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Advocates for Community-based Training and Education for Women (ACTEW)

  • Corporate body
  • 1988-2008
ACTEW, originally Advocates for Community-based Training and Education for Women, was a provincial membership organization for programs that provided community training to women. It began in 1988 as an outgrowth of another provincial umbrella group, ONESTEP, Ontario Network of Skills Training and Employment Programs. The women's organizations belonging to ONESTEP decided they needed a more women-centered, feminist organization to represent their specific needs. ACTEW changed its name in 2004 to A Women's Training Community. Over the years that ACTEW existed the organization published many reports, briefs and responses to government initiatives including: Access Diminished: A report on women's training and employment services in Ontario (2001); Challenges and Connections: Meeting the Information Needs of Professionals Working with Immigrant Women (2001), Operation Access (1989), Choosing Training, Shortcuts to Career Development Resources for Girls and Women. The group dissolved in 2008 due to lack of funding.
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ACTEW, à l'origine Advocates for Community-based Training and Education for Women, était une organisation provinciale regroupant des programmes de formation communautaire pour les femmes. Elle est née en 1988 d'un autre groupe provincial, l'ONESTEP (Ontario Network of Skills Training and Employment Programs). Les organisations de femmes membres de l'ONESTEP ont décidé qu'elles avaient besoin d'une organisation féministe plus centrée sur les femmes pour représenter leurs besoins spécifiques. ACTEW a changé de nom en 2004 pour devenir A Women's Training Community. Au cours des années d'existence d'ACTEW, l'organisation a publié de nombreux rapports, mémoires et réponses aux initiatives gouvernementales, notamment Access Diminished : Un rapport sur les services de formation et d'emploi des femmes en Ontario (2001) ; Challenges and Connections : Meeting the Information Needs of Professionals Working with Immigrant Women (2001), Operation Access (1989), Choosing Training, Shortcuts to Career Development Resources for Girls and Women. Le groupe a été dissous en 2008 en raison d'un manque de financement.

Ontario Women's Action Coalition / Coalition des femmes de L'Ontario

  • Corporate body
  • 1990-1995
The Ontario Women's Action Coalition / Coalition des femmes de l'Ontario (OWAC) was founded in 1990 as an attempt to support provincial organizing and mobilization of women in Ontario. Operating alongside the National Action Committee on the Status of Women (NAC), OWAC sought to provide women's groups and women's committees in Ontario with a forum for communication, outreach, and policy development. The coalition faced many challenges, most of which were related to a lack of funding. Their establishment corresponded with a period of austerity and the end of numerous funding programs coordinated by Status of Women Canada. As their archival records demonstrate, OWAC members were primarily concerned with health care, welfare and other social programs, employment equity, violence against women, constitutional reform, and community economic development initiatives. Significantly, OWAC sought to address the equality of women in general rather than focus on a single issue. In the short time that OWAC existed, their most ambitious project was a consultation which focused on providing women across Ontario with a forum for influencing amendments to the Canadian constitution, a topic of debate at the time due to the attempted Meech Lake Accord (1987) and Charlottetown Accord (1992).
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La Coalition des femmes de l'Ontario / Ontario Women's Action Coalition (OWAC) a été fondée en 1990 dans le but de soutenir l'organisation et la mobilisation des femmes de l'Ontario à l'échelle provinciale. Fonctionnant parallèlement au Comité national d'action sur le statut de la femme (CNA), l'OWAC a cherché à fournir aux groupes de femmes et aux comités de femmes de l'Ontario un forum pour la communication, la sensibilisation et l'élaboration de politiques. La coalition a dû faire face à de nombreux défis, dont la plupart étaient liés à un manque de financement. Sa création a correspondu à une période d'austérité et à la fin de nombreux programmes de financement coordonnés par Condition féminine Canada. Comme le montrent les archives, les membres de l'OWAC étaient principalement préoccupés par les soins de santé, l'aide sociale et d'autres programmes sociaux, l'équité en matière d'emploi, la violence contre les femmes, la réforme constitutionnelle et les initiatives de développement économique communautaire. Il est significatif que l'AFAC ait cherché à traiter de l'égalité des femmes en général plutôt que de se concentrer sur une seule question. Pendant la courte période d'existence de l'AFAC, son projet le plus ambitieux a été une consultation visant à fournir aux femmes de l'Ontario un forum pour influencer les amendements à la constitution canadienne, un sujet de débat à l'époque en raison des tentatives d'Accord du lac Meech (1987) et de l'Accord de Charlottetown (1992).

Feminist Party of Canada

  • Corporate body
  • 1979-1982

The Feminist Party of Canada (FPC) developed during the feminist movement in response to a lack of representation of women in government and to the many injustices women and minorities continued to face. The party began on June 10, 1979 at an event held by a number of feminists at the Ontario Institute for the Study of Education (OISE), which attracted over 600 people. The event included readings and songs, as well as speeches delivered by Marg Evans, Angela Miles, Mary O'Brien and Laura Sabia.

The primary objective of the FPC was to have an impact on the political system by providing a feminist perspective, and in turn, tackle many of the neglected issues concerning women. The party quickly received attention from the media and was very active while it existed—holding events, sending out newsletters and flyers, communicating with politicians and fighting for official party status. Though the Feminist Party of Canada never became an official party, ending only three years after it began, the party influenced many women to become politically active and brought attention to numerous social, economic, political and educational issues affecting not only women, but all of society.
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Le Parti féministe du Canada (FPC) s'est développé au cours du mouvement féministe en réponse au manque de représentation des femmes au sein du gouvernement et aux nombreuses injustices auxquelles les femmes et les minorités continuent de faire face. Le parti a vu le jour le 10 juin 1979 lors d'une manifestation organisée par un certain nombre de féministes à l'Institut d'études pédagogiques de l'Ontario (OISE), qui a attiré plus de 600 personnes. L'événement comprenait des lectures et des chansons, ainsi que des discours prononcés par Marg Evans, Angela Miles, Mary O'Brien et Laura Sabia.

L'objectif premier du FPC était d'avoir un impact sur le système politique en apportant une perspective féministe et, par là même, de s'attaquer à de nombreuses questions négligées concernant les femmes. Le parti a rapidement attiré l'attention des médias et a été très actif pendant son existence : il a organisé des événements, envoyé des bulletins et des dépliants, communiqué avec les politiciens et lutté pour obtenir le statut de parti officiel. Bien que le Parti féministe du Canada ne soit jamais devenu un parti officiel et qu'il ait pris fin trois ans seulement après sa création, il a incité de nombreuses femmes à devenir politiquement actives et a attiré l'attention sur de nombreux problèmes sociaux, économiques, politiques et éducatifs qui touchent non seulement les femmes, mais aussi l'ensemble de la société.

Canadian Advisory Council on the Status of Women

  • Corporate body
  • 1973-1995

The Canadian Advisory Council on the Status of Women (CACSW) was established by the federal government of Canada on the recommendation of the Royal Commission on the Status of Women (RCSW) in 1973. The primary purpose of its creation was to educate the public and make an impact on the issues and concerns facing Canadian women, including: access to employment in male dominated professions, equal pay, female reproduction rights, child care, representation in government, constitutional reform, health care, sexual assault, violence against women, and more.

The CACSW was comprised of one president, two vice presidents, fifteen regionally representative members working part-time, and approximately thirty office staff members. After years of providing publications on women's research and helping to reform the constitution, the CACSW was eventually dismantled on April 1, 1995.
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Le Conseil consultatif canadien sur le statut de la femme (CCCSF) a été créé par le gouvernement fédéral du Canada sur recommandation de la Commission royale d'enquête sur le statut de la femme (CRESF) en 1973. Le but premier de sa création était d'éduquer le public et d'avoir un impact sur les questions et les préoccupations des femmes canadiennes, notamment : l'accès à l'emploi dans les professions dominées par les hommes, l'égalité des salaires, les droits de reproduction des femmes, la garde des enfants, la représentation au gouvernement, la réforme constitutionnelle, les soins de santé, les agressions sexuelles, la violence à l'égard des femmes, et plus encore.

Le CACSW était composé d'un président, de deux vice-présidents, de quinze membres représentant les régions et travaillant à temps partiel, et d'environ trente membres du personnel de bureau. Après des années de publications sur la recherche sur les femmes et d'aide à la réforme de la constitution, le CACSW a finalement été démantelé le 1er avril 1995.

Durham International Women’s Day Committee

  • Corporate body
The Durham International Women’s Day Committee represents the communities of Oshawa, Whitby, Newcastle, Ajax, Pickering and Port Perry, Ontario. They are responsible for organizing events for International Women's Day in the region.
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Le comité de la Journée internationale de la femme de Durham représente les communautés d'Oshawa, Whitby, Newcastle, Ajax, Pickering et Port Perry, en Ontario. Il est chargé d'organiser des événements pour la Journée internationale de la femme dans la région.

Redlight Theatre

  • Corporate body
  • 1974-1977

The Redlight Theatre was Toronto’s first professional feminist theatre company, operating from 1974 to 1977. Diane Grant, Marcella Lustig, and Francine Volker, who were actors and playwrights in Toronto’s alternative theatre scene, founded Redlight Theatre to give women artistic, technical and administrative opportunities in theatre. Grant, Lustig, and Volker served as Co-Artistic Directors and the theatre was run by a combination of hired staff and volunteers.

The Redlight Theatre mounted a wide range of productions addressing feminist topics such as the women’s history, gender stereotyping, and abortion. It produced original plays and commissioned work from playwrights such as Carol Bold and Margaret Hollingsworth. The Redlight Theatre’s most acclaimed production was What Glorious Times We Had written by Diane Grant, which told the story of Nellie McClung and the suffrage movement in Manitoba. What Glorious Times We Had premiered in 1974 and toured Canada for International Women’s Year in 1975. Other notable productions include Entrances (1974) written by Marcella Lustig and Francine Volker, Strange Games (1975) by Elinore Siminovitch, and Queen of the Silver Blades (1976) by Susan Swan and Margaret Dragu. The Redlight Theatre also sponsored Cleo Laine’s first concert in Canada.

In 1975, Redlight Theatre created the Playwrights Workshop to encourage women to develop professional skills in writing for the theatre. Plays that emerged from this workshop include Inside Looking In by Joann MacIntyre, Lies My Mother Told Me by Gay Claitman and Nancy White, and 10,000 Hellcats in Deepfreeze by Suzette Couture, Marcella Lustig, and Jacqueline Swartz.

Established with a grant from the Local Initiatives Program, the Redlight Theatre also received funding from The Secretary of State, the Canada Council, and the City of Toronto. The theatre never acquired sufficient funds to secure a permanent location so productions were staged in various venues, including the Matador Club, the Bathurst Street United Church, the Enoch Turner Schoolhouse, and St. Paul’s Centre. After three seasons, the Redlight Theatre closed due to lack of funding in 1977.
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Le Redlight Theatre a été la première compagnie théâtrale professionnelle féministe de Toronto, qui a fonctionné de 1974 à 1977. Diane Grant, Marcella Lustig et Francine Volker, actrices et dramaturges de la scène théâtrale alternative de Toronto, fondent le Redlight Theatre pour offrir aux femmes des possibilités artistiques, techniques et administratives dans le domaine du théâtre. Grant, Lustig et Volker sont codirectrices artistiques et le théâtre est géré par une combinaison d'employés et de bénévoles.

Le Redlight Theatre a monté un large éventail de productions abordant des sujets féministes tels que l'histoire des femmes, les stéréotypes de genre et l'avortement. Il a produit des pièces originales et commandé des œuvres à des dramaturges tels que Carol Bold et Margaret Hollingsworth. La production la plus acclamée du Redlight Theatre est What Glorious Times We Had, écrite par Diane Grant, qui raconte l'histoire de Nellie McClung et du mouvement pour le suffrage au Manitoba. What Glorious Times We Had a été créée en 1974 et a fait l'objet d'une tournée au Canada à l'occasion de l'Année internationale de la femme en 1975. Parmi les autres productions notables, citons Entrances (1974) de Marcella Lustig et Francine Volker, Strange Games (1975) d'Elinore Siminovitch, et Queen of the Silver Blades (1976) de Susan Swan et Margaret Dragu. Le Redlight Theatre a également parrainé le premier concert de Cleo Laine au Canada.

En 1975, le Redlight Theatre crée le Playwrights Workshop afin d'encourager les femmes à développer des compétences professionnelles en écriture théâtrale. Parmi les pièces issues de cet atelier, citons Inside Looking In de Joann MacIntyre, Lies My Mother Told Me de Gay Claitman et Nancy White, et 10 000 Hellcats in Deepfreeze de Suzette Couture, Marcella Lustig et Jacqueline Swartz.

Créé grâce à une subvention du Programme d'initiatives locales, le Redlight Theatre a également reçu des fonds du Secrétariat d'État, du Conseil des Arts du Canada et de la ville de Toronto. Le théâtre n'a jamais obtenu suffisamment de fonds pour obtenir un emplacement permanent. Les productions ont donc été montées dans divers endroits, notamment au Matador Club, à l'église unie de Bathurst Street, à l'Enoch Turner Schoolhouse et au St. Après trois saisons, le Redlight Theatre ferme ses portes en 1977, faute de financement.

Women in Trades (WIT)

  • Corporate body
  • 1979-1989

The origins of the Women In Trades organization came out of a September 1979 meeting where women from several government agencies and educational groups met to come up with a strategy to help women already working in trades or as a starting point for women interested in entering non-traditional occupations. It was evident to the women at this meeting that there were problems with women in trade feeling isolated and not having a support group to discuss issues with. In spring 1980, a working committee was planning the founding meeting of Women In Trades association. This was held in June 1980.

Founding members of the group are Nancy Bayly and Jenny Stimac. There were always a small group but were committed to the cause. Mary Addison served as co-ordinator of the organization throughout the 1980s. Women In Trade helped women from both an educational and political perspective to make sure they received the guidance they needed. They were able to direct women to different training programs and also encourage them to act politically. There were workshops on how to lobby the government and speaking out publicly and also to attend rallies.

The central focus of the organization was to promote women in trade performing non-traditional work. This was an ongoing process. It involved convincing federal and provincial decision makers and labour unionists of the viability of women working in trades. They had to continually work at strengthening the relationship between tradeswomen, unions and employers. The membership of the group had a broad base. Women In Trade was open to women from different racial and ethnic backgrounds and also disabled tradeswomen. To be eligible for membership a women had to: work with her hands, belong to a particular skilled trade and paid hourly doing work with machines. Funding was always a challenge for this organization and they had to be constantly looking for sources of money. They looked to several different Ontario programs for assistance.
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L'organisation Women In Trades est née d'une réunion en septembre 1979 où des femmes de plusieurs agences gouvernementales et groupes éducatifs se sont réunies pour élaborer une stratégie visant à aider les femmes travaillant déjà dans les métiers ou à servir de point de départ aux femmes intéressées par des professions non traditionnelles. Les participantes à cette réunion ont constaté que les femmes exerçant un métier se sentaient isolées et ne disposaient pas d'un groupe de soutien pour discuter de leurs problèmes. Au printemps 1980, un comité de travail a planifié la réunion de fondation de l'association Women In Trades. Celle-ci s'est tenue en juin 1980.

Les membres fondateurs du groupe sont Nancy Bayly et Jenny Stimac. Il s'agit toujours d'un petit groupe, mais il est dévoué à la cause. Mary Addison a assuré la coordination de l'organisation tout au long des années 1980. Women In Trade a aidé les femmes d'un point de vue éducatif et politique pour s'assurer qu'elles recevaient les conseils dont elles avaient besoin. Elles ont pu orienter les femmes vers différents programmes de formation et les encourager à agir sur le plan politique. Des ateliers ont été organisés sur la manière de faire pression sur le gouvernement, de s'exprimer publiquement et de participer à des rassemblements.

L'objectif principal de l'organisation était de promouvoir le travail non traditionnel des femmes dans le secteur du commerce. Il s'agit d'un processus continu. Il s'agissait de convaincre les décideurs fédéraux et provinciaux ainsi que les syndicalistes de la viabilité des femmes exerçant un métier. Les membres du groupe doivent continuellement s'efforcer de renforcer les relations entre les femmes de métier, les syndicats et les employeurs. Les membres du groupe étaient très diversifiés. Women In Trade était ouvert aux femmes de différentes origines raciales et ethniques, ainsi qu'aux femmes de métier handicapées. Pour pouvoir devenir membre, une femme devait : travailler avec ses mains, appartenir à un métier spécialisé particulier et être payée à l'heure pour travailler avec des machines. Le financement a toujours été un défi pour cette organisation qui devait constamment chercher des sources de financement. Elle s'est tournée vers plusieurs programmes ontariens pour obtenir de l'aide.

Yaffe, Debby (Deborah)

  • Person
  • 1943-
Debby (Deborah) Yaffe is a feminist, activist and retired University of Victoria Department of Women’s Studies senior instructor. Yaffe (née Frisch) was born in 1943 and grew up in Southern California. She attended University of California at Los Angeles (UCLA) in the 1960s. Taking her husband’s last name, Gregory, she and her husband lived in Europe with their son, moving to London in the 1970s. It was there, while working as a teacher, that Yaffe became involved in the women’s movement through her attendance at consciousness-raising group meetings. She subsequently formed her own group and took part in feminist actions. Yaffe later returned to the United States on her own and eventually settled in Victoria, British Columbia, with her family. After her divorce, she took her mother’s maiden name, Yaffe. In Victoria, she volunteered with Everywomen's Books, worked as a paid staff member for the local office of the Victoria Status of Women Action Group, from 1986 to 1988, and was involved in organizing around key issues such as abortion rights. Yaffe was approached to teach Introduction to Women’s Studies at the University of Victoria in 1990 and she retired in 2004. She holds a master’s degree in Women’s Studies and is a 2001 recipient of UVic Alumni Association’s award for excellence in teaching. Yaffe is one of the founders, along with former university archivist Jane Turner, of the Victoria Women’s Movement Archives at UVic Archives.
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Debby (Deborah) Yaffe est une féministe, une militante et une enseignante principale à la retraite du département d'études féminines de l'université de Victoria. Yaffe (née Frisch) est née en 1943 et a grandi dans le sud de la Californie. Elle a fréquenté l'université de Californie à Los Angeles (UCLA) dans les années 1960. Prenant le nom de famille de son mari, Gregory, elle et son mari ont vécu en Europe avec leur fils et se sont installés à Londres dans les années 1970. Alors qu'elle travaillait comme enseignante, Yaffe s'est impliquée dans le mouvement des femmes en participant à des réunions de groupes de sensibilisation. Elle a ensuite formé son propre groupe et a participé à des actions féministes. Plus tard, Yaffe est retournée seule aux États-Unis et s'est finalement installée à Victoria, en Colombie-Britannique, avec sa famille. Après son divorce, elle reprend le nom de jeune fille de sa mère, Yaffe. À Victoria, elle fait du bénévolat pour Everywomen's Books, travaille comme employée rémunérée pour le bureau local du Victoria Status of Women Action Group, de 1986 à 1988, et s'implique dans l'organisation autour de questions clés telles que le droit à l'avortement. Yaffe a été pressentie pour enseigner l'introduction aux études féminines à l'université de Victoria en 1990 et a pris sa retraite en 2004. Elle est titulaire d'une maîtrise en études féminines et a reçu en 2001 le prix de l'association des anciens élèves de l'UVic pour l'excellence de son enseignement. Yaffe est l'une des fondatrices, avec l'ancienne archiviste de l'université Jane Turner, des archives du mouvement des femmes de Victoria aux archives de l'UVic.

de Wolff, Alice

  • Person
Alice de Wolff served as the director of the National Action Committee on the Status of Women in the late-1980s and early-1990s. Prior to this, she was involved with the Alberta Status of Women Action Committee. As a part of her feminist work in Alberta, de Wolff participated in the Summer School for Women Organizing, and served on the committee for ASWAC's Women Organize Alberta Conference. She also helped to organize OISE's "Women and the State : A Conference for Feminist Activists," and more recently, was a board member for the Council of Canadians non-profit organization.
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Alice de Wolff a été directrice du Comité national d'action sur le statut de la femme à la fin des années 1980 et au début des années 1990. Auparavant, elle s'était impliquée dans le Comité d'action sur le statut de la femme de l'Alberta. Dans le cadre de son travail féministe en Alberta, Mme de Wolff a participé à l'école d'été pour l'organisation des femmes et a fait partie du comité de la conférence Women Organize Alberta de l'ASWAC. Elle a également participé à l'organisation de la conférence de l'OISE "Women and the State : A Conference for Feminist Activists" de l'OISE et, plus récemment, elle a été membre du conseil d'administration de l'organisation à but non lucratif Conseil des Canadiens.

Sumach Press

  • Corporate body
  • 2000-2009

In 2000, several members of Second Story Feminist Press branched off to create their own publishing organization, Sumach Press. Publishing rights for select titles were also transferred to the new company, which was owned and operated by Beth McAuley, Lois Pike, and Liz Martin, in Toronto, Ontario.

Sumach Press was integral to Canada’s small feminist press scene, publishing a wide array of works written by and about women and that reached both national and international readerships. Titles explored diverse subjects such as health, history, politics, and sexuality. Sumach Press’ works encompassed literary fiction, mystery novels, cookbooks, and scholarly publications.

Its Women’s Issues Publishing Program featured feminist titles that promoted a more humane and equitable society, exploring issues of race, gender, and class. Sumach Press’ literacy fiction works reached both adult and young adult readers. In 2009, Sumach Press was acquired by Canadian Scholars' Press Inc. /Women’s Press.
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En 2000, plusieurs membres de Second Story Feminist Press ont créé leur propre maison d'édition, Sumach Press. Les droits d'édition de certains titres ont également été transférés à la nouvelle société, détenue et gérée par Beth McAuley, Lois Pike et Liz Martin, à Toronto (Ontario).

Sumach Press a fait partie intégrante de la petite presse féministe du Canada, publiant un large éventail d'ouvrages écrits par des femmes et sur des femmes, qui ont atteint un lectorat national et international. Les titres exploraient des sujets divers tels que la santé, l'histoire, la politique et la sexualité. Les travaux de Sumach Press englobent la fiction littéraire, les romans policiers, les livres de cuisine et les publications scientifiques.
Son programme de publication sur les questions féminines propose des titres féministes qui promeuvent une société plus humaine et plus équitable, en explorant les questions de race, de genre et de classe. Les ouvrages d'alphabétisation et de fiction de Sumach Press s'adressent à la fois aux adultes et aux jeunes adultes. En 2009, Sumach Press a été rachetée par Canadian Scholars' Press Inc. /Women's Press.

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