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Authority record

Victoria Rape Relief Society

  • Corporate body
  • 1975-1982
The Victoria Rape Crisis Centre was established in 1975 by a group of women as a self-funded collective. It formed a coalition with other rape crisis centres in British Columbia in order to pool funding applications. The founders’ objectives were to provide rape crisis advocacy and to help women establish and increase control over their lives, to enquire into the causes of sexual violence, and to raise awareness about rape as serious crime. The centre employed two staff members, recruited several volunteers and was composed of different committees. The members aimed to develop a horizontal collective. The collective proposed presentations in high schools. They offered various workshops and courses on women’s self-defence, on-call counselling for women who had been raped or assaulted. They worked with the police in order to assist raped women and help them with the legal process. In 1977, the Victoria Rape Crisis Centre received a grant from the federal government to produce a booklet. Staff members and volunteers collaborate to produce the Booklet “Rape”. The Centre also participated to the creation of the Canadian Association of Sexual Assault Centres. It hosted a national conference in 1978 with the objective to form this association. The Victoria Rape Society was closed in 1982. The “Victoria Sexual Assault Centre” was founded the same year and opened its doors in 1983. Contrary to the original centre, the “Victoria Sexual Assault Centre” was not part of the British Columbia coalition crisis centres.
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Le Victoria Rape Crisis Centre a été créé en 1975 par un groupe de femmes sous la forme d'un collectif autofinancé. Il a formé une coalition avec d'autres centres d'aide aux victimes de viols en Colombie-Britannique afin de regrouper les demandes de financement. Les objectifs des fondateurs étaient de fournir des services d'aide aux victimes de viols et d'aider les femmes à prendre le contrôle de leur vie, d'enquêter sur les causes de la violence sexuelle et de sensibiliser la population au fait que le viol est un crime grave. Le centre employait deux personnes, recrutait plusieurs bénévoles et était composé de différents comités. Les membres avaient pour objectif de développer un collectif horizontal. Le collectif a proposé des présentations dans les écoles secondaires. Il a proposé divers ateliers et cours sur l'autodéfense des femmes, ainsi qu'un service de conseil sur appel pour les femmes violées ou agressées. Il travaille avec la police afin d'assister les femmes violées et de les aider dans leurs démarches juridiques. En 1977, le Victoria Rape Crisis Centre a reçu une subvention du gouvernement fédéral pour produire une brochure. Les membres du personnel et les bénévoles collaborent à la production de la brochure ""Rape"". Le Centre a également participé à la création de l'Association canadienne des centres d'aide aux victimes d'agression sexuelle. Il a accueilli une conférence nationale en 1978 dans le but de créer cette association. La Victoria Rape Society a été fermée en 1982. Le ""Victoria Sexual Assault Centre"" a été fondé la même année et a ouvert ses portes en 1983. Contrairement au centre d'origine, le ""Victoria Sexual Assault Centre"" ne faisait pas partie de la coalition des centres de crise de la Colombie-Britannique.

Women's Studies Program, University of Ottawa / Progamme en Études des femmes, Université d'Ottawa

  • Corporate body
  • 1980-1999
In the 1970s, a few pioneers women from various disciplines such as English, History, French Letters, Psychology, Political Science, Religious Studies and Sociology developed the first courses dealing with women's issues at the University of Ottawa. In the 1980s, a coordinating committee made up of professors and students from the Faculty of Arts and the Faculty of Social Sciences developed the framework for a program in Women's Studies. In 1983, the creation of a bilingual program in Women's Studies was officially approved by the Senate. The program is offered at the undergraduate level and is attached to the Office of the Vice-President, Academic. In 1985, the Department of the Secretary of State granted a Joint Chair in Women's Studies at the Universities of Ottawa and Carleton. In 1995, a fully bilingual, multidisciplinary program in Women's Studies at the Master's level was established. The objective of the program is to combine graduate studies in a particular discipline with the feminist approach and issues developed in Women's Studies. In 1999, the Women's Studies Institute replaced the Women's Studies program. In 2004, the Women's Studies Institute was transferred to the administration of the Faculty of Social Sciences. In 2014, the Women's Studies Institute becomes the Institute of Women's and Gender Studies. (Source : https://socialsciences.uottawa.ca/feminist-gender-studies/about-institute/milestones)
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Dans les années 1970, quelques pionnières provenant de diverses disciplines telles que English, Histoire, Lettres françaises, Psychologie, Sciences politique, Sciences religieuses et Sociologie développement les premiers cours traitant de questions reliées aux femmes à l’Université d’Ottawa. Dans les années 1980, un comité de coordination constitué de professeures et d’étudiantes de la Faculté des arts et de la Faculté des sciences sociales, conçoit le canevas d’un programme en études des femmes. En 1983, la création d’un programme bilingue en études des femmes est approuvée officiellement par le Sénat. Le programme est offert au niveau du premier cycle et rattaché au cabinet du vice-recteur aux études. En 1985, le Secrétariat d’État accorde une Chaire conjointe en études des femmes aux Universités d’Ottawa et de Carleton. En 1995, un programme pluridisciplinaire entièrement bilingue en études des femmes au niveau de la maîtrise est mis en place. L’objectif du programme est de combiner des études de deuxième cycle dans une discipline particulière avec l’approche féministe et les problématiques développées en études des femmes. En 1999, l’Institut d’études des femmes remplace le programme en études des femmes. En 2004, l’Institut d’études des femmes passe sous l’administration de la Faculté des sciences sociales. En 2014, l'Institut d'études des femmes devient l'Institut d'études féministes et de genre. (Source : https://sciencessociales.uottawa.ca/etudes-feministes-genre/institut-bref/chemin-parcouru )

Women's Legal Education and Action Fund (LEAF)

  • Corporate body
  • 1985-
Women's Legal Education and Action Fund (LEAF) is a national, charitable, non-profit organization, founded in 1985. LEAF works to advance the substantive equality rights of women and girls in Canada through litigation, law reform and public education using the Canadian Charter of Rights and Freedoms.
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Le Fonds d'action et d'éducation juridiques pour les femmes (FAEJ) est une organisation caritative nationale à but non lucratif, fondée en 1985. Le FAEJ s'efforce de faire progresser les droits à l'égalité réelle des femmes et des filles au Canada par le biais du contentieux, de la réforme du droit et de l'éducation du public en s'appuyant sur la Charte canadienne des droits et libertés.

Antoine, André

  • Person
  • 1858-1943
André Antoine est un comédien, metteur en scène, directeur de théâtre, réalisateur et critique dramatique français né le 31 janvier 1858 à Limoges et mort le 19 octobre 1943 au Pouliguen. Considéré comme l'inventeur de la mise en scène moderne en France, il a donné son nom au Théâtre Antoine à Paris.

Womynly Way Productions

  • Corporate body
  • 1980-?
Formed in 1980, Womynly Way Productions is a non-profit organization producing professional concerts, dance, comedy and theatrical performances featuring primarily women artists. Making cultural events accessible to differently-abled people, including the hearing-impaired, and those who use wheel chairs, is stressed whenever possible. They also provide free childcare at all events.
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Créée en 1980, Womynly Way Productions est une organisation à but non lucratif qui produit des concerts professionnels, des spectacles de danse, des comédies et des représentations théâtrales mettant en scène principalement des femmes. Dans la mesure du possible, l'accent est mis sur l'accessibilité des événements culturels aux personnes à mobilité réduite, y compris les malentendants et les personnes en fauteuil roulant. L'association propose également un service de garde d'enfants gratuit lors de tous les événements.

Women Plan Toronto

  • Corporate body
  • 1985-2004

In 1982, a ground-breaking conference about gender perspective on urban issues was organized in Toronto by Women In/And Planning (WIAP). It sought to examine the underlying disconnections between urban planning practices and women’s needs.

In 1985, the creation of Women Plan Toronto (WPT) was inspired by an article in Women Environment about Women Plan London (WPL) in the UK. Reggie Modlich was a founding member of WPT and its main coordinator. It was supported by a grant from the federal government via the Status of Women agency as well as by WIAP.
Reggie Modlich defined WPT as ‘a grassroots women’s organization that uses participatory methods to involve diverse women in changing urban planning processes and outcomes in Toronto. Its purpose is to raise awareness and advocate alternatives for addressing women’s planning concerns’.

WPT was composed of a voluntary committee called ‘circles’ in order to avoid the traditional male hierarchical structure of organization. All members who attended a meeting could be part of the decision-making process. Thus, WPT started to exploring gender issues in urban planning by holding informal discussions. Women from various social backgrounds were invited to talk about their experiences and ideas relating to Toronto’s urban environment. The groups explored issues related to child care, public transit, personal safety, municipal governance and elections, housing, and urban planning.

Barbara Loevinger Rahder explains that ‘the structure of the organization, fluctuated with its memberships, depending on who is involved what their interests are, and what issues are on the public agenda (or put on the public agenda by WPT). There [was] one part-time staff member, and a core of about seven or eight volunteers who [were] usually very active in the circles and on various projects. Another fifty women or so [were] less active members, and up to another 3000 individuals and organizations [were] part of a broader network which [was] kept informed and sometimes mobilized around important issues and events’.

From 1985 to 1998, WPT took up various issues and started executing various projects. In this way, during the 1980s and 1990s, WPT had a direct impact on urban planning in Toronto: ‘For more than a decade, the organization has worked to focus attention on women’s needs in the city, to critique the inequities of mainstream planning, and to develop alternative visions of what planning and urban life would be like if women diverse needs were taken into account’.

In 2004, Toronto Women’s City Alliance (TWCA) succeeded WPT.
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En 1982, une conférence innovante sur la perspective de genre dans les questions urbaines a été organisée à Toronto par Women In/And Planning (WIAP). Cette conférence visait à examiner les décalages sous-jacents entre les pratiques d'urbanisme et les besoins des femmes.

En 1985, la création de Women Plan Toronto (WPT) a été inspirée par un article paru dans Women Environment sur Women Plan London (WPL) au Royaume-Uni. Reggie Modlich est l'un des membres fondateurs du WPT et son principal coordinateur. Il a bénéficié d'une subvention du gouvernement fédéral par l'intermédiaire de l'agence de la condition féminine ainsi que du WIAP.
Reggie Modlich a défini WPT comme "une organisation de femmes de la base qui utilise des méthodes participatives pour impliquer diverses femmes dans la modification des processus et des résultats de la planification urbaine à Toronto. Son objectif est de sensibiliser et de préconiser des alternatives pour répondre aux préoccupations des femmes en matière d'urbanisme".

WPT se compose d'un comité volontaire appelé "cercles" afin d'éviter la structure hiérarchique masculine traditionnelle de l'organisation. Tous les membres qui assistaient à une réunion pouvaient participer au processus de prise de décision. C'est ainsi que la WPT a commencé à explorer les questions de genre dans la planification urbaine en organisant des discussions informelles. Des femmes de différents milieux sociaux ont été invitées à parler de leurs expériences et de leurs idées concernant l'environnement urbain de Toronto. Les groupes ont exploré les questions liées à la garde d'enfants, aux transports publics, à la sécurité personnelle, à la gouvernance et aux élections municipales, au logement et à l'urbanisme.

Barbara Loevinger Rahder explique que "la structure de l'organisation fluctuait en fonction de ses membres, des personnes impliquées, de leurs intérêts et des questions à l'ordre du jour (ou mises à l'ordre du jour par WPT). Il y avait une employée à temps partiel et un noyau d'environ sept ou huit bénévoles qui étaient généralement très actifs dans les cercles et dans divers projets. Une cinquantaine d'autres femmes étaient des membres moins actifs, et jusqu'à 3 000 autres personnes et organisations faisaient partie d'un réseau plus large qui était tenu informé et parfois mobilisé autour de questions et d'événements importants.

De 1985 à 1998, la WPT s'est penchée sur diverses questions et a commencé à mettre en œuvre divers projets. Ainsi, au cours des années 1980 et 1990, la WPT a eu un impact direct sur la planification urbaine à Toronto : Pendant plus d'une décennie, l'organisation s'est efforcée d'attirer l'attention sur les besoins des femmes dans la ville, de critiquer les inégalités de la planification traditionnelle et de développer des visions alternatives de ce que la planification et la vie urbaine pourraient être si les divers besoins des femmes étaient pris en compte.

En 2004, la Toronto Women's City Alliance (TWCA) a succédé à WPT.

Lenskyj, Helen

  • Person
  • 1979-[2000]

Helen Jefferson Lenskyj was born in Sydeny, Australia and moved to Toronto, Canada 1966. From 1972 to 1983, she completed her BA, MA, and Ph.D. at the University of Toronto. In 1986, she began teaching part-time at the University of Toronto. In 1990, she was appointed Associate Professor at the Ontario Institute for Studies in Education (O.I.S.E.), at the University of Toronto. Between 1986 and 2007, she was Professor of Sociology and Equity Studies in Education at the University of Toronto. She was also involved with the Centre for Women’s Studies in Education (CWSE) at the University, mostly with the subcommittee that she coordinated, which investigated a free-standing women’s studies program.

Helen is currently Professor Emerita of Sociology and Equity Studies in Education at the University of Toronto. Since the 1970s, she has been involved in several community activist groups, including the Feminist Party of Canada (F.P.C.). She continues to work as a researcher, writer, public speaker and community activist. She has published books and numerous book chapters, journal and magazine articles on women, sport, sexuality, and the Olympic industry.
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Helen Jefferson Lenskyj est née à Sydeny, en Australie, et s'est installée à Toronto, au Canada, en 1966. De 1972 à 1983, elle a obtenu sa licence, sa maîtrise et son doctorat à l'université de Toronto. En 1986, elle a commencé à enseigner à temps partiel à l'université de Toronto. En 1990, elle est nommée professeur associé à l'Institut d'études pédagogiques de l'Ontario (O.I.S.E.), à l'Université de Toronto. Entre 1986 et 2007, elle a été professeur de sociologie et d'études sur l'équité en éducation à l'université de Toronto. Elle a également participé aux activités du Centre for Women's Studies in Education (CWSE) de l'université, notamment au sein du sous-comité qu'elle a coordonné et qui s'est penché sur la création d'un programme autonome d'études féminines.

Helen est actuellement professeur émérite de sociologie et d'études sur l'équité en éducation à l'université de Toronto. Depuis les années 1970, elle s'est impliquée dans plusieurs groupes d'activistes communautaires, dont le Parti féministe du Canada (F.P.C.). Elle continue à travailler en tant que chercheuse, écrivain, conférencière et activiste communautaire. Elle a publié des livres et de nombreux chapitres de livres, des articles de revues et de magazines sur les femmes, le sport, la sexualité et l'industrie olympique.

Committee Against Street Harassment (CASH)

  • Corporate body
  • 1979-[1985]
In 1977, Margaret Dwight-Spore founded Better End All Vicious Erotic Repression (B.E.A.V.E.R), an organization dedicated to decriminalizing prostitution in Canada. Around 1979 BEAVER changed its name to Committee Against Street Harassment (CASH). It offered legal advice, counselling, referrals and support to sex workers and also provided education through public discussion. It was disbanded in the early 1980s.
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En 1977, Margaret Dwight-Spore fonde Better End All Vicious Erotic Repression (B.E.A.V.E.R), une organisation visant à décriminaliser la prostitution au Canada. Vers 1979, BEAVER change de nom et devient Committee Against Street Harassment (CASH). Il offrait des conseils juridiques, une orientation, des références et un soutien aux travailleurs du sexe et assurait également une éducation par le biais de débats publics. Il a été dissous au début des années 1980.

Matisko family

  • Family
  • 1902-
Ján (John) Matisko was born in 1902 in Slovakia. According to a letter written by one of his former students, he was a teacher in Prešov, a city in eastern Slovakia. He and his wife Martha had a son named Barney. According to his correspondence, he may have arrived in the United States in 1949 and settled in New Kensington, Pennsylvania. He passed away in 1974.

Billings, Rosemary

  • Person
Rosemary Billings was an activist and lobbyist who worked as an executive member of the National Action Committee on the Status of Women and the Ad Hoc Committee of Canadian Women on the Constitution, which fought for inclusion of Section 28 in the Canadian Charter of Rights and Freedoms – ensuring the recognition of the equality of women and men. Rosemary Billings was also a Federal Government employee, retiring in 2003. She lives in Ottawa, Ontario.
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Rosemary Billings était une militante et une lobbyiste qui a travaillé en tant que membre exécutif du Comité national d'action sur le statut de la femme et du Comité ad hoc des femmes canadiennes sur la Constitution, qui s'est battu pour l'inclusion de l'article 28 dans la Charte canadienne des droits et libertés - garantissant la reconnaissance de l'égalité des femmes et des hommes. Rosemary Billings a également été fonctionnaire fédérale et a pris sa retraite en 2003. Elle vit à Ottawa, en Ontario.
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