteindrons notre communauté cible de femmes à travers le pays, de tous les milieux et de toutes les expériences. Une fois le contenu téléchargé sur la plateforme, il sera examiné, décrit, traité en vue de sa préservation et mis à la disposition des personnes intéressées par le sujet sur le long terme. Le contenu fera partie des collections des Archives des femmes de la Bibliothèque et sera accessible sur le site web de la Bibliothèque et dans la base de données des collections d'archives.

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