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Redlight Theatre

  • Corporate body
  • 1974-1977

The Redlight Theatre was Toronto’s first professional feminist theatre company, operating from 1974 to 1977. Diane Grant, Marcella Lustig, and Francine Volker, who were actors and playwrights in Toronto’s alternative theatre scene, founded Redlight Theatre to give women artistic, technical and administrative opportunities in theatre. Grant, Lustig, and Volker served as Co-Artistic Directors and the theatre was run by a combination of hired staff and volunteers.

The Redlight Theatre mounted a wide range of productions addressing feminist topics such as the women’s history, gender stereotyping, and abortion. It produced original plays and commissioned work from playwrights such as Carol Bold and Margaret Hollingsworth. The Redlight Theatre’s most acclaimed production was What Glorious Times We Had written by Diane Grant, which told the story of Nellie McClung and the suffrage movement in Manitoba. What Glorious Times We Had premiered in 1974 and toured Canada for International Women’s Year in 1975. Other notable productions include Entrances (1974) written by Marcella Lustig and Francine Volker, Strange Games (1975) by Elinore Siminovitch, and Queen of the Silver Blades (1976) by Susan Swan and Margaret Dragu. The Redlight Theatre also sponsored Cleo Laine’s first concert in Canada.

In 1975, Redlight Theatre created the Playwrights Workshop to encourage women to develop professional skills in writing for the theatre. Plays that emerged from this workshop include Inside Looking In by Joann MacIntyre, Lies My Mother Told Me by Gay Claitman and Nancy White, and 10,000 Hellcats in Deepfreeze by Suzette Couture, Marcella Lustig, and Jacqueline Swartz.

Established with a grant from the Local Initiatives Program, the Redlight Theatre also received funding from The Secretary of State, the Canada Council, and the City of Toronto. The theatre never acquired sufficient funds to secure a permanent location so productions were staged in various venues, including the Matador Club, the Bathurst Street United Church, the Enoch Turner Schoolhouse, and St. Paul’s Centre. After three seasons, the Redlight Theatre closed due to lack of funding in 1977.
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Le Redlight Theatre a été la première compagnie théâtrale professionnelle féministe de Toronto, qui a fonctionné de 1974 à 1977. Diane Grant, Marcella Lustig et Francine Volker, actrices et dramaturges de la scène théâtrale alternative de Toronto, fondent le Redlight Theatre pour offrir aux femmes des possibilités artistiques, techniques et administratives dans le domaine du théâtre. Grant, Lustig et Volker sont codirectrices artistiques et le théâtre est géré par une combinaison d'employés et de bénévoles.

Le Redlight Theatre a monté un large éventail de productions abordant des sujets féministes tels que l'histoire des femmes, les stéréotypes de genre et l'avortement. Il a produit des pièces originales et commandé des œuvres à des dramaturges tels que Carol Bold et Margaret Hollingsworth. La production la plus acclamée du Redlight Theatre est What Glorious Times We Had, écrite par Diane Grant, qui raconte l'histoire de Nellie McClung et du mouvement pour le suffrage au Manitoba. What Glorious Times We Had a été créée en 1974 et a fait l'objet d'une tournée au Canada à l'occasion de l'Année internationale de la femme en 1975. Parmi les autres productions notables, citons Entrances (1974) de Marcella Lustig et Francine Volker, Strange Games (1975) d'Elinore Siminovitch, et Queen of the Silver Blades (1976) de Susan Swan et Margaret Dragu. Le Redlight Theatre a également parrainé le premier concert de Cleo Laine au Canada.

En 1975, le Redlight Theatre crée le Playwrights Workshop afin d'encourager les femmes à développer des compétences professionnelles en écriture théâtrale. Parmi les pièces issues de cet atelier, citons Inside Looking In de Joann MacIntyre, Lies My Mother Told Me de Gay Claitman et Nancy White, et 10 000 Hellcats in Deepfreeze de Suzette Couture, Marcella Lustig et Jacqueline Swartz.

Créé grâce à une subvention du Programme d'initiatives locales, le Redlight Theatre a également reçu des fonds du Secrétariat d'État, du Conseil des Arts du Canada et de la ville de Toronto. Le théâtre n'a jamais obtenu suffisamment de fonds pour obtenir un emplacement permanent. Les productions ont donc été montées dans divers endroits, notamment au Matador Club, à l'église unie de Bathurst Street, à l'Enoch Turner Schoolhouse et au St. Après trois saisons, le Redlight Theatre ferme ses portes en 1977, faute de financement.

Durham International Women’s Day Committee

  • Corporate body
The Durham International Women’s Day Committee represents the communities of Oshawa, Whitby, Newcastle, Ajax, Pickering and Port Perry, Ontario. They are responsible for organizing events for International Women's Day in the region.
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Le comité de la Journée internationale de la femme de Durham représente les communautés d'Oshawa, Whitby, Newcastle, Ajax, Pickering et Port Perry, en Ontario. Il est chargé d'organiser des événements pour la Journée internationale de la femme dans la région.

Canadian Advisory Council on the Status of Women

  • Corporate body
  • 1973-1995

The Canadian Advisory Council on the Status of Women (CACSW) was established by the federal government of Canada on the recommendation of the Royal Commission on the Status of Women (RCSW) in 1973. The primary purpose of its creation was to educate the public and make an impact on the issues and concerns facing Canadian women, including: access to employment in male dominated professions, equal pay, female reproduction rights, child care, representation in government, constitutional reform, health care, sexual assault, violence against women, and more.

The CACSW was comprised of one president, two vice presidents, fifteen regionally representative members working part-time, and approximately thirty office staff members. After years of providing publications on women's research and helping to reform the constitution, the CACSW was eventually dismantled on April 1, 1995.
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Le Conseil consultatif canadien sur le statut de la femme (CCCSF) a été créé par le gouvernement fédéral du Canada sur recommandation de la Commission royale d'enquête sur le statut de la femme (CRESF) en 1973. Le but premier de sa création était d'éduquer le public et d'avoir un impact sur les questions et les préoccupations des femmes canadiennes, notamment : l'accès à l'emploi dans les professions dominées par les hommes, l'égalité des salaires, les droits de reproduction des femmes, la garde des enfants, la représentation au gouvernement, la réforme constitutionnelle, les soins de santé, les agressions sexuelles, la violence à l'égard des femmes, et plus encore.

Le CACSW était composé d'un président, de deux vice-présidents, de quinze membres représentant les régions et travaillant à temps partiel, et d'environ trente membres du personnel de bureau. Après des années de publications sur la recherche sur les femmes et d'aide à la réforme de la constitution, le CACSW a finalement été démantelé le 1er avril 1995.

Feminist Party of Canada

  • Corporate body
  • 1979-1982

The Feminist Party of Canada (FPC) developed during the feminist movement in response to a lack of representation of women in government and to the many injustices women and minorities continued to face. The party began on June 10, 1979 at an event held by a number of feminists at the Ontario Institute for the Study of Education (OISE), which attracted over 600 people. The event included readings and songs, as well as speeches delivered by Marg Evans, Angela Miles, Mary O'Brien and Laura Sabia.

The primary objective of the FPC was to have an impact on the political system by providing a feminist perspective, and in turn, tackle many of the neglected issues concerning women. The party quickly received attention from the media and was very active while it existed—holding events, sending out newsletters and flyers, communicating with politicians and fighting for official party status. Though the Feminist Party of Canada never became an official party, ending only three years after it began, the party influenced many women to become politically active and brought attention to numerous social, economic, political and educational issues affecting not only women, but all of society.
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Le Parti féministe du Canada (FPC) s'est développé au cours du mouvement féministe en réponse au manque de représentation des femmes au sein du gouvernement et aux nombreuses injustices auxquelles les femmes et les minorités continuent de faire face. Le parti a vu le jour le 10 juin 1979 lors d'une manifestation organisée par un certain nombre de féministes à l'Institut d'études pédagogiques de l'Ontario (OISE), qui a attiré plus de 600 personnes. L'événement comprenait des lectures et des chansons, ainsi que des discours prononcés par Marg Evans, Angela Miles, Mary O'Brien et Laura Sabia.

L'objectif premier du FPC était d'avoir un impact sur le système politique en apportant une perspective féministe et, par là même, de s'attaquer à de nombreuses questions négligées concernant les femmes. Le parti a rapidement attiré l'attention des médias et a été très actif pendant son existence : il a organisé des événements, envoyé des bulletins et des dépliants, communiqué avec les politiciens et lutté pour obtenir le statut de parti officiel. Bien que le Parti féministe du Canada ne soit jamais devenu un parti officiel et qu'il ait pris fin trois ans seulement après sa création, il a incité de nombreuses femmes à devenir politiquement actives et a attiré l'attention sur de nombreux problèmes sociaux, économiques, politiques et éducatifs qui touchent non seulement les femmes, mais aussi l'ensemble de la société.

Ontario Women's Action Coalition / Coalition des femmes de L'Ontario

  • Corporate body
  • 1990-1995
The Ontario Women's Action Coalition / Coalition des femmes de l'Ontario (OWAC) was founded in 1990 as an attempt to support provincial organizing and mobilization of women in Ontario. Operating alongside the National Action Committee on the Status of Women (NAC), OWAC sought to provide women's groups and women's committees in Ontario with a forum for communication, outreach, and policy development. The coalition faced many challenges, most of which were related to a lack of funding. Their establishment corresponded with a period of austerity and the end of numerous funding programs coordinated by Status of Women Canada. As their archival records demonstrate, OWAC members were primarily concerned with health care, welfare and other social programs, employment equity, violence against women, constitutional reform, and community economic development initiatives. Significantly, OWAC sought to address the equality of women in general rather than focus on a single issue. In the short time that OWAC existed, their most ambitious project was a consultation which focused on providing women across Ontario with a forum for influencing amendments to the Canadian constitution, a topic of debate at the time due to the attempted Meech Lake Accord (1987) and Charlottetown Accord (1992).
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La Coalition des femmes de l'Ontario / Ontario Women's Action Coalition (OWAC) a été fondée en 1990 dans le but de soutenir l'organisation et la mobilisation des femmes de l'Ontario à l'échelle provinciale. Fonctionnant parallèlement au Comité national d'action sur le statut de la femme (CNA), l'OWAC a cherché à fournir aux groupes de femmes et aux comités de femmes de l'Ontario un forum pour la communication, la sensibilisation et l'élaboration de politiques. La coalition a dû faire face à de nombreux défis, dont la plupart étaient liés à un manque de financement. Sa création a correspondu à une période d'austérité et à la fin de nombreux programmes de financement coordonnés par Condition féminine Canada. Comme le montrent les archives, les membres de l'OWAC étaient principalement préoccupés par les soins de santé, l'aide sociale et d'autres programmes sociaux, l'équité en matière d'emploi, la violence contre les femmes, la réforme constitutionnelle et les initiatives de développement économique communautaire. Il est significatif que l'AFAC ait cherché à traiter de l'égalité des femmes en général plutôt que de se concentrer sur une seule question. Pendant la courte période d'existence de l'AFAC, son projet le plus ambitieux a été une consultation visant à fournir aux femmes de l'Ontario un forum pour influencer les amendements à la constitution canadienne, un sujet de débat à l'époque en raison des tentatives d'Accord du lac Meech (1987) et de l'Accord de Charlottetown (1992).

Advocates for Community-based Training and Education for Women (ACTEW)

  • Corporate body
  • 1988-2008
ACTEW, originally Advocates for Community-based Training and Education for Women, was a provincial membership organization for programs that provided community training to women. It began in 1988 as an outgrowth of another provincial umbrella group, ONESTEP, Ontario Network of Skills Training and Employment Programs. The women's organizations belonging to ONESTEP decided they needed a more women-centered, feminist organization to represent their specific needs. ACTEW changed its name in 2004 to A Women's Training Community. Over the years that ACTEW existed the organization published many reports, briefs and responses to government initiatives including: Access Diminished: A report on women's training and employment services in Ontario (2001); Challenges and Connections: Meeting the Information Needs of Professionals Working with Immigrant Women (2001), Operation Access (1989), Choosing Training, Shortcuts to Career Development Resources for Girls and Women. The group dissolved in 2008 due to lack of funding.
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ACTEW, à l'origine Advocates for Community-based Training and Education for Women, était une organisation provinciale regroupant des programmes de formation communautaire pour les femmes. Elle est née en 1988 d'un autre groupe provincial, l'ONESTEP (Ontario Network of Skills Training and Employment Programs). Les organisations de femmes membres de l'ONESTEP ont décidé qu'elles avaient besoin d'une organisation féministe plus centrée sur les femmes pour représenter leurs besoins spécifiques. ACTEW a changé de nom en 2004 pour devenir A Women's Training Community. Au cours des années d'existence d'ACTEW, l'organisation a publié de nombreux rapports, mémoires et réponses aux initiatives gouvernementales, notamment Access Diminished : Un rapport sur les services de formation et d'emploi des femmes en Ontario (2001) ; Challenges and Connections : Meeting the Information Needs of Professionals Working with Immigrant Women (2001), Operation Access (1989), Choosing Training, Shortcuts to Career Development Resources for Girls and Women. Le groupe a été dissous en 2008 en raison d'un manque de financement.

Ottawa Rape Crisis Centre

  • Corporate body
  • 1974-

In 1974, three women (Rosemary Billings, Gaby Van Heusen and Diane Williams) originally active in the Ottawa Women’s Centre had the idea of starting a crisis centre for victims of rape and sexual assault in the Ottawa-Hull area. A grant was secured to support the project, and on December 15th, 1974, the centre officially opened. The original goals of the Ottawa Rape Crisis Centre were to 1) provide direct assistance to rape victims through a volunteer-operated crisis phone line, casework and accompaniment services, and group counselling 2) to educate the public toward a change in attitude and treatment of the issue of rape. Representatives of the centre spoke to high schools and other organizations to raise awareness as well as liaising with police stations and hospitals with the aim of working together to help victims of rape.

In 1976, the Ottawa Rape Crisis Centre was comprised of four full-time staff and 40 volunteers. A board of directors made up of community members was established in early 1976 to provide support for a Demonstration Project grant submission to the Federal Government Health & Welfare department. Conflicts between the board and certain staff members ensued in 1976 and 1977 which threatened the success of the centre; internal conflicts occurred again in 1982. The Ottawa Rape Crisis Centre continues to operate in 2019 and has expanded to include three full time and eight part-time staff members, project staff, and approximately 50 volunteers who respond to the crisis line, provide education outreach, and sit on the board.
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En 1974, trois femmes (Rosemary Billings, Gaby Van Heusen et Diane Williams), actives à l'origine au Centre des femmes d'Ottawa, ont eu l'idée de créer un centre de crise pour les victimes de viols et d'agressions sexuelles dans la région d'Ottawa-Hull. Une subvention a été obtenue pour soutenir le projet et le 15 décembre 1974, le centre a officiellement ouvert ses portes. Les objectifs initiaux du Centre d'aide aux victimes de viol d'Ottawa étaient 1) de fournir une aide directe aux victimes de viol par le biais d'une ligne téléphonique d'urgence gérée par des bénévoles, de services d'accompagnement et de conseils de groupe 2) d'éduquer le public en vue d'un changement d'attitude et de traitement de la question du viol. Des représentants du centre se sont adressés à des écoles secondaires et à d'autres organisations pour les sensibiliser à la question. Ils ont également assuré la liaison avec les commissariats de police et les hôpitaux dans le but de travailler ensemble pour aider les victimes de viol.

En 1976, le Centre d'aide aux victimes de viol d'Ottawa comptait quatre employés à temps plein et 40 bénévoles. Un conseil d'administration composé de membres de la communauté a été mis en place au début de l'année 1976 afin de soutenir la demande de subvention d'un projet de démonstration auprès du ministère de la Santé et du Bien-être social du gouvernement fédéral. Des conflits entre le conseil d'administration et certains membres du personnel ont eu lieu en 1976 et 1977 et ont menacé le succès du centre ; des conflits internes se sont à nouveau produits en 1982. Le Centre d'aide aux victimes de viol d'Ottawa poursuit ses activités en 2019 et s'est agrandi pour inclure trois membres du personnel à temps plein et huit membres du personnel à temps partiel, le personnel du projet et environ 50 bénévoles qui répondent à la ligne d'écoute téléphonique, assurent la sensibilisation et siègent au conseil d'administration.

Serena

  • Corporate body
  • 1955-
Serena was founded in 1955 by Gilles and Rita Henry-Breault, residents of Lachine, Québec, a couple who used the sympto-thermal method to manage their fertility. They soon realized that couples in their community wished to acquire this knowledge.
In 1962, the first team named Serena was organized. This organization expanded in Québec in the 1960s. This expansion was soon followed during the 1970s and 1980s by the remaining Canadian province, including Alberta, British Columbia, New Brunswick, Nova Scotia, Ontario, Québec and Saskatchewan, thanks to Health Canada's funding.
In the 1990s, Health Canada discontinued its funding of Serena's activities. Serena is now a registered charity enabling couples to manage their fertility in a natural and effective manner based on knowledge and understanding of women's cycles. Serena is also dedicated to staying at the forefront of the scientific development to better understand women's cycles and to improve the sympto-thermal method.
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Seréna vit le jour à Lachine au Québec grâce à Rita Henry-Breault et Gilles Breault, un couple ayant découvert la méthode sympto-thermique pour gérer leur fertilité. Rita Henry-Breault et Gilles Breault voulurent partager leurs connaissances avec d'autres couples et mirent sur pied leur première équipe, nommée Seréna, en 1962. Les enseignements de Seréna se répandirent tout d'abord au Québec dans les années 1960. Grâceà une subvention de Santé et bien-être Canada, cette expansion fut suivie par le reste des provinces canadiennes dont l'Alberta, la Colombie-Britannique, le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, l'Ontario, le Québec et Saskatchewan.
Les années 1990 furent marquées par les coupures de subventions de Santé et bien-être Canada. Maintenant, Seréna est un organisme à but non lucratif aidant aux couples à gérer leur fertilité naturellement grâce à une meilleure connaissance du cycle féminin. Seréna tient à rester à l'avant-garde de la planification naturelle des naissance et à l'amélioration de la méthode sympto-thermique.

Voice of Women

  • Corporate body
  • 1960-

Voice of Women began in 1960 when women across Canada were alarmed about the threat of nuclear war and how nuclear testing was endangering their children’s lives. Lotta Dempsey wrote columns in the Toronto Star asking women to write to her if they were willing to “do something” about this imminent danger. Hundreds replied. Four women, Jo Davis, Dorothy Henderson, Helen Tucker and Beth Touzel met with Lotta Dempsey and shortly thereafter “The Voice of Women” was established. Within months, thousands of women joined VOW that began to receive newsletters urging women to form small local groups to keep in touch with one another and to encourage all their female friends to join and unite for world peace.

Canadian Voice of Women for Peace (VOW) is a non-partisan Non-Governmental Organization (NGO) comprised of a network of diverse women with consultative status at the United Nations ECOSOC. For 55 years, VOW has tirelessly advocated for a world without war. An accredited NGO to the United Nations, affiliated to the Department of Public Information (DPI) and the Economic and Social Council (ECOSOC), VOW was the Canadian lead group for peace at the Fourth World Conference on Women in Beijing. Members have been active in follow-up activities, including writing the chapter,”Women and Peace” in Take Action for Equality, Development and Peace.

They continue to exist today as part of a growing and select number of NGOs that provide women the opportunity to appeal to national government and international diplomats, attend conferences at the United Nations including the UN Commission on the Status of Women, and to write and present briefs and statements to political heads of state and nations worldwide on women and peace issues. They respond to calls for guidance and research on peace and women’s issues locally, nationally, and internationally. VOW is a non-partisan, non-religious organization that values women in all their diversities.
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Voice of Women a vu le jour en 1960, lorsque des femmes de tout le Canada ont été alarmées par la menace d'une guerre nucléaire et par le fait que les essais nucléaires mettaient en danger la vie de leurs enfants. Lotta Dempsey a publié des articles dans le Toronto Star, demandant aux femmes de lui écrire si elles étaient prêtes à "faire quelque chose" pour contrer ce danger imminent. Des centaines de femmes ont répondu. Quatre femmes, Jo Davis, Dorothy Henderson, Helen Tucker et Beth Touzel, rencontrent Lotta Dempsey et, peu après, "The Voice of Women" est créée. En l'espace de quelques mois, des milliers de femmes ont adhéré à la VOW et ont commencé à recevoir des bulletins d'information invitant les femmes à former de petits groupes locaux afin de rester en contact les unes avec les autres et d'encourager toutes leurs amies à se joindre à elles et à s'unir pour la paix dans le monde.

La Voix canadienne des femmes pour la paix (VOW) est une organisation non gouvernementale (ONG) non partisane composée d'un réseau de femmes diverses bénéficiant d'un statut consultatif auprès de l'ECOSOC des Nations unies. Depuis 55 ans, VOW milite inlassablement pour un monde sans guerre. ONG accréditée auprès des Nations unies, affiliée au Département de l'information publique (DPI) et au Conseil économique et social (ECOSOC), VOW a été le groupe canadien chef de file pour la paix lors de la quatrième conférence mondiale sur les femmes à Pékin. Ses membres ont participé activement aux activités de suivi, notamment en rédigeant le chapitre "Les femmes et la paix" de l'ouvrage Agir pour l'égalité, le développement et la paix.

Elles continuent d'exister aujourd'hui et font partie d'un nombre croissant et restreint d'ONG qui offrent aux femmes la possibilité de s'adresser aux gouvernements nationaux et aux diplomates internationaux, d'assister à des conférences aux Nations unies, notamment à la Commission des Nations unies sur le statut des femmes, et de rédiger et de présenter des mémoires et des déclarations aux chefs d'État et aux nations du monde entier sur les questions relatives aux femmes et à la paix. Elles répondent aux demandes d'orientation et de recherche sur les questions relatives à la paix et aux femmes aux niveaux local, national et international. VOW est une organisation non partisane et non religieuse qui valorise les femmes dans toute leur diversité.

Wall, Lynn

  • Person
Lynn Wall worked as a professor for the Introduction to Non-Traditional Occupations program (I.N.T.O.) at Algonquin College in Ottawa, ON, and participated on a number of local labour boards and advisory groups throughout the 1980s and 1990s. In addition to her work at Algonquin College, Wall was involved with the following boards and groups : The Women's Advisory group to the Ottawa-Carleton Training Board ; The Ontario Committee on Trades, Technology, and Operations Occupations for Women ; The Ontario Women's Action on Training Coalition ; The Ontario Committee on Non-Traditional Occupations for Women ; The Ottawa Area Women's Training and Education Group ; and The Local Training and Adjustment Board Women's Advisory Group.
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Lynn Wall a enseigné le programme d'introduction aux professions non traditionnelles (I.N.T.O.) au Collège Algonquin d'Ottawa, en Ontario, et a participé à un certain nombre de commissions locales du travail et de groupes consultatifs au cours des années 1980 et 1990. Outre son travail au Collège Algonquin, Mme Wall a participé aux conseils et groupes suivants : le groupe consultatif des femmes de la Commission de formation d'Ottawa-Carleton ; le Comité de l'Ontario sur les métiers, la technologie et les emplois opérationnels pour les femmes ; la Coalition de l'action des femmes de l'Ontario sur la formation ; le Comité de l'Ontario sur les emplois non traditionnels pour les femmes ; le Groupe de formation et d'éducation des femmes de la région d'Ottawa ; et le Groupe consultatif des femmes de la Commission locale de formation et d'adaptation de la main-d'œuvre.
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