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Authority record

Krismer, Kristen

  • Person
Kristen Krismer was involved in the University of Toronto Women's Centre in the late 80s. She was involved also in various committee at the University of Toronto working against violence against women, and for gender equality.
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Kristen Krismer a été impliquée dans le Centre des femmes de l'Université de Toronto à la fin des années 80. Elle a également participé à divers comités de l'université de Toronto qui luttent contre la violence à l'égard des femmes et pour l'égalité entre les hommes et les femmes.

Manitoba Action Committee on the Status of Women

  • Corporate body
  • 1971-1999
Manitoba Action Committee on the Status of Women (MACSW) was established in 1971 as a non-profit feminist organization. Their goal was to remove inequalities affecting women by working through lobbying efforts and public education. MACSW was interested in several issues including violence against women, sexual harassment and rape, pay equity, women's health, etc. They published a newsletter called ACTION which was published bi-monthly.
MACSW was closed in 1999 after federal funding cutbacks.
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Le Manitoba Action Committee on the Status of Women (MACSW) a été créé en 1971 en tant qu'organisation féministe à but non lucratif. Son objectif est d'éliminer les inégalités qui touchent les femmes par le biais d'actions de lobbying et d'éducation du public. Le MACSW s'intéressait à plusieurs questions, notamment la violence à l'égard des femmes, le harcèlement sexuel et le viol, l'égalité salariale, la santé des femmes, etc. Il publiait un bulletin d'information bimensuel intitulé ACTION.
Le MACSW a été fermé en 1999 à la suite d'une réduction du financement fédéral.

Collectif de la revue l'Entrelles

  • Corporate body
  • 1978-1982
L’Entrelles est un collectif qui publie une revue destinée aux femmes de l’Outaouais. L’idée de fonder le collectif émerge à Hull au Québec le 2 décembre 1978, lorsqu’une cinquantaine de femmes se rencontrent suite à la publication de la politique d’ensemble sur la condition féminine au Québec rédigée par le Conseil sur le Statut de la Femme. Lors de la plénière, il est décidé que les femmes de l’Outaouais se donneront un outil de communication afin de briser leur isolement et mieux coordonner leurs énergies. Le 15 janvier 1979 parait le premier numéro sous le titre temporaire de « Femme d’ici », à 100 exemplaires. Le service de Consult-Action, du Conseil du Statut de la Femme assume l’impression et la distribution du premier numéro. Le deuxième numéro nommé définitivement « L’Entrelles » parait le 15 mars 1979. Les CLSC de l’Outaouais ont participé à son impression en 500 exemplaires. Une aide est également reçue de l’Association des Enseignants du Sud-Ouest Québécois.
La corporation a été constituée en 1980 pour « assurer la publication et la diffusion d’une revue régionale qui se préoccupe de la promotion de la femme dans tous les domaines possibles; offrir un outil de sensibilisation sur la condition féminine en général; susciter et promouvoir chez les femmes la création littéraire et artistique; réaliser toute autre activité en accord avec les objectifs précités; collaborer avec tout organisme et individu ayant des préoccupations similaires. » (Lettres Patentes, 1980). Le conseil d’administration permanent de la corporation était composé de 5 personnes.
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L'Entrelles is a collective that publishes a magazine for women in the Outaouais. The idea of founding the collective emerged in Hull, Quebec, on December 2, 1978, when some fifty women met following the publication of the overall policy on the status of women in Quebec drafted by the Conseil sur le Statut de la Femme. During the plenary session, it was decided that the women of the Outaouais would create a communication tool to break their isolation and better coordinate their energies. On January 15, 1979, the first issue was published under the temporary title of "Femme d'ici", with a circulation of 100 copies. The Consult-Action service of the Conseil du Statut de la Femme was responsible for the printing and distribution of the first issue. The second issue, definitively named "L'Entrelles", was published on March 15, 1979. The CLSCs of the Outaouais participated in the printing of 500 copies. Assistance was also received from the Association des Enseignants du Sud-Ouest Québécois.
The corporation was incorporated in 1980 to "ensure the publication and distribution of a regional magazine concerned with the promotion of women in all possible fields; to offer a tool for raising awareness of the status of women in general; to encourage and promote literary and artistic creation among women; to carry out any other activity in accordance with the aforementioned objectives; to collaborate with any organization or individual having similar concerns. (Letters Patent, 1980). The permanent board of directors of the corporation was composed of 5 people.

Gammon, Carolyn

  • Person
  • 1959-
Carolyn Gammon is an author and activist, who was born and raised in Fredericton, New Brunswick. Her parents, Frances (Firth) Gammon and Donald Gammon were co-founders of The Fiddlehead magazine at the University of New Brunswick. She completed her MA in Literature and Creative Writing at Concordia University. She challenged the nomenclature of degree title, claiming a “Master” title was sexist. She garnered national attention and her graduation in 1994 was covered by CBC TV and she received the “Guinea Pig Award” for the most innovative contribution to Concordia University life. She was also the founder of the Lesbian Studies Coalition of Concordia in Montreal. She worked to link the struggle against heterosexism and lesbophobia.
She wrote “The Perfect Guest” dedicated to the fourteen women killed in the Montreal Massacre. She published her first book of poetry “Lesbians Ignited” in 1992. The book has become a classic in Canadian lesbian literature. In 1992, she was invited to Berlin as an author and continued to live in Germany. Carolyn Gammon’s poetry, prose, and essays have appeared in anthologies throughout Canada, the United States, and Europe. In many readings and performances on three continents over three decades, she has presented her work in a political, humorous and engaging style.
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Carolyn Gammon est une auteure et une militante qui est née et a grandi à Fredericton, au Nouveau-Brunswick. Ses parents, Frances (Firth) Gammon et Donald Gammon, étaient cofondateurs du magazine The Fiddlehead à l'université du Nouveau-Brunswick. Elle a obtenu une maîtrise en littérature et en création littéraire à l'Université Concordia. Elle a contesté la nomenclature des titres de diplômes, affirmant que le titre de "Master" était sexiste. Elle a attiré l'attention nationale et sa remise de diplôme en 1994 a été couverte par la chaîne de télévision CBC. Elle a reçu le "Guinea Pig Award" pour la contribution la plus innovante à la vie de l'université Concordia. Elle a également fondé la Lesbian Studies Coalition of Concordia à Montréal. Elle s'est efforcée de lier la lutte contre l'hétérosexisme et la lesbophobie.
Elle a écrit "The Perfect Guest", dédié aux quatorze femmes tuées lors du massacre de Montréal. Elle a publié son premier recueil de poèmes "Lesbians Ignited" en 1992. Ce livre est devenu un classique de la littérature lesbienne canadienne. En 1992, elle a été invitée à Berlin en tant qu'auteure et a continué à vivre en Allemagne. La poésie, la prose et les essais de Carolyn Gammon ont été publiés dans des anthologies au Canada, aux États-Unis et en Europe. Lors de nombreuses lectures et représentations sur trois continents au cours de trois décennies, elle a présenté son travail dans un style politique, humoristique et engageant.

The Canadian Institute for Women in Engineering and Sciences

  • Corporate body
  • 2007
The Institute was created in 2007 under the name of INWES-Education and Research Institute. It was incorporated the 29th of November 2007 under the Canada Corporations Act. It was designated as a Charitable Organization on the 28th of February 2008.The organization name was changed in 2019 to The Canadian Institute for Women in Engineering and Sciences (CIWES).
Its activities are conducted through a board of directors and diverse committees.
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L'Institut a été créé en 2007 sous le nom d'INWES-Education and Research Institute. Il a été constitué en société le 29 novembre 2007 en vertu de la Loi sur les corporations canadiennes. Il a été désigné comme organisme de bienfaisance le 28 février 2008 et a changé de nom en 2019 pour devenir l'Institut canadien des femmes en ingénierie et en sciences (ICFIS).
Ses activités sont menées par un conseil d'administration et divers comités.

Mann, Susan

  • Person
  • 1941-

Susan Nancy Mann, C.M., Ph.D., F.R.S.C., LLD. describes herself as a feminist by birth, an historian by training, a writer by avocation, a teacher for the love of it, and an administrator for fun.

Mann was born in 1941 in Ottawa, Canada, to two high school teachers of English: Walter Beresford Mann (1910-1995) and Marjorie Mann, née Diehl (1909-1993). Her sister, Gretchen Mann Brewin (b. 23 December 1938) was a politician in British Columbia. Mann was married twice, and occasionally used both her maiden and married names: Robertson and Trofimenkoff, during her work. She had one daughter in 1962.

Educated in Canada, Scotland and Switzerland, Susan Mann received her B.A. (honours) in Modern History from the University of Toronto in 1963, her master’s in 1965 from the University of Western Ontario, and her doctorate in 1970 from Université Laval in Québec. She spent a year teaching English in Tokyo, Japan, 1963-1964. Her first university appointment was at the Université de Montréal, where she taught English-Canadian History in French, 1966-1970 and then at the University of Calgary, where she taught French-Canadian History in English, 1970-1972. The University of Ottawa offered her the opportunity to teach in both languages and she remained there as Assistant, Associate and later full Professor in the History Department, 1972-1992.

While in Ottawa, she assessed projects for the SSHRCC and was the Academic Editor for Social Sciences in Canada, 1974-1976. She chaired the Aid to Scholarly Publications Committee of the Social Science Federation of Canada [now the Humanities and Social Sciences Federation of Canada], 1976-79. Mann was a founding member of the Canadian Research Institute for the Advancement of Women (CRIAW) in 1976 and of Senior Women's Academic Administrators of Canada (SWAAC) in 1987. She participated in annual meetings of the Canadian Historical Association, of which she was president 1984-5. She chaired the Status of Women Committee of the Council of Ontario Universities, 1985-88.

At the University of Ottawa, Mann chaired the Department of History, 1977-1980 and was appointed Vice-Rector Academic, 1984-90. She was also a member of the university's Senate, Board of Governors, Arts Faculty Council, School of Graduate Studies, and APUO. Notably, she was a co-organizer of the University of Ottawa’s Women’s Studies program, founded in 1982 by a group of cross-disciplinary feminist scholars including Caroline Andrew, Ann Denis and Marie-Laure Girou-Swiderski.

Dr. Susan Mann was the first woman to be appointed as President of York University, 1992-1997.

Visiting professorships brought her back to Montréal and Ottawa: McGill’s Centre for Research and Teaching on Women, 1997-2002, and the Institute of Women's Studies at the University of Ottawa, 2000. In 2002, she chaired the university's Task Force on Inter-disciplinarity/Groupe de travail sur l'interdiscplinarité.

Throughout her career, Mann taught various courses in history, including Post-Confederation Canada, Quebec, French-Canadian Nationalism, Canadian Social History, Canadian Women’s History, Women and the First World War, Femmes, Nation et Nationalisme. She also directed several MA and PhD theses and is the author and editor of several publications in Canadian history, Quebec, women, and military history. In recognition of her work and services to academic institutions, she has been the recipient of several awards and honours, among them the Royal Society of Canada and the Order of Canada.

In retirement in Montreal, Mann has continued to pursue research and writing, as well as exploring her artistic interests, particularly via sculpture.
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Susan Nancy Mann, C.M., Ph.D., F.R.S.C., LLD. se décrit comme une féministe de naissance, une historienne de formation, une écrivaine par vocation, une enseignante pour l'amour du métier et une administratrice pour le plaisir.

Susan Mann est née en 1941 à Ottawa, au Canada, de deux professeurs d'anglais de l'enseignement secondaire : Walter Beresford Mann (1910-1995) et Marjorie Mann, née Diehl (1909-1993). Sa sœur, Gretchen Mann Brewin (née le 23 décembre 1938), est une femme politique de Colombie-Britannique. Mann a été mariée deux fois et a parfois utilisé son nom de jeune fille et son nom de femme mariée : Robertson et Trofimenkoff. Elle a eu une fille en 1962.

Susan Mann a fait ses études au Canada, en Écosse et en Suisse. Elle a obtenu une licence (avec mention) en histoire moderne à l'université de Toronto en 1963, une maîtrise en 1965 à l'université de Western Ontario et un doctorat en 1970 à l'université Laval au Québec. Elle a passé une année à enseigner l'anglais à Tokyo, au Japon, en 1963-1964. Son premier poste universitaire a été à l'Université de Montréal, où elle a enseigné l'histoire canadienne-anglaise en français, de 1966 à 1970, puis à l'Université de Calgary, où elle a enseigné l'histoire canadienne-française en anglais, de 1970 à 1972. L'Université d'Ottawa lui a offert la possibilité d'enseigner dans les deux langues et elle y est restée en tant qu'assistante, associée et plus tard professeure titulaire au département d'histoire, de 1972 à 1992.

Pendant son séjour à Ottawa, elle a évalué des projets pour le CRSH et a été rédactrice académique pour Social Sciences in Canada, de 1974 à 1976. Elle a présidé le comité d'aide aux publications savantes de la Fédération des sciences sociales du Canada [aujourd'hui Fédération des sciences humaines et sociales du Canada], de 1976 à 1979. Mann est membre fondatrice de l'Institut canadien de recherche sur les femmes (ICREF) en 1976 et de Senior Women's Academic Administrators of Canada (SWAAC) en 1987. Elle a participé aux réunions annuelles de la Société historique du Canada, dont elle a été présidente de 1984 à 2005. Elle a présidé le Comité de la condition féminine du Conseil des universités de l'Ontario de 1985 à 1988.

À l'Université d'Ottawa, Mann a présidé le département d'histoire de 1977 à 1980 et a été nommée vice-recteur à l'enseignement de 1984 à 1990. Elle a également été membre du Sénat, du Conseil des gouverneurs, du Conseil de la faculté des arts, de l'École des études supérieures et de l'APUO. Elle a notamment été coorganisatrice du programme d'études féminines de l'Université d'Ottawa, fondé en 1982 par un groupe d'universitaires féministes interdisciplinaires, dont Caroline Andrew, Ann Denis et Marie-Laure Girou-Swiderski.

Susan Mann a été la première femme à être nommée présidente de l'Université York, de 1992 à 1997.

Des postes de professeur invité l'ont ramenée à Montréal et à Ottawa : Centre de recherche et d'enseignement sur les femmes de McGill, 1997-2002, et Institut d'études féminines de l'Université d'Ottawa, 2000. En 2002, elle a présidé le Groupe de travail sur l'interdiscplinarité de l'université.

Tout au long de sa carrière, Mme Mann a enseigné divers cours d'histoire, notamment sur le Canada post-confédération, le Québec, le nationalisme canadien-français, l'histoire sociale du Canada, l'histoire des femmes canadiennes, les femmes et la Première Guerre mondiale, les femmes, la nation et le nationalisme. Elle a également dirigé plusieurs thèses de maîtrise et de doctorat et est l'auteur et l'éditeur de plusieurs publications sur l'histoire canadienne, le Québec, les femmes et l'histoire militaire. En reconnaissance de son travail et des services rendus aux institutions académiques, elle a reçu plusieurs prix et distinctions, dont la Société royale du Canada et l'Ordre du Canada.

Retraitée à Montréal, Mann poursuit ses travaux de recherche et d'écriture, tout en explorant ses intérêts artistiques, notamment par le biais de la sculpture.

Glover, Maxine

  • Person
  • 1950-

Maxine Sylvia (born Haugen) Glover worked in communications specializing in forestry, fisheries, and wildlife in British Columbia. She was born on September 8th, 1950, in Moose Jaw, Saskatchewan. In 1970, Maxine was the first and only woman to graduate with a Diploma of Technology from the Fish, Wildlife, and Parks Management Option of the Forest Resource Technology Program at the British Columbia Institute of Technology (BCIT) in Burnaby, BC.

Maxine began her career as an Information Technician for the Government of Canada Fisheries and Marine Services in Vancouver from 1970-1977; then worked as Publications Editor for the BC Central One Credit Union from 1977-1978.

In 1979, she was a freelance writer and consultant and went on to found and be president of her own company, Glover Business Communications Ltd. The company had seven full-time staff by 1986, and clients were federal and provincial government departments; forest, transportation, manufacturing, and construction companies; an international commission; a federally funded public group; financial institutions; and a private foundation. The company dissolved in 1989.

Projects include work on the province-wide Public Awareness Program for the Salmonid Enhancement Program (SEP), 1979 – 1989, providing secretariat services for the Salmonid Enhancement Task Group and Board.

During her sabbatical, 1986-1989, Maxine researched, wrote, and supervised the design and production of three 1987 – 1989 annual reports for International Forest Products Limited; edited the first annual report in 1988 on the implementation of the federal and provincial governments’ agreement with Alcan Aluminium regarding the Nechako River. From 1989-1995, Maxine was Editor for the Certified General Accountants Association of Canada and worked as a freelance business editor and writer from 1995-2000.

Maxine worked on the province-wide Public Awareness Program for the Salmonid Enhancement Program (SEP), 1979 – 1989. She provided secretariat services for the Salmonid Enhancement Task Group, a province-wide body formed to provide public input into the SEP, and to the Salmonid Enhancement Board, a high-level board of industry and First Nations representatives, which provided some direction to the SEP.

Professional and business activities include being a member of the Editors’ Association of Canada (EAC), teaching marketing and business development workshops, and writing articles for the association’s newsletters; being a member of The Logan Lake Chamber of Commerce and serving as secretary in 1997/98.

Maxine received several communications awards from the BC Chapter of the International Association of Business Communicators; edited scholarly works in the field of accounting and many other books and courses in auditing, accounting, ethics, and financial and strategic management.
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Maxine Sylvia (née Haugen) Glover a travaillé dans le domaine de la communication, spécialisée dans la sylviculture, la pêche et la faune sauvage en Colombie-Britannique. Elle est née le 8 septembre 1950 à Moose Jaw, en Saskatchewan. En 1970, Maxine a été la première et la seule femme à obtenir un diplôme de technologie dans le cadre de l'option "gestion des poissons, de la faune et des parcs" du programme de technologie des ressources forestières du British Columbia Institute of Technology (BCIT) à Burnaby, en Colombie-Britannique.

Maxine a commencé sa carrière en tant que technicienne de l'information pour le Service des pêches et de la marine du gouvernement du Canada à Vancouver de 1970 à 1977 ; elle a ensuite travaillé comme rédactrice en chef des publications pour la BC Central One Credit Union de 1977 à 1978.

En 1979, elle est rédactrice et consultante indépendante, puis fonde et préside sa propre entreprise, Glover Business Communications Ltd. En 1986, l'entreprise comptait sept employés à temps plein et ses clients étaient des ministères fédéraux et provinciaux, des entreprises forestières, de transport, de fabrication et de construction, une commission internationale, un groupe public financé par le gouvernement fédéral, des institutions financières et une fondation privée. La société a été dissoute en 1989.

Les projets comprennent le travail sur le programme de sensibilisation du public à l'échelle de la province pour le Programme de mise en valeur des salmonidés (PMVS), de 1979 à 1989, fournissant des services de secrétariat pour le groupe de travail et le conseil de mise en valeur des salmonidés.

Pendant son congé sabbatique, de 1986 à 1989, Maxine a effectué des recherches, rédigé et supervisé la conception et la production de trois rapports annuels de 1987 à 1989 pour International Forest Products Limited ; elle a édité le premier rapport annuel de 1988 sur la mise en œuvre de l'accord conclu entre les gouvernements fédéral et provincial et Alcan Aluminium au sujet de la rivière Nechako. De 1989 à 1995, Maxine a été rédactrice pour l'Association des comptables généraux accrédités du Canada et a travaillé comme rédactrice et écrivaine indépendante dans le domaine des affaires de 1995 à 2000.

Maxine a travaillé sur le programme de sensibilisation du public à l'échelle de la province pour le Programme de mise en valeur des salmonidés (PMVS), de 1979 à 1989. Elle a fourni des services de secrétariat au Salmonid Enhancement Task Group, un organisme provincial chargé de recueillir l'avis du public sur le PMVS, ainsi qu'au Salmonid Enhancement Board, un conseil de haut niveau composé de représentants de l'industrie et des Premières nations, qui a donné une certaine orientation au PMVS.

Dans le cadre de ses activités professionnelles et commerciales, Maxine est membre de l'Editors' Association of Canada (EAC), où elle donne des ateliers sur le marketing et le développement des affaires et rédige des articles pour les bulletins d'information de l'association ; elle est également membre de la Chambre de commerce de Logan Lake, dont elle a été la secrétaire en 1997-1998.

Maxine a reçu plusieurs prix de communication de la part de la section de la Colombie-Britannique de l'International Association of Business Communicators ; elle a édité des ouvrages savants dans le domaine de la comptabilité et de nombreux autres livres et cours sur l'audit, la comptabilité, l'éthique et la gestion financière et stratégique.

Greenberg, Shirley E.

  • Person
  • 1931-2022

Shirley Elizabeth (E.) Greenberg (née Schnell) was born to George Schnell and Elizabeth Bertha Schnell in 1931, in Ottawa, Ontario. In 1959 she was married to Irving Greenberg (1928-1991); she had three children.

Throughout her law studies and professional practice, Shirley E. Greenberg worked for women’s legal equality through advocacy, philanthropy and education.

In the early 1970s, Greenberg was inspired by second-wave feminism to pursue a law degree with the University of Ottawa. She attended law school as a mature, married student and as a mother of three. From March 14-16, 1974, she attended the founding conference of the National Association of Women and the Law (NAWL).

Working with the University of Ottawa’s NAWL chapter, Shirley E. Greenberg helped administer the organization’s 1975 summer project, delivering programs that raised awareness of the impact of legal inequities on women’s lives.

She also conducted research and wrote extensively about legal topics affecting women, such as child custody, family law, pensions, and unemployment insurance. She wrote for such feminist publications as “Upstream.”

Shirley E. Greenberg helped found the Ottawa Women’s Centre Association—a vital resource for community women. She also volunteered with Ottawa’s Rape Crisis Centre and Interval House.

After graduating from law school in 1976, Shirley E. Greenberg co-founded Ottawa’s first all-female law practice, in 1978. The law practice hosted women articling students, helping women establish law careers in male-dominated spaces. She was awarded an honourary doctorate from the University of Ottawa in 2003.

Shirley E. Greenberg also became a noted philanthropist. In 2005, she endowed the Shirley E. Greenberg Chair for Women and the Legal Profession in the Common Law Section of the Faculty of Law, designated for feminist law faculty members. She established the Shirley E. Greenberg Women's Health Centre at the Ottawa Hospital’s Riverside campus, in 2005. In 2013 she funded the Shirley E. Greenberg Breast Cancer Imaging Suite at the Queensway Carleton Hospital. She also established the Shirley E. Greenberg Resource Centre for Women at the Royal Ottawa Mental Health Centre.

In 2014, Shirley E. Greenberg was awarded the Outstanding Individual Philanthropist honour by the Association of Fundraising Professionals (AFP), in 2014. She was appointed to the Order of Canada in 2009 and awarded the Queen Elizabeth II Diamond Jubilee Medal, in 2012.

Shirley E. Greenberg died in 2022.
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Shirley Elizabeth (E.) Greenberg (née Schnell) est née de George Schnell et Elizabeth Bertha Schnell en 1931, à Ottawa, Ontario. En 1959, elle épouse Irving Greenberg (1928-1991) ; elle a trois enfants.

Tout au long de ses études de droit et de sa pratique professionnelle, Shirley E. Greenberg a œuvré en faveur de l'égalité juridique des femmes par le biais de la défense des droits, de la philanthropie et de l'éducation.

Au début des années 1970, Mme Greenberg a été inspirée par le féminisme de la deuxième vague et a décidé de poursuivre des études de droit à l'Université d'Ottawa. Elle a suivi les cours de la faculté de droit en tant qu'étudiante mûre, mariée et mère de trois enfants. Du 14 au 16 mars 1974, elle assiste à la conférence fondatrice de l'Association nationale de la femme et du droit (ANFD).

En collaboration avec la section de l'ANFD de l'Université d'Ottawa, Shirley E. Greenberg a participé à l'administration du projet d'été 1975 de l'organisation, en proposant des programmes de sensibilisation à l'impact des inégalités juridiques sur la vie des femmes.

Elle a également mené des recherches et écrit de nombreux articles sur des sujets juridiques touchant les femmes, tels que la garde des enfants, le droit de la famille, les pensions et l'assurance chômage. Elle a écrit pour des publications féministes telles que "Upstream".

Shirley E. Greenberg a participé à la fondation de l'Association du Centre des femmes d'Ottawa, une ressource vitale pour les femmes de la communauté. Elle a également été bénévole au Centre d'aide aux victimes de viols d'Ottawa et à Interval House.

Après avoir obtenu son diplôme de droit en 1976, Shirley E. Greenberg a cofondé en 1978 le premier cabinet d'avocats entièrement féminin d'Ottawa. Le cabinet accueille des femmes stagiaires, aidant ainsi les femmes à faire carrière dans le domaine du droit dans des espaces dominés par les hommes. Elle a reçu un doctorat honorifique de l'Université d'Ottawa en 2003.

Shirley E. Greenberg est également devenue une philanthrope reconnue. En 2005, elle a créé la Chaire Shirley E. Greenberg pour les femmes et la profession juridique au sein de la Section de common law de la Faculté de droit, destinée aux membres féministes de la faculté de droit. En 2005, elle a créé le Centre de santé des femmes Shirley E. Greenberg au campus Riverside de l'Hôpital d'Ottawa. En 2013, elle a financé le Shirley E. Greenberg Breast Cancer Imaging Suite à l'hôpital Queensway Carleton. Elle a également créé le Centre de ressources Shirley E. Greenberg pour les femmes au Centre de santé mentale Royal Ottawa.

En 2014, l'Association of Fundraising Professionals (AFP) a décerné à Shirley E. Greenberg le prix Outstanding Individual Philanthropist. Elle a été nommée membre de l'Ordre du Canada en 2009 et a reçu la Médaille du jubilé de diamant de la Reine Elizabeth II en 2012.

Shirley E. Greenberg est décédée en 2022.

Lakeman, Lee

  • Person
  • 1946-present
Lee Lakeman is a feminist activist, writer, and speaker who fought to end violence against women. Lee has worked with the Canadian Association of Sexual Assault Centers (CASAC) and Vancouver Rape Relief and Women's Shelter since 1977. At CASAC, she was regional representative for BC from 1984-2014 and, in 2003, wrote the report "Canada's Promises to Keep: The Charter and Violence Against Women" as part of a five-year project to unite Canadian feminist anti-violence groups to utilize shared knowledge of crisis work, research, and political activity. Lee authored the book "Obsession with Intent: Violence Against Women" (2005) and numerous articles published in academic and non-academic journals on violence against women and women's rights. In 1995, Lee served as special advisor to Canada's Federal Minister of Justice as part of the Canadian delegation to the Ninth United Nations Conference on Crime Prevention and Treatment of the Offender. In 2013, Lee received an honorary Doctor of Laws degree from the University of British Columbia in recognition of her service to social, economic, and legal equality for women.
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Lee Lakeman est une militante féministe, une écrivaine et une conférencière qui s'est battue pour mettre fin à la violence contre les femmes. Lee travaille avec l'Association canadienne des centres d'agression sexuelle (CASAC) et le Vancouver Rape Relief and Women's Shelter depuis 1977. Au sein de la CASAC, elle a été représentante régionale pour la Colombie-Britannique de 1984 à 2014 et, en 2003, elle a rédigé le rapport "Canada's Promises to Keep : The Charter and Violence Against Women" dans le cadre d'un projet quinquennal visant à unir les groupes féministes canadiens de lutte contre la violence afin d'utiliser les connaissances communes en matière de travail de crise, de recherche et d'activité politique. Lee est l'auteur du livre "Obsession with Intent : Violence Against Women" (2005) et de nombreux articles publiés dans des revues universitaires et non universitaires sur la violence contre les femmes et les droits des femmes. En 1995, Lee a été conseillère spéciale du ministre fédéral de la justice du Canada au sein de la délégation canadienne à la neuvième Conférence des Nations unies sur la prévention du crime et le traitement des délinquants. En 2013, Lee a reçu un doctorat honorifique en droit de l'Université de la Colombie-Britannique en reconnaissance de son action en faveur de l'égalité sociale, économique et juridique des femmes.

Kates, Morris

  • Person
  • 1923-2013
Morris Kates was born in Galati, Romania, in 1923. He came to Canada with his parents in 1924 and grew up in Toronto. He began his musical studies with violin lessons at the age of eleven and began composing music at sixteen. He discovered both science and music about the same time in High school. He studied music harmony, counterpoint, and composition as a hobby, along with his studies in science (physics, chemistry, and biochemistry) at the University of Toronto. He received his Ph.D. from the University of Toronto in 1948.
From 1950 until 1968 he worked at the National Research Council of Canada, Ottawa, first as a post-doctoral fellow and then as a research scientist. In 1968, he was appointed Professor of Biochemistry at the University of Ottawa, and in 1989 he retired as Professor Emeritus. He was renowned in the field of biochemistry for his discovery of the isopranyl glycerol diether lipids of Halobacterium and other members of the Halobacteriaceae. Among biochemists, Morris Kates is also best known for his textbook ‘Techniques in Lipidiology’ (1972, revised in 2010). Altogether Morris wrote about 250 scientific papers on lipid biochemistry and lipid metabolism. He received the Excellence in Research Award (1981), the Supelco Award for lipid research from the American Oil Chemist Society (1984) and was nominated as Fellow of the Royal Society of Canada (1973).
Lipid biochemistry was one field in which Morris Kates was famous, music was the second. He published more than 20 compositions that include orchestral works, chamber music, choral works, and more. He showed an interest in his compositions in Impressionism, twelve-tone technique, neoclassicism, and more recently, Renaissance music. His major works are: Variations for Strings (1964), Symphonia for Strings (1967), Sonata for Cello and Piano (1973), Piano Trio “Hommage à Einstein” (1979), Elegiac Variations for Solo ‘Cello (1984), Woodwind Quintet (1988), Sonata for Double Bass and Piano (1989), and Festine Suite (1990). The first two of these compositions won him the CBC (Ottawa) Music Award for 1965 and 1967, respectively. Variations for Strings and Festive Suite have been performed by the University of Ottawa Symphony Orchestra conducted by David Currie. He was an Associate Composer with the Canadian Music Centre and a member of the Canadian League of Composers.
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