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Sheehy, Elizabeth

  • Person

Elizabeth Sheehy holds an LL.B., an LL.M., and an LL.D. (Honoris causa). She started teaching at the University of Ottawa in 1984 and has been a Full Professor since 1995. She held the Shirley Greenberg Chair for Women and the Legal Profession from 2013 to 2015 and previously held the Chair when it was first established in 2002-2004. Professor Sheehy has participated in various educational programs for the Canadian Judicial Institute on topics such as sexual assault, wife assault, and women and girls in the justice system. In 1999 she received the Excellence in Teaching Award from the Common Law Students’ Society at the University of Ottawa, Faculty of Law.

She has been a Member of the Law Society of Upper Canada since 1987. She was co-counsel for the Women’s Legal Education and Action Fund (LEAF) in its intervention in R v JA (“advance consent” to sexual assault) (2011 SCC 28).

Professor Sheehy is involved in many other law reform activities around equality rights and social justice issues. In 2009 she convened the first national conference in Canada on sexual assault law, entitled Sexual Assault Law, Practice and Activism in a Post-Jane Doe Era and currently sits on the Advisory Board for Informed Opinions, a national organization dedicated to including women’s expert voices in Canadian public discourse.
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Elizabeth Sheehy est titulaire d'un LL.B., d'un LL.M. et d'un LL.D. (Honoris causa). Elle a commencé à enseigner à l'Université d'Ottawa en 1984 et est professeur titulaire depuis 1995. Elle a été titulaire de la Chaire Shirley Greenberg sur les femmes et la profession juridique de 2013 à 2015 et avait déjà occupé cette chaire lors de sa création en 2002-2004. Le professeur Sheehy a participé à divers programmes éducatifs pour l'Institut canadien de la magistrature sur des sujets tels que l'agression sexuelle, l'agression contre l'épouse et les femmes et les filles dans le système judiciaire. En 1999, elle a reçu le prix d'excellence en enseignement de la Société des étudiants en common law de la Faculté de droit de l'Université d'Ottawa.

Elle est membre du Barreau du Haut-Canada depuis 1987. Elle a été co-avocate du Fonds d'action et d'éducation juridiques pour les femmes (FAEJ) dans son intervention dans l'affaire R. c. JA ("consentement préalable" à une agression sexuelle) (2011 CSC 28).

Le professeur Sheehy est impliqué dans de nombreuses autres activités de réforme du droit concernant les droits à l'égalité et les questions de justice sociale. En 2009, elle a organisé la première conférence nationale au Canada sur le droit des agressions sexuelles, intitulée Sexual Assault Law, Practice and Activism in a Post-Jane Doe Era. Elle siège actuellement au conseil consultatif d'Informed Opinions, une organisation nationale qui se consacre à l'inclusion des voix expertes des femmes dans le discours public canadien.

Canadian Association for Social Work Education

  • Corporate body
  • 1967-
Founded in 1967, the Canadian Association for Social Work Education (CASWE-ACFTS) is a national not-for-profit association with a social justice focus that promotes excellence in social work education, scholarship and practice.
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Fondée en 1967, l'Association canadienne pour la formation en travail social (CASWE-ACFTS) est une association nationale à but non lucratif axée sur la justice sociale qui promeut l'excellence dans la formation, l'étude et la pratique du travail social.

Deschênes, Claire

  • Person
  • 18 avril 1954
Née en 1954 à Grand-Mère (Québec), Claire a fait ses études primaire et secondaire chez les Ursulines (École St-Jean-Baptiste de Grand’Mère et Couvent St-Pierre de Shawinigan), son baccalauréat (diplôme en 1977) et de maîtrise en génie mécanique (diplôme en 1986) à l’Université Laval avant de faire un doctorat nouveau (diplôme en 1990) à l’Institut Polytechnique de Grenoble en génie hydraulique (Labyrinthes dans les turbines Francis). Elle est embauchée à l’Université Laval en 1989 comme professeure assistante en génie mécanique pour remplacer le défunt professeur Herbert Netsch. Après sa soutenance de thèse, elle est promue comme professeure adjointe en 1990. Elle devint professeure agrégée en 1994, puis titulaire en 1998. Claire est actuellement retraitée (27 juin 2019) et a été nommée professeure associée du département de génie mécanique.
Sa carrière de chercheuse et ses réalisations sont divisées en deux grands centres d’intérêt. D’un côté, il y a les études expérimentales et numériques en génie hydraulique, particulièrement dans les turbines, les micro-turbines et les écoulements hydrauliques. Ingénieure prolifique, elle a fait plusieurs réalisations durables. Au début de sa carrière, elle a fondé (1994) le Laboratoire de machines hydrauliques (LAMH) de l’Université Laval, et l’a dirigé jusqu’à sa retraite, où sa succession a été assurées par le professeur Sébastien Houde. Elle a bâti une boucle d’essai de calibre international pour tester les turbines hydrauliques modèles et les micro-turbines. Dans les premières années, de ce laboratoire, les étudiant-e-s, chercheuses et chercheurs y ont réalisée des études de développement en génie hydraulique, en particulier des micro-turbines. En 2007, elle a fondé le Consortium en machines hydrauliques, auquel participent plusieurs multinationales constructrices de turbines hydrauliques de grande taille, des productrices d’électricité, CANMET du gouvernement fédéral et l’Université Laval. Avec le Consortium, elle a mené des projets de recherche d’envergure comme AxialT et BulbT, qui ont menés au développement des connaissances et à la création de bases de données expérimentales sur les turbines.
De l’autre côté, Claire se passionne et milite pour une meilleure représentation des femmes en STIM (sciences, technologies, ingénierie et mathématique). Derrière ce but ultime, elle s’est associée avec de nombreuses institutions pour faire des recherches sur la situation scolaire, la place sociale et l’histoire des femmes canadiennes et québécoises en STIM. Le fonds d’archives est centré sur les principales réalisations concernant ce point d’intérêt.
Titulaire de la Chaire CRSNG/Alcan sur les femmes en sciences et génie au Québec entre 1997 et 2005,
Claire a été cofondatrice d’AFFESTIM en 2002 (Association de la francophonie à propos des femmes en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques), d’INWES en 2002 (International Network for Women in Engineering and Sciences) et d’INWES-ERI en 2008 (Education and Research Institute). C’est justement dans le cadre d’INWES-ERI que Claire a participé au projet de création d’un corpus de fonds d’archives sur les femmes canadiennes en sciences et génie en collaboration avec la bibliothèque de l’Université d’Ottawa ainsi que Bibliothèque et Archives Canada. Ces associations ont réalisé plusieurs projets afin de comprendre les problématiques et la situation des femmes en STIM avant de proposer des solutions pour y remédier, comme OPUS, un centre WEB d’outils pédagogiques pour les professeur-e-s de sciences au secondaire et leurs élèves, afin de favoriser l’apprentissage de la physique du 2e cycle du secondaire au Québec, et F-STIM, un forum et site web destinés aux femmes comprenant de l’informations et des outils de partage sur les programmes scolaires et les carrières en STIM. Excepté INWES, Claire occupe encore des postes administratifs dans ces organisations et fait partie du comité-conseil de l’actuelle Chaire CRSNG pour les femmes en sciences et génie, dirigée par Ève Langelier, professeure à l’Université de Sherbrooke. En plus de la direction de la revue Recherches féministes depuis 2017, elle a occupé des postes-clés au sein de la Chaire Claire-Bonenfant (Femmes, Savoirs et Sociétés), dont la présidence du comité de direction de 2015 à 2019. À l’OIQ (Ordre des Ingénieurs du Québec), elle a participé au comité Femmes en ingénierie, notamment à titre de présidente entre 2002 et 2007. Elle a de plus été membre de nombreux comités et organismes.
Outre ces deux domaines et ses activités d’enseignement et de direction d’étudiant-e-s aux cycles supérieurs, Claire s’est impliquée dans plusieurs dossiers importants, particulièrement le SPPUL (Syndicat des Professeur(eure)s de l’Université Laval), des comités de sélection d’embauche de professeurs ou d’autres professionnels, des comités de programmes universitaires, des comités et la direction du département du génie mécanique, et les ressources pédagogiques pour les étudiants à l’Université Laval.
Tout au long de sa carrière, Claire a reçu de nombreux prix récompensant son travail. Les honneurs les plus marquants incluent l’Ordre du Canada (membre, Juin 2019), deux doctorats honorifiques (Université de Sherbrooke, 2019, et Université d’Ottawa, 2016); le prix Synergie pour l’innovation du CRSNG (2015), le titre de lauréate 2015 Le Soleil / Radio-Canada, catégorie Science et Recherche « Collaborer pour innover » (2015) ; le titre de Fellow d’Ingénieurs Canada (2015); le titre de Femme de réussite Chaudière-Appalaches dans le journal économique de Québec (2004) ; le prix de Femme de mérite de YMCA Québec (1999). (Description d'Étienne Dubé, juillet 2019).
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Born in 1954 in Grand-Mère (Québec), Claire did her primary and secondary education at the Ursulines (École St-Jean-Baptiste de Grand'Mère and Couvent St-Pierre de Shawinigan), her bachelor's degree (diploma in 1977) and her master's degree in mechanical engineering (diploma in 1986) at Laval University before doing a new doctorate (diploma in 1990) at the Institut Polytechnique de Grenoble in hydraulic engineering (Labyrinths in Francis turbines). She was hired at Laval University in 1989 as an assistant professor in mechanical engineering to replace the late Professor Herbert Netsch. After her thesis defense, she was promoted to Assistant Professor in 1990. She became an associate professor in 1994, and then full professor in 1998. Claire is currently retired (June 27, 2019) and has been appointed as an Associate Professor in the Department of Mechanical Engineering.
Her research career and accomplishments are divided into two main areas of interest. On the one hand, there are experimental and numerical studies in hydraulic engineering, particularly in turbines, micro-turbines and hydraulic flows. A prolific engineer, she has made several lasting achievements. Early in her career, she founded (1994) the Laboratoire de machines hydrauliques (LAMH) at Laval University, and directed it until her retirement, when her succession was assured by Professor Sébastien Houde. She built a world-class test loop for testing model hydraulic turbines and micro-turbines. In the early years of this laboratory, students and researchers carried out development studies in hydraulic engineering, in particular micro-turbines. In 2007, she founded the Consortium en machines hydrauliques, in which several multinational manufacturers of large hydraulic turbines, electricity producers, CANMET of the federal government and Laval University participate. With the Consortium, she has led major research projects such as AxialT and BulbT, which have led to the development of knowledge and the creation of experimental databases on turbines.
On the other hand, Claire is passionate about and advocates for a better representation of women in STEM (science, technology, engineering and mathematics). With this ultimate goal in mind, she has partnered with numerous institutions to research the academic status, social place and history of Canadian and Quebec women in STEM. The archive focuses on the main achievements in this area of interest.
Claire held the NSERC/Alcan Chair on Women in Science and Engineering in Quebec from 1997 to 2005,
Claire was co-founder of AFFESTIM in 2002 (Association de la francophonie à propos des femmes en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques), of INWES in 2002 (International Network for Women in Engineering and Sciences) and of INWES-ERI in 2008 (Education and Research Institute). It is precisely within the framework of INWES-ERI that Claire participated in the project to create a corpus of archival fonds on Canadian women in science and engineering in collaboration with the University of Ottawa Library and Library and Archives Canada. These associations have carried out several projects to understand the issues and situation of women in STEM and to propose solutions to address them, such as OPUS, a web-based pedagogical toolkit for high school science teachers and their students to promote the learning of senior high school physics in Quebec, and F-STIM, a forum and website for women that includes information and sharing tools on STEM curricula and careers. Apart from INWES, Claire still holds administrative positions in these organizations and is a member of the advisory committee of the current NSERC Chair for Women in Science and Engineering, headed by Ève Langelier, a professor at the Université de Sherbrooke. In addition to directing the journal Recherches féministes since 2017, she has held key positions within the Claire-Bonenfant Chair (Femmes, Savoirs et Sociétés), including chairing the steering committee from 2015 to 2019. At the OIQ (Ordre des Ingénieurs du Québec), she participated in the Women in Engineering Committee, notably as president between 2002 and 2007. She has also been a member of numerous committees and organizations.
In addition to these two areas and her teaching and graduate student leadership activities, Claire has been involved in several important issues, particularly the SPPUL (Syndicat des Professeur(eure)s de l'Université Laval), selection committees for the hiring of professors and other professionals, university program committees, committees and leadership of the mechanical engineering department, and pedagogical resources for students at Laval University.
Throughout her career, Claire has received numerous awards for her work. Most notable honors include the Order of Canada (Member, June 2019), two honorary doctorates (University of Sherbrooke, 2019, and University of Ottawa, 2016); NSERC Synergy Award for Innovation (2015), 2015 Le Soleil / Radio-Canada Laureate, Science and Research category "Collaborate to Innovate" (2015) ; the title of Fellow of Engineers Canada (2015); the title of Woman of Success Chaudière-Appalaches in the Quebec City economic newspaper (2004); the Woman of Merit award from YMCA Quebec (1999). (Étienne Dubé's description, July 2019).

Spring, Sylvia

  • Person
  • 1942-
Sylvia Spring is born in Galt, Ontario on July 14, 1942. She is a Canadian feminist writer, filmmaker, and activist. She obtained a Bachelor of Arts from the State University of New York at Buffalo in English Literature and Drama. After graduating, she wrote poetry and worked in advertising, journalism, radio, and television. In 1970, she produced Madeleine is…, the first Canadian English-language feature film directed by a woman since Nell Shipman in 1919. A segment of the film was released as a short feature under the name Madeleine and won an award at the Vancouver International Film Festival in 1970.
In 1979, she was appointed to the Task Force on Sex-Role Stereotyping in the Broadcast Media established by the Canadian minister responsible for the status of women. The Task Force was meant to examine the portrayal of women in popular media and developed guidelines for its improvement. Then, Sylvia Spring co-founded MediaWatch Canada, a watchdog organization dedicating to eliminating sexism in the media and became its first National Director. Sylvia Spring has spoken in national and international forums to raise awareness about the representation of women in the media. She has designed and facilitated workshops and lectures for agencies such as the Canadian Human Rights Commission, the Canadian International Development Agency (CIDA), and the United Nations Educational, Social and Cultural Organization (UNESCO). In January 2000, as a communication consultant, she travelled to China with Bonnie Diamond, NAWL’s executive Director, to conduct workshops with grassroots Chinese women on the information dissemination techniques used by women’s group in Canada (Nawl.ca, consulted 2021-06-02).
In 1995, she produced Voices and Visions, a documentary series from the UN World Conference on Women held in Beijing, China. In 1996, she produced the documentary Breaking the Silence: Stories from AIDS Activists in Southern Africa. The documentary tells the stories of women working at the front lines of the AIDS epidemic. In 2000, she produced 20th Century Gals (According to Babe), which explored the women's movement of the 20th century. In 2005, she co-produced Our bodies...their battleground, a documentary about the sexual violence crisis facing women and girls in the Democratic Republic of Congo and Liberia.
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Sylvia Spring est née à Galt, en Ontario, le 14 juillet 1942. Elle est une écrivaine, cinéaste et militante féministe canadienne. Elle obtient une licence de littérature anglaise et de théâtre à l'université d'État de New York à Buffalo. Après avoir obtenu son diplôme, elle écrit de la poésie et travaille dans la publicité, le journalisme, la radio et la télévision. En 1970, elle produit Madeleine is..., le premier long métrage canadien de langue anglaise réalisé par une femme depuis Nell Shipman en 1919. Une partie du film est sortie sous forme de court métrage sous le nom de Madeleine et a remporté un prix au Festival international du film de Vancouver en 1970.
En 1979, elle est nommée membre de la Task Force on Sex-Role Stereotyping in the Broadcast Media mise en place par le ministre canadien responsable de la condition féminine. Ce groupe de travail était chargé d'examiner la représentation des femmes dans les médias populaires et d'élaborer des lignes directrices pour l'améliorer. Sylvia Spring a ensuite cofondé MediaWatch Canada, une organisation de surveillance visant à éliminer le sexisme dans les médias, dont elle est devenue la première directrice nationale. Sylvia Spring est intervenue dans des forums nationaux et internationaux pour sensibiliser à la représentation des femmes dans les médias. Elle a conçu et animé des ateliers et des conférences pour des organismes tels que la Commission canadienne des droits de la personne, l'Agence canadienne de développement international (ACDI) et l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO). En janvier 2000, en tant que consultante en communication, elle s'est rendue en Chine avec Bonnie Diamond, directrice générale de l'ANFD, pour animer des ateliers avec des femmes chinoises de la base sur les techniques de diffusion de l'information utilisées par les groupes de femmes au Canada (Nawl.ca, consulté le 2021-06-02).
En 1995, elle produit Voices and Visions, une série de documentaires sur la Conférence mondiale des Nations Unies sur les femmes qui s'est tenue à Pékin, en Chine. En 1996, elle produit le documentaire Breaking the Silence : Stories from AIDS Activists in Southern Africa. Ce documentaire raconte l'histoire de femmes travaillant en première ligne de l'épidémie de sida. En 2000, elle produit 20th Century Gals (According to Babe), qui explore le mouvement féministe du XXe siècle. En 2005, elle a coproduit Our bodies...their battleground, un documentaire sur la crise de la violence sexuelle à laquelle sont confrontées les femmes et les filles en République démocratique du Congo et au Liberia.

Sand, Cy-Thea

  • Person
"Cy-Thea Sand is a feminist writer and critic. She obtained her BA in English Literature at Concordia University at Montreal, and her MA at the University of Otago at Dunedin in New Zealand. She taught and was involved at the McGill Centre for Research and Teaching on Women (former MCRTW). Then she joined the Women’s and Gender Studies Department at the University of Winnipeg. In the 1980s, she was involved in the development and promotion of Canadian Women’s small press publications. She is co-founding Editor and Publisher of “The Radical Reviewer. She was member of the Editorial Collective “Kinesis”.
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Cy-Thea Sand est une écrivaine et critique féministe. Elle a obtenu un baccalauréat en littérature anglaise à l'Université Concordia de Montréal et une maîtrise à l'Université d'Otago à Dunedin, en Nouvelle-Zélande. Elle a enseigné et s'est impliquée au Centre de recherche et d'enseignement sur les femmes de McGill (anciennement MCRTW). Elle a ensuite rejoint le département d'études sur les femmes et le genre de l'université de Winnipeg. Dans les années 1980, elle a participé au développement et à la promotion des petites publications féminines canadiennes. Elle est cofondatrice et éditrice de "The Radical Reviewer". Elle a été membre du collectif éditorial "Kinesis".

Bishop, Mary

  • Person
Mary Bishop is a retired CPA representative. She lived in Toronto from 1970 to 1984, until she moved to Ottawa. She started attending the theatre on a regular basis in the 70s. During that time, she attended many performances in Toronto, Stratford, Niagara-on-the-Lake, Ottawa, and other locations. She saved most of the programs to the plays she attended. In 2020, she moved in northern Ontario and decided to give her collection to the Archives and special collection.
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Mary Bishop est une représentante de l'ACP à la retraite. Elle a vécu à Toronto de 1970 à 1984, avant de déménager à Ottawa. Elle a commencé à aller régulièrement au théâtre dans les années 70. Pendant cette période, elle a assisté à de nombreuses représentations à Toronto, Stratford, Niagara-on-the-Lake, Ottawa et ailleurs. Elle a conservé la plupart des programmes des pièces auxquelles elle a assisté. En 2020, elle a déménagé dans le nord de l'Ontario et a décidé de donner sa collection aux Archives et collections spéciales.

Kates, Morris

  • Person
  • 1923-2013
Morris Kates was born in Galati, Romania, in 1923. He came to Canada with his parents in 1924 and grew up in Toronto. He began his musical studies with violin lessons at the age of eleven and began composing music at sixteen. He discovered both science and music about the same time in High school. He studied music harmony, counterpoint, and composition as a hobby, along with his studies in science (physics, chemistry, and biochemistry) at the University of Toronto. He received his Ph.D. from the University of Toronto in 1948.
From 1950 until 1968 he worked at the National Research Council of Canada, Ottawa, first as a post-doctoral fellow and then as a research scientist. In 1968, he was appointed Professor of Biochemistry at the University of Ottawa, and in 1989 he retired as Professor Emeritus. He was renowned in the field of biochemistry for his discovery of the isopranyl glycerol diether lipids of Halobacterium and other members of the Halobacteriaceae. Among biochemists, Morris Kates is also best known for his textbook ‘Techniques in Lipidiology’ (1972, revised in 2010). Altogether Morris wrote about 250 scientific papers on lipid biochemistry and lipid metabolism. He received the Excellence in Research Award (1981), the Supelco Award for lipid research from the American Oil Chemist Society (1984) and was nominated as Fellow of the Royal Society of Canada (1973).
Lipid biochemistry was one field in which Morris Kates was famous, music was the second. He published more than 20 compositions that include orchestral works, chamber music, choral works, and more. He showed an interest in his compositions in Impressionism, twelve-tone technique, neoclassicism, and more recently, Renaissance music. His major works are: Variations for Strings (1964), Symphonia for Strings (1967), Sonata for Cello and Piano (1973), Piano Trio “Hommage à Einstein” (1979), Elegiac Variations for Solo ‘Cello (1984), Woodwind Quintet (1988), Sonata for Double Bass and Piano (1989), and Festine Suite (1990). The first two of these compositions won him the CBC (Ottawa) Music Award for 1965 and 1967, respectively. Variations for Strings and Festive Suite have been performed by the University of Ottawa Symphony Orchestra conducted by David Currie. He was an Associate Composer with the Canadian Music Centre and a member of the Canadian League of Composers.

Lakeman, Lee

  • Person
  • 1946-present
Lee Lakeman is a feminist activist, writer, and speaker who fought to end violence against women. Lee has worked with the Canadian Association of Sexual Assault Centers (CASAC) and Vancouver Rape Relief and Women's Shelter since 1977. At CASAC, she was regional representative for BC from 1984-2014 and, in 2003, wrote the report "Canada's Promises to Keep: The Charter and Violence Against Women" as part of a five-year project to unite Canadian feminist anti-violence groups to utilize shared knowledge of crisis work, research, and political activity. Lee authored the book "Obsession with Intent: Violence Against Women" (2005) and numerous articles published in academic and non-academic journals on violence against women and women's rights. In 1995, Lee served as special advisor to Canada's Federal Minister of Justice as part of the Canadian delegation to the Ninth United Nations Conference on Crime Prevention and Treatment of the Offender. In 2013, Lee received an honorary Doctor of Laws degree from the University of British Columbia in recognition of her service to social, economic, and legal equality for women.
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Lee Lakeman est une militante féministe, une écrivaine et une conférencière qui s'est battue pour mettre fin à la violence contre les femmes. Lee travaille avec l'Association canadienne des centres d'agression sexuelle (CASAC) et le Vancouver Rape Relief and Women's Shelter depuis 1977. Au sein de la CASAC, elle a été représentante régionale pour la Colombie-Britannique de 1984 à 2014 et, en 2003, elle a rédigé le rapport "Canada's Promises to Keep : The Charter and Violence Against Women" dans le cadre d'un projet quinquennal visant à unir les groupes féministes canadiens de lutte contre la violence afin d'utiliser les connaissances communes en matière de travail de crise, de recherche et d'activité politique. Lee est l'auteur du livre "Obsession with Intent : Violence Against Women" (2005) et de nombreux articles publiés dans des revues universitaires et non universitaires sur la violence contre les femmes et les droits des femmes. En 1995, Lee a été conseillère spéciale du ministre fédéral de la justice du Canada au sein de la délégation canadienne à la neuvième Conférence des Nations unies sur la prévention du crime et le traitement des délinquants. En 2013, Lee a reçu un doctorat honorifique en droit de l'Université de la Colombie-Britannique en reconnaissance de son action en faveur de l'égalité sociale, économique et juridique des femmes.

Greenberg, Shirley E.

  • Person
  • 1931-2022

Shirley Elizabeth (E.) Greenberg (née Schnell) was born to George Schnell and Elizabeth Bertha Schnell in 1931, in Ottawa, Ontario. In 1959 she was married to Irving Greenberg (1928-1991); she had three children.

Throughout her law studies and professional practice, Shirley E. Greenberg worked for women’s legal equality through advocacy, philanthropy and education.

In the early 1970s, Greenberg was inspired by second-wave feminism to pursue a law degree with the University of Ottawa. She attended law school as a mature, married student and as a mother of three. From March 14-16, 1974, she attended the founding conference of the National Association of Women and the Law (NAWL).

Working with the University of Ottawa’s NAWL chapter, Shirley E. Greenberg helped administer the organization’s 1975 summer project, delivering programs that raised awareness of the impact of legal inequities on women’s lives.

She also conducted research and wrote extensively about legal topics affecting women, such as child custody, family law, pensions, and unemployment insurance. She wrote for such feminist publications as “Upstream.”

Shirley E. Greenberg helped found the Ottawa Women’s Centre Association—a vital resource for community women. She also volunteered with Ottawa’s Rape Crisis Centre and Interval House.

After graduating from law school in 1976, Shirley E. Greenberg co-founded Ottawa’s first all-female law practice, in 1978. The law practice hosted women articling students, helping women establish law careers in male-dominated spaces. She was awarded an honourary doctorate from the University of Ottawa in 2003.

Shirley E. Greenberg also became a noted philanthropist. In 2005, she endowed the Shirley E. Greenberg Chair for Women and the Legal Profession in the Common Law Section of the Faculty of Law, designated for feminist law faculty members. She established the Shirley E. Greenberg Women's Health Centre at the Ottawa Hospital’s Riverside campus, in 2005. In 2013 she funded the Shirley E. Greenberg Breast Cancer Imaging Suite at the Queensway Carleton Hospital. She also established the Shirley E. Greenberg Resource Centre for Women at the Royal Ottawa Mental Health Centre.

In 2014, Shirley E. Greenberg was awarded the Outstanding Individual Philanthropist honour by the Association of Fundraising Professionals (AFP), in 2014. She was appointed to the Order of Canada in 2009 and awarded the Queen Elizabeth II Diamond Jubilee Medal, in 2012.

Shirley E. Greenberg died in 2022.
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Shirley Elizabeth (E.) Greenberg (née Schnell) est née de George Schnell et Elizabeth Bertha Schnell en 1931, à Ottawa, Ontario. En 1959, elle épouse Irving Greenberg (1928-1991) ; elle a trois enfants.

Tout au long de ses études de droit et de sa pratique professionnelle, Shirley E. Greenberg a œuvré en faveur de l'égalité juridique des femmes par le biais de la défense des droits, de la philanthropie et de l'éducation.

Au début des années 1970, Mme Greenberg a été inspirée par le féminisme de la deuxième vague et a décidé de poursuivre des études de droit à l'Université d'Ottawa. Elle a suivi les cours de la faculté de droit en tant qu'étudiante mûre, mariée et mère de trois enfants. Du 14 au 16 mars 1974, elle assiste à la conférence fondatrice de l'Association nationale de la femme et du droit (ANFD).

En collaboration avec la section de l'ANFD de l'Université d'Ottawa, Shirley E. Greenberg a participé à l'administration du projet d'été 1975 de l'organisation, en proposant des programmes de sensibilisation à l'impact des inégalités juridiques sur la vie des femmes.

Elle a également mené des recherches et écrit de nombreux articles sur des sujets juridiques touchant les femmes, tels que la garde des enfants, le droit de la famille, les pensions et l'assurance chômage. Elle a écrit pour des publications féministes telles que "Upstream".

Shirley E. Greenberg a participé à la fondation de l'Association du Centre des femmes d'Ottawa, une ressource vitale pour les femmes de la communauté. Elle a également été bénévole au Centre d'aide aux victimes de viols d'Ottawa et à Interval House.

Après avoir obtenu son diplôme de droit en 1976, Shirley E. Greenberg a cofondé en 1978 le premier cabinet d'avocats entièrement féminin d'Ottawa. Le cabinet accueille des femmes stagiaires, aidant ainsi les femmes à faire carrière dans le domaine du droit dans des espaces dominés par les hommes. Elle a reçu un doctorat honorifique de l'Université d'Ottawa en 2003.

Shirley E. Greenberg est également devenue une philanthrope reconnue. En 2005, elle a créé la Chaire Shirley E. Greenberg pour les femmes et la profession juridique au sein de la Section de common law de la Faculté de droit, destinée aux membres féministes de la faculté de droit. En 2005, elle a créé le Centre de santé des femmes Shirley E. Greenberg au campus Riverside de l'Hôpital d'Ottawa. En 2013, elle a financé le Shirley E. Greenberg Breast Cancer Imaging Suite à l'hôpital Queensway Carleton. Elle a également créé le Centre de ressources Shirley E. Greenberg pour les femmes au Centre de santé mentale Royal Ottawa.

En 2014, l'Association of Fundraising Professionals (AFP) a décerné à Shirley E. Greenberg le prix Outstanding Individual Philanthropist. Elle a été nommée membre de l'Ordre du Canada en 2009 et a reçu la Médaille du jubilé de diamant de la Reine Elizabeth II en 2012.

Shirley E. Greenberg est décédée en 2022.

Glover, Maxine

  • Person
  • 1950-

Maxine Sylvia (born Haugen) Glover worked in communications specializing in forestry, fisheries, and wildlife in British Columbia. She was born on September 8th, 1950, in Moose Jaw, Saskatchewan. In 1970, Maxine was the first and only woman to graduate with a Diploma of Technology from the Fish, Wildlife, and Parks Management Option of the Forest Resource Technology Program at the British Columbia Institute of Technology (BCIT) in Burnaby, BC.

Maxine began her career as an Information Technician for the Government of Canada Fisheries and Marine Services in Vancouver from 1970-1977; then worked as Publications Editor for the BC Central One Credit Union from 1977-1978.

In 1979, she was a freelance writer and consultant and went on to found and be president of her own company, Glover Business Communications Ltd. The company had seven full-time staff by 1986, and clients were federal and provincial government departments; forest, transportation, manufacturing, and construction companies; an international commission; a federally funded public group; financial institutions; and a private foundation. The company dissolved in 1989.

Projects include work on the province-wide Public Awareness Program for the Salmonid Enhancement Program (SEP), 1979 – 1989, providing secretariat services for the Salmonid Enhancement Task Group and Board.

During her sabbatical, 1986-1989, Maxine researched, wrote, and supervised the design and production of three 1987 – 1989 annual reports for International Forest Products Limited; edited the first annual report in 1988 on the implementation of the federal and provincial governments’ agreement with Alcan Aluminium regarding the Nechako River. From 1989-1995, Maxine was Editor for the Certified General Accountants Association of Canada and worked as a freelance business editor and writer from 1995-2000.

Maxine worked on the province-wide Public Awareness Program for the Salmonid Enhancement Program (SEP), 1979 – 1989. She provided secretariat services for the Salmonid Enhancement Task Group, a province-wide body formed to provide public input into the SEP, and to the Salmonid Enhancement Board, a high-level board of industry and First Nations representatives, which provided some direction to the SEP.

Professional and business activities include being a member of the Editors’ Association of Canada (EAC), teaching marketing and business development workshops, and writing articles for the association’s newsletters; being a member of The Logan Lake Chamber of Commerce and serving as secretary in 1997/98.

Maxine received several communications awards from the BC Chapter of the International Association of Business Communicators; edited scholarly works in the field of accounting and many other books and courses in auditing, accounting, ethics, and financial and strategic management.
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Maxine Sylvia (née Haugen) Glover a travaillé dans le domaine de la communication, spécialisée dans la sylviculture, la pêche et la faune sauvage en Colombie-Britannique. Elle est née le 8 septembre 1950 à Moose Jaw, en Saskatchewan. En 1970, Maxine a été la première et la seule femme à obtenir un diplôme de technologie dans le cadre de l'option "gestion des poissons, de la faune et des parcs" du programme de technologie des ressources forestières du British Columbia Institute of Technology (BCIT) à Burnaby, en Colombie-Britannique.

Maxine a commencé sa carrière en tant que technicienne de l'information pour le Service des pêches et de la marine du gouvernement du Canada à Vancouver de 1970 à 1977 ; elle a ensuite travaillé comme rédactrice en chef des publications pour la BC Central One Credit Union de 1977 à 1978.

En 1979, elle est rédactrice et consultante indépendante, puis fonde et préside sa propre entreprise, Glover Business Communications Ltd. En 1986, l'entreprise comptait sept employés à temps plein et ses clients étaient des ministères fédéraux et provinciaux, des entreprises forestières, de transport, de fabrication et de construction, une commission internationale, un groupe public financé par le gouvernement fédéral, des institutions financières et une fondation privée. La société a été dissoute en 1989.

Les projets comprennent le travail sur le programme de sensibilisation du public à l'échelle de la province pour le Programme de mise en valeur des salmonidés (PMVS), de 1979 à 1989, fournissant des services de secrétariat pour le groupe de travail et le conseil de mise en valeur des salmonidés.

Pendant son congé sabbatique, de 1986 à 1989, Maxine a effectué des recherches, rédigé et supervisé la conception et la production de trois rapports annuels de 1987 à 1989 pour International Forest Products Limited ; elle a édité le premier rapport annuel de 1988 sur la mise en œuvre de l'accord conclu entre les gouvernements fédéral et provincial et Alcan Aluminium au sujet de la rivière Nechako. De 1989 à 1995, Maxine a été rédactrice pour l'Association des comptables généraux accrédités du Canada et a travaillé comme rédactrice et écrivaine indépendante dans le domaine des affaires de 1995 à 2000.

Maxine a travaillé sur le programme de sensibilisation du public à l'échelle de la province pour le Programme de mise en valeur des salmonidés (PMVS), de 1979 à 1989. Elle a fourni des services de secrétariat au Salmonid Enhancement Task Group, un organisme provincial chargé de recueillir l'avis du public sur le PMVS, ainsi qu'au Salmonid Enhancement Board, un conseil de haut niveau composé de représentants de l'industrie et des Premières nations, qui a donné une certaine orientation au PMVS.

Dans le cadre de ses activités professionnelles et commerciales, Maxine est membre de l'Editors' Association of Canada (EAC), où elle donne des ateliers sur le marketing et le développement des affaires et rédige des articles pour les bulletins d'information de l'association ; elle est également membre de la Chambre de commerce de Logan Lake, dont elle a été la secrétaire en 1997-1998.

Maxine a reçu plusieurs prix de communication de la part de la section de la Colombie-Britannique de l'International Association of Business Communicators ; elle a édité des ouvrages savants dans le domaine de la comptabilité et de nombreux autres livres et cours sur l'audit, la comptabilité, l'éthique et la gestion financière et stratégique.

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