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Authority record

Toronto Wages for Housework Committee

  • Corporate body
  • 1973-1986

"The Toronto Wages for Housework Committee (WFH) was a women’s group based in Toronto which began its operations around 1973. This committee was a branch of an international organization of the same name. It demanded that the federal and provincial governments pay wages for housework. It believed that housework kept women in the home, without financial independence from men. It also fought against the lower wages women received in paid employment, which also kept women dependent on a man’s income. The group attempted to rectify the inequality by launching campaigns in which isolated women could come together and struggle for their causes.

The Toronto Wages for Housework Committee gathered a large number of articles, pamphlets and newsletters from various organizations including the Wages for Housework Committee from other countries, organizations across Canada and several organizations from the Toronto area. The Wages for Housework Committee of Toronto often attended conferences on women's issues and kept themselves aware of the activities of other organizations. They were also active in organizing campaigns and producing articles related to wage issues. Although the date of their demise is not known, it appears from the documents that they ceased operation sometime in 1986.

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Le Toronto Wages for Housework Committee (WFH) est un groupe de femmes basé à Toronto qui a commencé ses activités vers 1973. Ce comité est une branche d'une organisation internationale du même nom. Il exige que les gouvernements fédéral et provinciaux versent des salaires pour les travaux ménagers. Il estime que les travaux ménagers maintiennent les femmes à la maison, sans indépendance financière par rapport aux hommes. Il lutte également contre les salaires inférieurs que les femmes reçoivent dans le cadre d'un emploi rémunéré, ce qui les maintient également dans une situation de dépendance par rapport au revenu d'un homme. Le groupe tente de remédier à l'inégalité en lançant des campagnes au cours desquelles les femmes isolées peuvent se réunir et lutter pour leurs causes.

Le Toronto Wages for Housework Committee a rassemblé un grand nombre d'articles, de brochures et de bulletins d'information provenant de diverses organisations, dont le Wages for Housework Committee d'autres pays, des organisations de tout le Canada et plusieurs organisations de la région de Toronto. Le Wages for Housework Committee de Toronto assiste souvent à des conférences sur les questions relatives aux femmes et se tient au courant des activités d'autres organisations. Il a également participé à l'organisation de campagnes et à la rédaction d'articles sur les questions salariales. Bien que la date de leur disparition ne soit pas connue, il semble, d'après les documents, que leurs activités aient cessé au cours de l'année 1986."

Association de la francophonie à propos des femmes en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques

  • Corporate body
  • 2003-

L’Association de la francophonie à propos des femmes en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques (AFFESTIM) a été officiellement lancée le 31 octobre 2003 à Trois-Rivières lors du Colloque Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques : des réflexions et des actions pour la relève. Elle est créée pour donner suite à une résolution des participantes de la Table-Ronde du Québec lors de l’International Conference of Women Engineers and Scientists (ICWES 12 – Ottawa, juillet 2002).

Le comité organisateur est composé de Louise Lafortune du Mouvement international pour les femmes et l’enseignement des mathématiques (MOIFEM, 1986-2003), de Claire Deschênes de la Chaire CRSNG/Alcan (1997-2006), et de Marie Bernard de la Chaire Marianne-Mareschal (1998-2016). Claire Deschênes devient la première présidente de l'AFFESTIM jusqu'en 2010 et secrétaire-trésorière jusqu'en 2018. Liette Vasseur succède à Claire Deschênes à la présidente de 2011 à 2013, suivie d’Anne Roy (2013-2014), de Marie Laroche (2015-2018). Claire Deschênes sera de nouveau présidente de l’association à partir de 2018 jusqu’à aujourd’hui.

La mission de l'association est de "regrouper des personnes physique ou morales, dans la francophonie, intéressées à promouvoir la participation, la rétention et l'avancement des femmes dans les champs liés aux STIM (Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques)". Ses objectifs sont de créer un réseau de la francophonie à propos des femmes en STIM, promouvoir l'accès et la rétention des femmes en STIM par des projets mobilisateurs et innovateurs, favoriser un réseau de personnes acceptant de devenir des modèles ou des mentors en STIM, réaliser des analyses et des recherches interdisciplinaires dans le domaine des femmes en STIM, promouvoir des pratiques et des stratégies innovatrices en milieu de travail et dans le domaine de l'éducation à propos des femmes en STIM, produire et diffuser des avis scientifiques sur les femmes en STIM. L’AFFESTIM revêt un caractère national puisqu’elle regroupe des membres des provinces du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse, de l’Ontario et du Québec. (Source: AFFESTIM. Au sujet de l'AFFESTIM - Mission et buts. En ligne: http://www.affestim.org/au-sujet-de-laffestim/mission-et-buts/).

L’association est membre de l’International Network of Women Engineers and Scientists (INWES).

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The Association de la francophonie à propos des femmes en sciences, technologies, ingénierie et mathématiques (AFFESTIM) was officially launched on October 31, 2003 in Trois-Rivières during the Colloque Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques : des réflexions et des actions pour la relève. It was created in response to a resolution of the participants of the Quebec Round Table at the International Conference of Women Engineers and Scientists (ICWES 12 - Ottawa, July 2002).

The organizing committee is composed of Louise Lafortune of the Mouvement international pour les femmes et l'enseignement des mathématiques (MOIFEM, 1986-2003), Claire Deschênes of the NSERC/Alcan Chair (1997-2006), and Marie Bernard of the Marianne-Mareschal Chair (1998-2016). Claire Deschênes became the first president of AFFESTIM until 2010 and secretary-treasurer until 2018. Liette Vasseur succeeds Claire Deschênes as president from 2011 to 2013, followed by Anne Roy (2013-2014), Marie Laroche (2015-2018). Claire Deschênes will again be president of the association from 2018 until today.

The mission of the association is "to bring together individuals and organizations in the French-speaking world interested in promoting the participation, retention and advancement of women in STEM (Science, Technology, Engineering and Mathematics) related fields". Its objectives are to create a network of the Francophonie about women in STEM, to promote access and retention of women in STEM through mobilizing and innovative projects, to foster a network of people willing to become role models or mentors in STEM, to carry out interdisciplinary analysis and research in the field of women in STEM, to promote innovative practices and strategies in the workplace and in education about women in STEM, to produce and disseminate scientific opinions about women in STEM. AFFESTIM is national in scope with members in the provinces of New Brunswick, Nova Scotia, Ontario and Quebec (Source: AFFESTIM. About AFFESTIM - Mission and goals. Online: http://www.affestim.org/au-sujet-de-laffestim/mission-et-buts/).

The association is a member of the International Network of Women Engineers and Scientists (INWES).

Miller Chenier, Nancy

  • Person
  • [196-?]-
Nancy Miller Chenier, DPhil., is a scholar and researcher whose work and studies combine social history with social policy. After completing her Doctor of Philosophy at Oxford University, Miller Chenier worked as a public policy professional. She has written on issues and policies relating to gender equality, including through her contract work with the Canadian Advisory Council on the Status of Women. She is currently co-chair of Ottawa’s Lowertown Community Association Heritage Committee.
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Nancy Miller Chenier, DPhil, est une universitaire et une chercheuse dont les travaux et les études combinent l'histoire sociale et la politique sociale. Après avoir obtenu son doctorat en philosophie à l'université d'Oxford, Mme Miller Chenier a travaillé comme professionnelle de la politique publique. Elle a écrit sur les questions et les politiques relatives à l'égalité des sexes, notamment dans le cadre de son travail contractuel avec le Conseil consultatif canadien sur la situation de la femme. Elle est actuellement coprésidente du comité du patrimoine de l'association communautaire de la Basse-Ville d'Ottawa.

Vance, Joanie

  • Person
  • 1953-
In the early 1970s, the issue of violence against women gained public attention, resulting in the establishment of numerous women’s shelters and Rape Crisis Centres across Canada. In May of 1975, the 22-year-old Joanie Vance began working at the Montreal Rape Crisis Centre. Vance coordinated the center with another woman until September 1976, at which point she was hired as the first-ever National Assistor for Canadian Rape Crisis Centres. This position was funded by Health and Welfare Canada through a demonstration project grant awarded to the Ottawa-Hull RCC. The purpose of the National Assistor was to combat the isolation of Canadian RCCs, and to coordinate efforts for funding, public education projects, and legal reform. A network of RCCs was established in order to share critical experience and information between RCCs. During her time as the National Assistor, Vance spearheaded invaluable projects including “How to Start a Rape Crisis Centre,” “The Rape Crisis Centre Training Manual for Volunteers,” “A Funding Manual for Rape Crisis Centres,” and “How to Write a Grant Application.” Vance also published and distributed a newsletter to all Canadian RCCs, keeping them informed of each other’s activities. She also organized and ran National RCC conferences, acted as a mediator between regional RCCs, and conducted research federal law enforcement procedures, hospital procedures, legal advocacy, and counselling techniques.

Au début des années 1970, la question de la violence à l'égard des femmes a attiré l'attention du public, ce qui a entraîné la création de nombreux refuges pour femmes et de centres d'aide aux victimes de viols dans tout le Canada. En mai 1975, Joanie Vance, âgée de 22 ans, commence à travailler au Centre d'aide aux victimes de viol de Montréal. Elle coordonne le centre avec une autre femme jusqu'en septembre 1976, date à laquelle elle est engagée comme première assistante nationale pour les centres d'aide aux victimes de viols du Canada. Ce poste est financé par Santé et Bien-être social Canada par le biais d'une subvention accordée au CCR d'Ottawa-Hull dans le cadre d'un projet de démonstration. L'objectif de l'assistante nationale était de lutter contre l'isolement des CCR canadiens et de coordonner les efforts en matière de financement, de projets d'éducation du public et de réforme juridique. Un réseau de RCC a été mis en place afin de partager les expériences et les informations critiques entre les RCC. En tant qu'assistante nationale, Vance a mené des projets inestimables, notamment "Comment créer un centre d'aide aux victimes de viol", "Le manuel de formation des bénévoles du centre d'aide aux victimes de viol", "Un manuel de financement pour les centres d'aide aux victimes de viol" et "Comment rédiger une demande de subvention". Mme Vance a également publié et distribué un bulletin d'information à tous les CCR canadiens, afin de les tenir informés des activités de chacun. Elle a également organisé et dirigé les conférences nationales des CCR, joué le rôle de médiatrice entre les CCR régionaux et mené des recherches sur les procédures fédérales d'application de la loi, les procédures hospitalières, la défense des intérêts juridiques et les techniques de conseil.

Nelson Violence Against Women in Relationship Coordination Committee

  • Corporate body
The Nelson Violence Against Women in Relationship Coordination Committee (VAWIR) is a committee of service providers and representatives from the sectors involved in preventing and responding to violence against women. The Advocacy Centre was a member of the committee. Their objectives were to improve collaboration, coordination and education around ending around ending violence against women in Nelson.
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Le Nelson Violence Against Women in Relationship Coordination Committee (VAWIR) est un comité de prestataires de services et de représentants des secteurs impliqués dans la prévention et la réponse à la violence contre les femmes. L'Advocacy Centre était membre de ce comité. Ses objectifs étaient d'améliorer la collaboration, la coordination et l'éducation autour de l'élimination de la violence à l'égard des femmes à Nelson.

International Network of Women Engineers and Scientists

  • Corporate body
  • 2002-

INWES is the International Network for Women Engineers and Scientists. It is a global non-profit organization that serves to strengthen the capacity of individuals and organizations related to women in STEM worldwide through the exchange of information, networking, and advocacy activities to increase the presence of women in STEM worldwide and to be a responsible voice and influence on scientific issues for the benefit of society and the environment.

The International Conference for Women Engineers and Scientists (ICWES) has been taking place for twelve years before delegates decided to create a network of organizations that represent women in STEM fields in 2001. INWES was founded in 2002, and took over the management of the ICWES which first took place in 1964 in New York and has met every 3–4 years since then. ICWES serves as a meeting point for women practitioners in science and engineering from across the world. Since INWES took over the management of the conference, it has taken place in Ottawa, Canada (2002); Seoul, Korea (2005); Lille, France (2008); Adelaide, Australia (2011); Los Angeles, USA (2014); and New Delhi, India (2017). ICWES 18 will take place in Coventry, UK, in 2021.

In 2003, INWES was declared a non-profit corporation under Canadian law. In April 2008, INWES became an official NGO partner of the operational type with UNESCO. This partnership involves dynamic cooperation to help women and girls worldwide to have access to education, especially in Science and Engineering.Since 2017, INWES has had consultative status with ECOSOC (United Nations Economic and Social Council) and in January 2019, INWES was admitted by the Conference of the Parties as observers to the UNFCCC (United Nations Framework Convention on Climate Change). INWES supports the work of UN Women and the Commission for the Status of Women. As of June 2019, INWES represents over 250,000 women from 60 countries around the globe. INWES continues to exist as an organization and it sponsors workshops, conferences, and research, publishes a newsletter, and hosts regional meetings throughout the world.

Monique Frize, Claire Deschênes, Gail Mattson were INWES founding members.
Monique Frize was president from 2002 to 2008.
Claire Deschênes was general secretary from 2002 to 2008.
Jung Sun Kim is current president since 2020.

https://www.inwes.org/
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INWES est le réseau international des femmes ingénieurs et scientifiques. Il s'agit d'une organisation mondiale à but non lucratif qui vise à renforcer la capacité des personnes et des organisations liées aux femmes dans les STIM dans le monde entier par l'échange d'informations, la mise en réseau et les activités de sensibilisation afin d'accroître la présence des femmes dans les STIM dans le monde entier et d'être une voix responsable et d'influencer les questions scientifiques au profit de la société et de l'environnement.

La Conférence internationale des femmes ingénieurs et scientifiques (ICWES) a eu lieu pendant douze ans avant que les délégués ne décident de créer un réseau d'organisations représentant les femmes dans les domaines des STIM en 2001. INWES a été fondé en 2002 et a repris la gestion de l'ICWES, qui a eu lieu pour la première fois en 1964 à New York et s'est réunie tous les trois ou quatre ans depuis lors. L'ICWES sert de point de rencontre pour les femmes pratiquant les sciences et l'ingénierie dans le monde entier. Depuis que l'INWES a repris la gestion de la conférence, celle-ci a eu lieu à Ottawa, Canada (2002) ; Séoul, Corée (2005) ; Lille, France (2008) ; Adélaïde, Australie (2011) ; Los Angeles, États-Unis (2014) ; et New Delhi, Inde (2017). ICWES 18 aura lieu à Coventry, au Royaume-Uni, en 2021.

En 2003, INWES a été déclarée société à but non lucratif en vertu de la loi canadienne. En avril 2008, INWES est devenu une ONG partenaire officielle de type opérationnel de l'UNESCO. Ce partenariat implique une coopération dynamique pour aider les femmes et les filles du monde entier à avoir accès à l'éducation, en particulier dans le domaine des sciences et de l'ingénierie.Depuis 2017, INWES a un statut consultatif auprès de l'ECOSOC (Conseil économique et social des Nations unies) et en janvier 2019, INWES a été admis par la Conférence des Parties en tant qu'observateurs à la CCNUCC (Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques). INWES soutient le travail d'ONU Femmes et de la Commission de la condition de la femme. En juin 2019, INWES représente plus de 250 000 femmes de 60 pays du monde entier. INWES continue d'exister en tant qu'organisation et parraine des ateliers, des conférences et des recherches, publie un bulletin d'information et organise des réunions régionales dans le monde entier.

Monique Frize, Claire Deschênes et Gail Mattson sont les membres fondateurs d'INWES.
Monique Frize a été présidente de 2002 à 2008.
Claire Deschênes a été secrétaire générale de 2002 à 2008.
Jung Sun Kim est l'actuel président depuis 2020.

https://www.inwes.org/

Frize, Monique

  • Person
  • 1942-

Monique Frize, née Aubry (1942 - ), is a Canadian researcher and engineer in the biomedical field. She was the first women to study engineering at the University of Ottawa and graduated with a Bachelor of Applied Science (Electrical Engineering) in 1966. She received an Athlone Fellowship and completed a Master’s in Philosophy in Electrical Engineering (Engineering in Medicine) at the Imperial College of Science and Technology in London (United Kingdom), a Master’s of Business Administration at the University of Moncton (New Brunswick), and a doctorate from Erasmus Universiteit in Rotterdam (The Netherlands).

Monique Frize worked as a clinical engineer for 18 years. She started her career at the Hôpital Notre-Dame in Montreal. In 1979, she was appointed Director of the Regional Clinical Engineering Service in Moncton (New Brunswick) and became the first Chair of the Division of Clinical Engineering for the International Federation of Medical and Biological Engineering (IFMBE) in 1985. In 1989, she was appointed the first holder of the national Northern Telecom/NSERC Chair for women in engineering at the University of New Brunswick, and professor in the Electrical department. In 1990, she was named chair of the Canadian Committee for Women in Engineering (CCWE). In 1997, she joined Carleton University, as a Professor in the Department of Systems and Computer Engineering, and the University of Ottawa, as a Professor in the School of Information Technology and Engineering. She also held the Ontario NSERC/Nortel Chair for women in science and engineering. She is a founding member of International Network of Women Engineers and Scientists (INWES) and was its president between 2002 and 2008. In 2007, she founded INWES Education and Research Institute (ERI), now the Canadian Institute for Women in Engineering and Sciences (CIWES) and served as president until 2022.

As a biomedical engineer, Monique Frize is knowledgeable in medical instruments and decision support systems. She developed a software program to predict complications in premature babies and perfected a technique that uses an infrared camera to detect the presence of arthritis. Throughout her career, she has been active in promoting women in leadership roles in science and engineering. As a role model for women engineers, she taught, conducted research, and lead campaigns to encourage young women to pursue careers in engineering. She is the author of more than 200 scientific papers in peer reviewed journals and proceedings. She has published several books such as The Bold and the Brave: A history of women in science and engineering (2009), Laura Bassi and Science in 18th Century Europe (2013), Ethics for Bioengineers (2011), and Health Care Engineering Parts I and II (2013). She has received many honours and awards including honorary doctorates from several Canadian Universities. She was inducted as Officer of the Order of Canada in 1993.
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Monique Frize, née Aubry (1942 - ), est une chercheuse et ingénieure canadienne dans le domaine biomédical. Elle a été la première femme à étudier l'ingénierie à l'université d'Ottawa et a obtenu une licence en sciences appliquées (génie électrique) en 1966. Elle a reçu une bourse Athlone et a obtenu une maîtrise en philosophie en génie électrique (ingénierie en médecine) à l'Imperial College of Science and Technology de Londres (Royaume-Uni), une maîtrise en administration des affaires à l'Université de Moncton (Nouveau-Brunswick) et un doctorat à l'Erasmus Universiteit de Rotterdam (Pays-Bas).

Monique Frize a travaillé comme ingénieur clinicien pendant 18 ans. Elle a commencé sa carrière à l'hôpital Notre-Dame de Montréal. En 1979, elle est nommée directrice du service régional d'ingénierie clinique à Moncton (Nouveau-Brunswick) et devient la première présidente de la division d'ingénierie clinique de la Fédération internationale d'ingénierie médicale et biologique (IFMBE) en 1985. En 1989, elle est nommée première titulaire de la chaire nationale Northern Telecom/NSERC pour les femmes en ingénierie à l'Université du Nouveau-Brunswick, et professeur au département d'électricité. En 1990, elle est nommée présidente du Comité canadien des femmes en ingénierie (CCWE). En 1997, elle a rejoint l'université Carleton en tant que professeur au département d'ingénierie des systèmes et de l'informatique, et l'université d'Ottawa en tant que professeur à l'école de technologie et d'ingénierie de l'information. Elle a également été titulaire de la chaire CRSNG/Nortel de l'Ontario pour les femmes en sciences et en ingénierie. Elle est membre fondateur de l'International Network of Women Engineers and Scientists (INWES), dont elle a été présidente entre 2002 et 2008. En 2007, elle a fondé l'Institut d'éducation et de recherche (ERI) d'INWES, (maintenant l'Institut canadienne pour les femmes en ingénerie et sciences) et en a été la présidente jusqu'en 2022.

En tant qu'ingénieur biomédical, Monique Frize connaît bien les instruments médicaux et les systèmes d'aide à la décision. Elle a développé un logiciel permettant de prédire les complications chez les prématurés et a mis au point une technique utilisant une caméra infrarouge pour détecter la présence d'arthrite. Tout au long de sa carrière, elle s'est employée à promouvoir les femmes dans des rôles de direction en sciences et en ingénierie. En tant que modèle pour les femmes ingénieurs, elle a enseigné, mené des recherches et mené des campagnes pour encourager les jeunes femmes à poursuivre des carrières dans l'ingénierie. Elle est l'auteur de plus de 200 articles scientifiques publiés dans des revues et des actes de congrès évalués par des pairs. Elle a publié plusieurs ouvrages tels que The Bold and the Brave : A history of women in science and engineering (2009), Laura Bassi and Science in 18th Century Europe (2013), Ethics for Bioengineers (2011) et Health Care Engineering Parts I and II (2013). Elle a reçu de nombreuses distinctions et récompenses, notamment des doctorats honorifiques de plusieurs universités canadiennes. Elle a été intronisée Officier de l'Ordre du Canada en 1993.

Curzon, Dorothy

  • Person
  • 1924-March 12, 2014

Dorothy Jane Curzon (née Sanders) was a feminist activist and one of the founders of the New Feminists Organization in Toronto, which participated in numerous demonstrations and welcomed members of diverse political affiliation. Curzon taught accounting at Sheridan College from 1965-1975, having obtained her chartered accountant certificate from the University of Toronto. Curzon had three children with her husband, David Macklem Curzon.

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Dorothy Jane Curzon (née Sanders) était une militante féministe et l'une des fondatrices de "New Feminists Organization" à Toronto, qui a participé à de nombreuses manifestations et accueilli des membres de diverses affiliations politiques. Curzon a enseigné la comptabilité au Sheridan College de 1965 à 1975, après avoir obtenu son certificat de comptable agréé à l'université de Toronto. Mme Curzon a eu trois enfants avec son mari, David Macklem Curzon.

Brockenshire, Eleanor

  • Person

Eleanor Brockenshire is a photographer living in Vancouver. While completing a Master's of Social Work at the University of Toronto in the early 1980s, she was involved with the Notso Amazon Softball League of Toronto (NASL).

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Eleanor Brockenshire est une photographe qui vit à Vancouver. Au début des années 1980, alors qu'elle préparait une maîtrise en travail social à l'université de Toronto, elle s'est impliquée dans la Notso Amazon Softball League of Toronto (NASL).

Canadian Women's Movement Archives (CWMA)

  • Canada
  • Corporate body
  • 1977-1992

The origins of what later became the CWMA/ACMF were the records of the Toronto feminist newspaper The Other Woman. When the newspaper ceased publication in 1977, Pat Leslie, editor of The Other Woman, moved the newspaper’s records into her apartment and was the custodian of the first Canadian Women’s Archives (CWMA) documents. From 1977 until 1982, she preserved The Other Woman records and some additional material relating to the Canadian Women’s Movement in her apartment. In 1983, working with a group of women including Nancy Adamson, Sandy Fox, Weisia Kolansinka and Lorna Weir under the banner of the NGO the Women’s Information Center (WIC) , a registered Canadian charity, an application was made for a Canada Community Development Grant. This allowed the group to rent a room in a building on the corner of Spadina Avenue and College Street in Toronto where they moved the documents from Pat Leslie’s apartment and it was here they began to collect records and documents related to the Canadian Women’s Movement. The CWMA Collective took responsibility for the collection from 1983 forward. That collective, which changed in membership over the years, operated the Canadian Women’s Movement Archives/ACMF, until it was relocated to the University of Ottawa in 1992. Members of the collective who were active for a significant period of time included: Nancy Adamson, Jane Abray, Karen Dubinsky, Sandy Fox, Debbie A. Green, Luanne Karn, Andrea Knight, Weisia Kolasinska, Pat Leslie, Anne Molgat, Beth McAuley, Joanne Pelletier, Margaret Shepherd, Miriam Ticoll, Tori Smith, and Lorna Weir.

After the opening of the public CWMA in 1983/84, the collection was catalogued and became available to researchers. Various grants, annual yard sales, and other fundraising allowed the CWMA/ACMF collective to hire staff from time to time, to actively collect the records of women’s groups across Canada and to promote the CWMA/ACMF. In 1991 the Collective decided that it was no longer possible to maintain the CWMA/ACMF as an independent organization and sought interest from other archives and universities in the collection. The Collective felt that the collection’s credibility rested on the fact that it came out of the women’s movement and was nurtured by feminists and operated in a manner consistent with those principles. As much as possible the Collective wanted to place the collection with an institution that would respect that. Ultimately, the Collective decided to donate the CWMA/ACMF records to the University of Ottawa. Both parties agreed that the CWMA/ACMF collection would be maintained in its entirety as a separate collection with the hope that additional records from the Canadian women’s movement would be collected by the Archives and Special Collections.

In 1992 the CWMA/ACMF records were donated to the University of Ottawa, who “took over the CWMA/ACMF’s mandate” and started accepting new donations that would become a part of an ongoing collection documenting the groups and individuals who made up the Canadian Women’s Movement.

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Les archives du journal féministe torontois The Other Woman ont été à l'origine de ce qui est devenu plus tard l'ACMF/CWMA. Lorsque le journal a cessé de paraître en 1977, Pat Leslie, rédactrice en chef de The Other Woman, a déménagé les archives du journal dans son appartement et a été la gardienne des premiers documents des Archives canadiennes des femmes (ACFM). De 1977 à 1982, elle conserve dans son appartement les archives de The Other Woman et quelques autres documents relatifs au Mouvement canadien des femmes. En 1983, en collaboration avec un groupe de femmes comprenant Nancy Adamson, Sandy Fox, Weisia Kolansinka et Lorna Weir, sous la bannière de l'ONG Women's Information Center (WIC), une organisation caritative canadienne enregistrée, une demande de subvention pour le développement communautaire a été déposée. Cette subvention a permis au groupe de louer une pièce dans un immeuble situé à l'angle de l'avenue Spadina et de la rue College à Toronto. C'est là qu'elles ont déménagé les documents de l'appartement de Pat Leslie et qu'elles ont commencé à rassembler des dossiers et des documents relatifs au Mouvement canadien des femmes. Le collectif CWMA a pris la responsabilité de la collection à partir de 1983. Ce collectif, dont la composition a changé au fil des ans, a géré les Archives du Mouvement canadien des femmes/ACMF jusqu'à leur déménagement à l'Université d'Ottawa en 1992. Les membres du collectif qui ont été actifs pendant une longue période sont les suivants : Nancy Adamson, Jane Abray, Karen Dubinsky, Sandy Fox, Debbie A. Green, Luanne Karn, Andrea Knight, Weisia Kolasinska, Pat Leslie, Anne Molgat, Beth McAuley, Joanne Pelletier, Margaret Shepherd, Miriam Ticoll, Tori Smith et Lorna Weir.
Après l'ouverture de l’ACMF en 1983/84, la collection a été cataloguée et mise à la disposition des chercheurs. Diverses subventions, des vide-greniers annuels et d'autres collectes de fonds ont permis au collectif CWMA/ACMF d'embaucher du personnel de temps à autre, de collecter activement les documents des groupes de femmes à travers le Canada et de promouvoir le CWMA/ACMF. En 1991, le collectif a décidé qu'il n'était plus possible de maintenir l'ACMF/CWMA en tant qu'organisation indépendante et a cherché à intéresser d'autres archives et universités à la collection. Le Collectif a estimé que la crédibilité de la collection reposait sur le fait qu'elle était issue du mouvement des femmes, qu'elle avait été alimentée par des féministes et qu'elle fonctionnait selon ces principes. Dans la mesure du possible, le collectif souhaitait confier la collection à une institution qui respecterait ces principes. En fin de compte, le Collectif a décidé de faire don des documents de l'ACMF à l'Université d'Ottawa. Les deux parties ont convenu que la collection de l'ACMF/CWMA serait conservée dans son intégralité en tant que collection distincte, dans l'espoir que les Archives et les Collections spéciales recueillent d'autres documents sur le mouvement des femmes au Canada.
En 1992, les documents de l'ACMF/CWMA ont été donnés à l'Université d'Ottawa, qui a ""repris le mandat de l'ACMF/CWMA"" et a commencé à accepter de nouveaux dons qui feraient partie d'une collection permanente documentant les groupes et les individus qui ont fait partie du Mouvement canadien des femmes.

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